Sa seule famille disparue, à tout jamais
Chapitre 1 : Les larmes sont là, dévalant les joues de la soldate à l'écharpe rouge.
3163 mots, Catégorie: T
Dernière mise à jour il y a environ 8 ans
Note de l'auteur : Hello, je me dois d'avertir que cela n'est pas la première fois que j'écris, j'ai commencé un léger début sur le fandom ; Fairy Tail ( qu'au passage, je ne regarde plus ) toutefois mes premiers écrits était en style théâtrale tout moche, seule un OS Fairy Tail est en style roman comme ici, je compte d'ailleurs le poster de ce pas ! Pour en venir à cet OS sur le couple Rivamika, je peux dire que cela fait un bout de temps qu'il traîne dans mon ordinateur, je l'ai finis il y a peu, les corrigée via Scribens pour prendre la décision de le poster ici, j'ai peur d'avoir fait un Livai trop doux enfin, je tenterez de me rattraper un autre jour ! J'espère que cette histoire vous plaira n'hésitez pas à poster vos avis, si cela peut m'aider à progresser, de plus j'informe qu'un autre OS est en cour d'écriture depuis un temps également sur un autre couple que le Rivamika, toutefois, il me faut la motivation de le terminer ! Je n'ai rien d'autre à ajouter. Au revoir et bonne lecture !
+ Les personnages ne m'appartienne pas, ils sont l'unique propriété d'Hajime Isayama.
C'est le dos adossé au mur, le visage poser contre ces genoux que silencieusement, des perles salées dévalent ses joues dont une se trouve marquer par une cicatrice bien visible. Anéantie était le mot, elle avait toujours veillait sur lui, mais cette fois, il fallut qu'elle arrive trop tard et que sa seule famille se fasse dévorer devant elle, la nuque briser sous la mâchoire d'un titan. Son cœur bat douloureusement dans sa poitrine, sa volonté de se battre, la personne qu'elle a juré de protéger au péril de sa vie avait disparut à tout jamais. La jeune femme espérée que cela soit juste un cauchemar, un horrible rêve dont bientôt, elle se réveillera pour de nouveau pouvoir entendre la voix du jeune homme auquel, elle tient le plus, toutefois au fond d'elle, une voix lui rappelle que c'est la vérité, une vérité cruelle mais bien réelle.
Cela doit faire des heures voir des jours qu'elle se trouver dans sa chambre, à verser des litres de larmes dus à la mort d'Eren, le visage pâle, les yeux rouges dû à ces pleurs incessant souligné par des cernes qui au fils de temps est de plus en plus visible. Son corps autrefois fin et musclé et désormais amaigri signe que la soldate aux traits asiatique ne manger rien. Tous ont essayé, Hanji, c'était efforçais à lui faire avaler quelque chose voir la raisonner, mais en vain, Erwin a tentais un discours dont les paroles sont normalement efficaces, mais la encore, aucun résultat. Puis finalement Livaï lui en a touchais deux mots, bien que de nombreuses tensions existent entrent eux deux, il s'inquiétait pour sa subordonnée, évidemment son visage ne montrer aucun sentiment et d'ailleurs, il s'en doutait bien que le jour ou Eren disparaissait, Mikasa sera complètement détruite.
La jeune femme décide alors d'enfin ce lever a une légère difficulté au vu de son corps affaibli, elle ne se plaignit pas, emboîtant le pas pour lentement ce dirigé vers la porte de sa chambre, n'efface en aucun cas ces larmes qui descendaient toujours ces joues pour mourir une fois qu'elles eurent touché le sol. D'une main légèrement tremblotante, elle saisit la poignée pour doucement déverrouiller la porte afin de sortir, en cas de chute la jeune brune longe l'un des murs du couloir. Mikasa ne se diriger nulle part en particulier lorsque son supérieur sort de son bureau, remarquant par la même occasion l'Asiatique ; son regard glacial l'a détaillé tandis que, à la vue du brun celle qui vaut cent soldates baisses les yeux aussi surprenants soit-il.
Elle ne daigna le regarder, pleurant silencieusement tandis qu'elle vu dans son champ de vision les pieds de son supérieur. La brune a envie de crier sa rage et sa tristesse concernant la mort du jeune homme, de hurler quitte à ne plus avoir de voix, tentez d'évacuer cette douleur bien que pour elle celle-ci sera éternelle. Elle voudra pouvoir revenir en arrière et être là à temps afin de le protéger comme elle l'avez toujours fait.
« Mikasa ».
C'était la voix de son supérieur, il n'avait pas dit son nom de famille, mais son prénom pour une fois, toutefois aucune parole ne s'échappe des lèvres de la jeune femme. Le silence est la seule chose qu'on pouvez actuellement entendre, puis dans l'air ont put percevoir un soupir provenant de Livaï. Sa subordonnée était pour lui comme, sans vie, une coquille vide juste là physiquement mais morte intérieurement, il ne la reconnaît plus, elle qui autrefois étais si forte étais désormais fragile semblable à une poupée de porcelaine qui dans la moindre seconde se briserez. Le caporal-chef ignoré quoi faire, pour lui, il était hors de question de laisser un jour de plus la jeune femme dans un tel état, cependant réconforter les autres n'étais pas son point fort et après réflexion, il songe à la prendre dans ces bras. La brune continuée de pleurer, immobile face à lui lorsqu'il accorde sa pensée à son geste et attire Mikasa contre lui afin de la serrer dans ces bras. L'étreinte donnée, une image différente du caporal, à cet instant, il ne semble ni froid, ni violent, juste touchée de l'état de sa subordonnée et prenant sur lui pour apaiser la douleur qu'elle ressent.
« Capitaine... » Fut souffler dans un faible murmure.
Cela doit être les premiers mots de Mikasa depuis la mort d'Eren, une voix faible, briser et remplie de sanglots, c'est ce que Livaï venez d'entendre à l'instant. Une pression bien que légère fut exercer sur sa chemise, il s'agit de la main de Mikasa qui serrer son haut alors que ces pleurs se firent plus fort. Comme pour lui répondre Livaï pose une main quelque peu hésitante sur son crâne en la gardant dans ces bras ceux-ci soutenez la brune qu'il sent évidemment faible.
« Écoute-moi, tu vas manger et s'il le faut, je te force jusqu'à ce que tu finisses, ensuite, tu vas prendre une douche et te reposer. C'est comprit ? » Ordonne Livaï de sa voix grave.
Il ne reçut bien évidemment aucune réponse de la part de la brune, la séparant légèrement de lui, elle l'observe de ces yeux rouges et gonflés, son visage humidifié par les larmes. Bien que Livaï soit maniaque, il essuie à l'aide de ces pouces les nombreuses gouttes de chagrins qui dévalent ces joues pour aussitôt emboîter le pas en veillant à ce que la jeune femme ne s'écroule pas. Actuellement, les soldats du bataillon d'exploration s'entraînent dehors et les couloirs furent donc vides de toute présence, et même de bruit. En route pour la cuisine, Livaï fit asseoir la brune à une chaise pour ensuite s'activer à lui préparer à manger à savoirs quelque chose de simple ; des pâtes.
Pendant que le soldat le plus fort de l'humanité cuisiner, la jeune femme elle, demeurez immobile, esquissant aucun geste, aucune parole de sa part ne se fit entendre, on peut seulement ouïe la cuisson des pâtes et rien d'autre. Ces orbes sombres et dépouiller de vie fixée la table en bois avant de cligner les yeux lorsqu'elle vit une assiette avec de nourriture devant elle. Lentement, la jeune brune relève la tête pour croiser le regard froid de son supérieur, avant elle lui lancer un regard noir, ou même le provoquer, mais aujourd'hui, il n'y a plus rien de ça. C'était une enfant, perdu et sans aucun repère, devant lui le plus âgé ne voit plus sa subordonnée comme étant celle qui vaut cent soldat mais juste une personne briser, à qui la joie de vivre à disparu.
La brune ne se décidant toujours pas, Livaï soupir, au vu de ce qu'il va sans doute devoir faire heureusement que personne ne se trouve actuellement dans la pièce. Fermement, il saisit la fourchette que Mikasa devra tenir en main afin de piquer dans la nourriture et l'approcher des lèvres scellées de l'Asiatique, celle-ci détourne la tête pour une seconde fois prendre la parole.
« Je n'ai pas faim. » A t-elle murmuré.
Livaï grogne de frustration, ça, il l'a bien compris au vu de sa réaction, mais pour lui hors de question que la jeune femme reste une journée de plus l'estomac vide. Alors en premier temps, il insista, mais Mikasa reste une fille têtue dont les lèvres restent closes. Commençant à perdre patience le brun serre assez fort le bras de sa subordonnée, dû à la douleur celle-ci ouvre les lèvres pour parler et Livaï saute sur l'occasion lui fourrant la bouchée dans le bec.
« Avale Ackerman, c'est un ordre. »
A t-il ordonné durement avec un air noir, au vu de son état Mikasa n'avez pas la force de lui tenir tête, ça, il le sait et elle aussi. Après qu'une minute fut écoulée, elle se résigna et mâche avant d'avaler pour la première fois depuis quelque jour tandis que le brun place devant ces lèvres une bouchée que la soldate avale ceci jusqu'à que l'assiette fut vide. À cet instant, aucun mot ne fut prononcé, Livaï saisit simplement tous les couverts afin de les laver dans le silence troublé par l'eau qui coule du robinet, celui-ci frotte l'assiette et la fourchette jusqu'à que celles-ci brillent, reflétant dedans son reflet. Le caporal les rince ensuite avant de correctement les essuyer pour les ranger. La brune, quant à elle, n'avez pas bouger d'un millimètre et Livaï songe que s'il ne s'occuper pas d'elle, elle se laissera probablement mourir avant de rejoindre Eren. Mais qu'elle idiote ! Pense intérieurement le caporal des bataillons d'exploration.
« Va te laver morveuse ! »
À son interpellation, la jeune Asiatique fronce très légèrement les sourcils sans de nouveau rien dire, le brun s'approche d'elle ayant l'intention de la lever puisque la brune ne semble pas décidée. Son bras saisit celui de Mikasa qui répond aussitôt à son geste, ce levant alors de sa chaise, à ce moment Livaï se demander si elle ne le fait pas exprès juste pour le faire chier. De nouveau, il emmène l'Asiatique, mais pas dans les douches communes, d'un cela ne sera pas pratique et il y a des chances que l'un de ces foutue gosses arrives et que des rumeurs débarquent, ce qui n'est absolument pas le moment vu la situation. Le brun l'emmène donc dans sa salle de bain personnel et pendant le trajet aucune parole ne fut échanger entre eux deux, pas de gêne ou autre venant de la soldate, celle-ci se laisser emmenez, a-t-elle confiance en son capitaine où elle se fiche bien de ce qu'il pourra lui arriver ? Livaï ignoré complétement la réponse et décide de ne rien dire.
Ils furent tout deux arrivés à la porte de sa chambre, ou le brun sort de sa poche d'uniforme une clef, la porte fut vite déverrouiller et la soldate suivit son supérieur sans rechigner. À l'aide de son pied, le trentenaire referme la porte et emmène Mikasa dans sa salle de bain personnel, si un jour, on lui avait dit qu'il s'occuper de Mikasa Ackerman le brun ne l'aurais pas cru ou du moins aurez du mal.
« Faite le... S'il vous plaît... » Demande la brune calmement.
Si elle paraissait étrangement calme, les orbes orageux du caporal purent vite discerner de petites rougeurs prendre place sur les joues de sa subordonnée, pour lui, elle prenez au moins enfin quelque couleur ce qui faillit presque l'amuser, mais il étais le caporal-chef Livaï, alors il ne rit pas, ne sourit pas.
« Tu es sûr ? » Insiste Livaï une légère pointe de moquerie dans la voix.
Il songe que la provoquer la fera peut-être réagir et cela semble fonctionner, car il reçut un regard noir de la jeune femme qui bien sûr ne fit aucun effet au plus vieux, sans doute a-t-elle était gêner de lui demander indirectement de la déshabiller et la laver pour le répéter une deuxième fois. Mais si Mikasa commencé enfin à répondre le brun n'allez pas s'arrêter là.
« Dois-je me sentir menacer ? »
Premier regard qui contient une émotion depuis des jours, certes une légère colère, mais c'était que rien pour le brun. À sa deuxième question la jeune asiatique serre des dents et Livaï observe toujours chacun de ces faits et gestes. De nouveau, le silence remplit la pièce, elle ne dit rien, lui non plus, le calme plat lorsque Mikasa avance vers son supérieur ; ses mèches de cheveux cachées, son regard, impossible pour le brun de savoir ce qu'elle prépare.Livaï trouvé le temps long, car sa subordonnée ne lâche encore aucun mot, inconsciemment, il fut plongé dans ces pensées et une légère pression sur ces lèvres le fit reprendre ces esprits, il vu le visage de la jeune femme s'éloigner du sien et une main tremblante serrer sa chemise, elle semble avoir repris quelque peu d'assurance ou alors il rêvée, mais quelque chose lui dit que non.
« Merci pour tout... »
Les yeux du plus soldat de l'humanité s'écarquillent rapidement de stupeur face aux mots que la jeune Ackerman vient de prononcer, elle l'a remercié, chose que Mikasa n'a jamais faite. Non, elle n'a jamais prononcé un mot de remerciement à son caporal-chef, aujourd'hui est la première fois. Timidement, elle loge son visage dans le cou de son capitaine, il ne sentit aucune larme sa soldate semblez juste avoir besoin d'une étreinte, d'affection et il la comprend. Lui aussi à perdu des êtres chers, des êtres à qui il tient, dont leur présence suffisait à le rendre heureux, mais ils ne sont plus là comme Eren à présent.
« Je suis certain que le gamin n'aura pas voulu te voir comme ça, alors, reprends-toi Ackerman, ont à besoins de toi ! » S'exclame le caporal.
Il la tient toujours dans ces bras, il la sentit hocher la tête, signe qu'elle acquiesce ces paroles venant tout juste d'être prononcée. Livaï n'aime pas les contactes physique d'origine, mais il le sait très bien au fond de lui que s'il ne fait rien la brune se briserez, alors si avec elle, il doit faire un effort et être doux, la surveiller, voir, la protéger jusqu'à ce que l'un deux meurt alors soit il va le faire. Sans doute pour la première fois depuis longtemps le caporal-chef va se rattacher à quelqu'un, mais il songe que cela lui fera du bien d'avoir quelqu'un avec lui, même si tenir de nouveau à une personne n'étais d'origine pas prévue.
« Capitaine... »
Appelle une voix que bientôt, il connaît sans doute par cœur. Au point où celle-ci hantera ces pensées et peut-être même ces nuits.
« Oui ? »
Livaï patienté une réponse de sa part lorsque doucement la jeune brune écarte son visage de son corps pour le regarder dans les yeux, un petit sourire illumine son visage, ces yeux cacher de la tristesse, mais aussi une émotion semblable à la joie, ou alors le brun divaguer pour lui la deuxième option semble plus plausible.
« Merci... Merci d'être avec moi est de veiller sur moi. »
Souffle-t-elle dans un murmure si bien qu'il ressentît la chaleur de son souffle touché son visage, Livaï aucunement habituer à une telle réaction de sa part envers lui s'empresse de répliquer d'une voix légèrement froide ;
« La ferme Mor- »
La fin de sa phrase reste coincer dans le fond de sa gorge tandis qu'il sentit une paire de lèvres posée sur les siennes, sérieusement la morveuse a oser l'interrompre et de plus l'embrasser ? Livaï a l'intention de lui faire comprendre qu'elle ne doit pas se croire tout permis avec lui, mais il fut en proie à une hésitation, car après tout les lèvres sucrée de la brune sont si douce et sa langue qui timidement lèche sa lèvres inférieur la rend sur ce coup adorable bien que cela finit par plus l'amusé contre chose, après réflexion, il décide de se laisser allez est entrouvre ces lèvres pour que sa langue rejoigne sa jumelle dans le but de démarrer un combat passionné ou la brune fut vite dominer. La main de la jeune Ackerman serre fort sa chemise est le caporal la colle complétement contre lui une main rassurante dans son cuir chevelure alors que leurs lèvres se séparent l'une de l'autre. Leur souffle à tous les deux est quelque peu saccadé, mais bien vite un léger sourire discret prit place sur les lèvres de l'Asiatique.
Désormais, ce n'est plus Mikasa qui veille sur Eren, mais Livaï qui veille sur Mikasa.