Episode 1 : L'arracheur
Lorsque Maura émergeât de son inconscience, elle comprit avant même d'ouvrir les yeux, qu'elle avait les mains liés. Elle se trouvait sur une espèce de couchette sans couvertures ni drap. Lorsqu'elle ouvrit les yeux elle s'aperçut qu'elle se trouvait dans une cave, les chaines qui la retenaient étaient fixées sur le haut du mur, hors de sa porté, des escaliers se trouvaient à l'autre bout de la pièce. Il fessait sombre, mais lorsqu'elle se redressa, elle remarqua tout de même que la pièce était vide. Tout d'un coups, elle entendit un bruit provenant de la porte en haut des escaliers. Elle se tut et resta immobile, elle entendit des bruits de pas qui se rapprochaient elle. Puis une voix, une voix qu'elle reconnut, car c'était la dernière voix qu'elle avait entendu. Celle-ci lui dit :
Ah ! Tu es enfin réveillé, ne cherche pas à faire l'endormit, la caméra t'a filmé, je t'ai vu te redresser. commenta son tortionnaire.
Terrorisée, Maura se redressa, en gardant la tête haute.
Qu'est-ce que vous me voulez ? demanda-elle, en essayant de garder son sang froid.
Mais rien d'autre qu'un peu de plaisir ma chérie, juste un peu de plaisir. assura le jeune homme au bouc. Mélinda, Mélinda, qu'est-ce que tu crois ?
Je m'appelles Maura ! corrigeât-elle, d'un ton sec.
Oh, tu sais, elles m'ont toutes dit ça, mais à la fin, elles se sont rendus compte de leurs erreurs.
Qui ça « elles », demanda Maura, pour essayer de GAGNER du temps. Elle regarda autours d'elle pour trouver un moyen de se détachée.
Oh, ça n'a vraiment aucune importance tu sais, assura le jeune homme, en sortant de sa poche, un couteau de chasse.
- Vous ne vous sentez pas « homme » sans ce couteau ? lâcha-elle, pour déstabilisé son kidnappeur. Vous êtes qui ? devant l’absence de réponse de son agresseur, elle continua :Selon moi, vous êtes biastophile, érotophonophile, et fétichiste des dents. Je ne pense pas que vous soyez nécrophile ...
Elle s’interrompit lorsque l’homme s’approcha et elle se recroquevilla sur elle-même face au mur, elle sentit la lame du couteau, lui trancher le dos. Elle ne gémissait pas, elle voulait résister face à son tortionnaire. Après quatre lacérations dans le dos, l'homme s’impatienta, et vociféra :
Je veux t'entendre crier chérie.
Il prit donc le bras droit de Maura, et lui tordit dans le sens contraire à la normal, Maura était incapable de retenir ses cries.
Voilà qui est mieux, dit-il.
Il attrapa Maura, non sans effort, car la jeune femme se défendit, mais finit par abdiquer. Lorsque la jeune femme, fut totalement sous son contrôle, il lui dit :
Tu vas goûter à ça chérie, et après tu seras ma Mélinda.
Il attrapa Maura par les cheveux, et la força à approcher sa tête de son entre-jambe. La jeune femme, essaya de se débattre, mais se fut en vains, son tortionnaire allait avoir se qu'il voulait.
Quand il eut finit, l'homme au bouc, lui apporta pour tous repas, un plateau sur le quel était disposé : des morceaux de pain, ainsi qu'un unique verre d'eau. Et avant de partir, l déclara :
Nourris-toi, Mélinda, j'ai besoin de toi en pleine forme pour demain.