Enquête à Santa.
J'étais assise par sur mon lit depuis déjà un moment, quand j'entendis toquai à la porte. Je me leva et me dirigea vers l'entrée. J'entravais la porte, laissant la chaîne.
- Monsieur Spencer ? Demandais-je.
- Moi même.
Je referma la porte et enleva la chaîne, puis je réouvris pour laisser passer le jeune homme qui avait l'air encore endormi. Il se mit dans le couloir et me regarda comme si j'avais quelque chose sur la figure. Il coupa le silence.
- Jessica Tyler... Ce nom me paraît familier ! Vous êtes l'avocate qui avait mis derrière les barreaux James Kleder ? Le terrible assassin !
- C'est exacte.
- Bon alors, expliquez moi la situation s'il vous plait !
- J'étais sur la plage, et je suis rentré chez moi. Arrivé là, j'ai trouvé ce tissus et ce bout de papier.
Je lui désignais mon salon où j'avais tout laisser intacte.
- Très bien, pourquoi m'avez-vous contacté ? Questionne Shawn.
- Vous êtes médium et vous avez résolu...
- Une cinquantaine d'affaire oui ! Mais nous ne sommes pas là pour me faire des fleurs.
- Je ne comptais pas.
Un blanc s'installa pendant lequel il me sourit... Bêtement. Mais au moins il était charmant. Il s'avança vers le lieu en question et regarda autour de lui. Il me fixa de nouveau et puis mit un doigt sur sa tête.
- Je vois... Que vous n'avez pas tout dit. Vous êtes en ce moment avec un... Jeune homme !
- C'est mon colocataire, Monsieur Spencer. L'homme sur la photo.
- Mumm.... Intéressant. Mais je n'ai pas vu la photo, j'ai l'ai senti.
- Sentit ?
- Oui, c'est comme ça que procède un médium. Enfin il n'y a pas que ça, nous avons des visions et tout ça ! Enfin, ce n'est pas grave... Donc ce jeune homme est votre colocataire. Avez-vous une relation plus qu'une simple amitié avec lui ?
- Non. Mais Monsieur Spencer...
- Shawn... Appelez moi Shawn !
- D'accord... Shawn. Bon, je vous ai appelé car je pense que le sang sur ce chiffon est celui de mon colocataire: James McFernalde.
- Qu'est-ce qui fait que vous en êtes aussi sûr ?
- Parce qu'au moment ou je vous parle, il n'est pas là, et ce n'est pas à son habitude de partir sans revenir ni prévenir.
- Je vois.
Il regarda de nouveau la pièce puis posa ses oeils sur le papier. Il resta un moment dessus avant d'ouvrir la bouche.
- Depuis combien de temps le connaissez-vous ?
- Depuis toujours. Nos mères ont accouchées dans le même hôpital. James était déjà né quand je suis arrivé. Je ne sais pas comment, mais elles ont fini par devenir amie et ne se sont plus quitter. Par conséquent, James est comme mon frère. Le frère que je n'ai jamais eut.
- Touchante histoire. Et aujourd'hui, savez-vous ce que font ses parents ?
- Ils sont mort tout les deux.
- Je suis désolé pour lui. Puisse-je vous posez une question ?
- Allez s'y.
- Pourquoi n'êtes-vous pas plus touché par sa disparition ?
Je souris tristement. J'attendais cette question depuis un moment.
- Parce que je ne vois pas à quoi ça sert d'être triste. Je l'ai été pendant que je vous attendez. Mais à quoi ça sert ? Cela ne le fait pas revenir pour autant. Par contre rester la tête froide peut vous aidez un nombre incalculable de fois, Shawn.
- Je vois.
Je ne savais pas si ce médium pouvait quelque chose pour moi, mais il avait réussit à résoudre beaucoup d'enquête donc, pourquoi pas pour moi. Il s'avança vers moi et me dit:
- Pourquoi sur le mot, il y a marqué: "Tu payeras". Qui pourrait vous en vouloir ?
- C'est pour cela que je vous es engagé Shawn.
- D'accord. Bon, vous avez déjà mis derrière les barreaux beaucoup d'assassin et de voleur. Mais chacun est entrain de purgé sa peine en ce moment. Et si, c'était en rapport avec votre colocataire ?
Il remit ses doigts sur son crâne et ferma les yeux. Je ne savez pas ce qu'il avait mais Shawn possédait ce charisme qui faisait battre le coeur des filles. Soudain, il les réouvris et se mit à parler.
- Il n'y a pas une trace d'effraction dans cet appartement. Ce qui veut dire que la personne qui est venu là, avait les clefs ! C'est ce qui confirme le fait qu'on a enlevé James McFernalde. Sauf que...
PDV de Shawn Spencer.
J'avais remarqué sur l'un des cadres photos où Jessica était... Resplendissante. Elle était en maillot rouge diable deux pièces, avec ses lunettes ray-ban Aviator et ses cheveux blonds qui encadré son visage entre deux bouffées de vent. Enfin je m'égare. Donc j'avais remarqué une tâche de sang qu'on avait essuyé sur le verre. Comme si on avait caresser cette photo. Je me mis donc à parler. Les yeux de Jessica était dirigé droit sur moi et m'écoutais avec admiration. Ah j'aimais ça !
- Sauf que, je vois que la personne qui a posé ça là, a des sentiments pour vous. Peut-être en amitié ? Peut-être pas ! Quoi qu'il en soit, il vous connaît. Il faudrait faire vérifier le sang sur ce chiffon, mais j'ai bien peur qu'il n'appartienne pas à votre... Colocataire.
- Qu'est-ce que vous sous-entendez ?
- L'écriture sur ce papier, est en majuscule pour pas qu'on puisse la reconnaître.
Elle ne releva pas et se contenta de me regarder. Elle laissa un petit bout de temps avant de rajouter:
- Je ne vous ai pas tout dit, Shawn.
- Cela fait un moment que votre colocataire est parti, et vous l'avez revu il n'y a pas longtemps. C'est bien cela ?
- Oui... A vrai dire, James en ce moment n'était pas bien, il partait pendant un moment sans prévenir et revenait en me demander de l'argent. Je ne savais pas dans quoi il traînait mais j'avais d'autre chat à fouetté. Je sais que ça peut paraître horrible mais...
Elle se stoppa et eut les yeux qui commençait à s'humidifié.
- Jessica... Vous ne devez pas vous en vouloir. Il a choisit de se mettre dans le pétrins. La rassurais-je.
- Non, Shawn. Quand un ami à un problème, on se doit de l'aider. Je n'ai pas été à la hauteur, et aujourd'hui... Il a des problème à cause de moi. Je l'ai vu en effet il y a deux jours, il était encore plus mal que d'habitude. J'ai voulu savoir ce qui se passer, mais il n'a rien voulu me dire. Je pense qu'il doit traîné dans les affaires de drogue. Il m'a demandé de l'argent. J'ai refusé... Et...
- Il vous a frappé.
J'avais en effet remarqué une trace d'hématome encore présent sur son bras nu.