Rock 'n' ball
Je t’en ai voulu de m’avoir aimé,
Au point d’enfin me voir évoluer,
En cet être sombre et révolté.
J’ai regretté de ne pas avoir attendu l’aube,
D’être devenu le « noir », aperçu de l’autre.
J’ai épousé les ténèbres et pourtant,
Seule la lumière de la lune m’enivre…
Le soleil se couche enfin, j’ouvre les yeux,
Tu es là, tu me touches, toujours fier et odieux.
Alors qu’une ombre me vrille les reins,
L’or de mes anneaux brille dans le lointain,
Je m’élance et cours pour échapper à ce destin !
Je t’en ai voulu de m’avoir aimé,
Au point d’enfin me voir évoluer,
En cet être sombre et révolté.
J’ai regretté de ne pas avoir attendu l’aube,
D’être devenu le « noir », aperçu de l’autre.
J’ai épousé les ténèbres et pourtant,
Seule la lumière de la lune m’enivre !
Au pays des malosses et des gradhyenas,
Où l’on célèbre les noces des medhyenas,
Absols, cornèbres et kadabras,
On m’appelle la « lune bleue ».
Et seul mon ego amer me rappelle que,
Mentali n’est qu’un reflet perdu dans un miroir,
Car je suis, Noctali, l’éclair noir !
Je t’en ai voulu de m’avoir aimé,
Au point d’enfin me voir évoluer,
En cet être sombre et révolté !
J’ai regretté de ne pas avoir attendu l’aube,
D’être devenu le « noir », aperçu de l’autre.
J’ai épousé les ténèbres et pourtant,
Seule la lumière de la lune m’enivre !
Le temps passe, je vis l’obscurité de ma vie.
Ma force je l’éprouve, un peu plus chaque nuit,
Sous le rayon lune, je prouve le fauve que je suis.
Chaque soir je tente de t’oublier…
Toi le dresseur qui aurait préféré,
La beauté éblouissante de mon frère des journées !
Oooooooh !
Oooooooh !
Je t’en ai voulu de m’avoir rendu heureux…
Je t’en ai voulu de m’avoir aimé,
Au point d’enfin me voir évoluer,
En cet être sombre et révolté !
J’ai regretté de ne pas avoir attendu l’aube,
D’être devenu le « noir », aperçu de l’autre.
J’ai épousé les ténèbres et pourtant,
Seule la lumière de la lune m’enivre !
Oooooooh ! Yeah.
Oooooooh ! Yeah-eh…