CRONOS DARKSIDE - Héro malgré lui
Chapitre 1 : Arc du Demi-dieu ~ Chapitre 1 : Cronos et Serena prennent des vacances
Catégorie: T
Dernière mise à jour 09/11/2016 11:16
En plein New York, une gigantesque masse de poussière noire se rassembla au-dessus d’un des grattes ciels pour finalement prendre une apparence humaine. C’était un homme assez grand avec des cheveux tellement noir qu’on s’y perdait, ses yeux tout aussi noir semblaient sans fin.
- Le monde des humains, ça fait bien longtemps que je ne suis pas venus ici.
- Attends Cronos !! Tu ne vas quand même pas faire ça ?!
- Et pourquoi pas ?
Dans un coin un garçon semblable au noir, tenait un autre garçon de son age par le col et au-dessus du vide.
- Je t’en supplie, ne me laisse pas tomber. Je ne recommencerais plus jamais.
- Il y a des erreurs pour lesquels on a droit a des deuxièmes chances, mais il y en a d’autre non.
- Je te jure que je regrette ! Je ne recommencerais plus jamais avec toi ou qui que ce soit d’autre.
- Cronos, laisse-le, s’il te plait.
Les traits du garçon devinrent profond et mauvais puis d’un geste vif il jeta l’autre derrière lui, l’envoyant contre un poteau en acier qui se tordit.
- Ne t’approche plus jamais de moi et ne me regarde même plus.
- …
Le dénommé Cronos se retourna et il quitta le toit suivi d’assez loin, par une fille marchand avec des béquilles. Ses cheveux étaient gris avec des reflets bleus et ses yeux vert comme la vase.
- Hum…il ne l’a pas tuer, voilà qui est problématique…heureusement que je suis là pour arranger ça.
Arriver au pied du bâtiment, Cronos se tourna vers la grise.
- Et toi, je t’ais déjà dit d’arrêter de me suivre, je n’est pas besoins d’une amie handicaper. Pour faire plus simple, je n’ai pas besoins d’amis !
Sur ces mot, le garçon, qu’il avait tenu par le col un peut plus tôt, s’écrasa juste entre eux en craquant de toute part et faisant gicler du sang sur les deux jeunes. Cronos baissa les yeux et lorsqu’il reconnu sa victime, il eu un rictus mauvais.
- Si il préférer le suicide au meurtre, il aurait du le dire, je serais rester admirer le spectacle.
- Cronos, on devrait rentrer. On risque d’avoir des ennuis.
- Ne me dit pas ce que j’ai a faire !
Le noir lui tourna le dos et il parti du lieu du crash, la jeune fille soupira puis elle le suivie.
Pour mieux comprendre ce qu’il se passe, revenons en à l’origine de ce garçon ténébreux et mauvais.
Cronos Darkside, un jeune adolescent américaine, depuis sa plus tendre enfance, il vit dans un grand orphelinat, mais étant toujours rejeter par les autres enfants, il a fini par détester tout le monde, il est devenu le pire voyou du quartier, il voler ses camarades, ne montrer aucuns respects au adultes, il avait déjà était dans plusieurs pensionnats, mais tous l’avaient virer pour délinquance et dégradation de bien matériel ou encore violence injustifiée, parfois pour ses notes exécrables.
Maintenant âgé de 16 ans, il avait déménager, il squatter dans un vieux bâtiment abandonner, il aller dans une école pour enfant a problèmes, a cause de sa dyslexie et de d‘une soit disante hyperactivité qui le pousser à devoir se battre à tout bout de champs.
En début d’année il avait était placer à côté d’un fille, Serena Maia, cette fille avait perdue ses parents et l’usage de ses jambes dans un accident de voiture, mais grâce à quelques économies qu’elle avait fait, elle s’était payer une opération des jambes, elle était actuellement en rééducation pour pouvoir de nouveau marcher correctement.
Et que cela vous semble peut probable ou pas, elle pense que Cronos n’est pas si mauvais que ça et quoi qu’il en dise, elle le suis par tout essayant de le retenir autant que possible lors de disputes qui tourne souvent à la bagarre.
Cela dit, Serena est convaincue qu’elle peut le changer et l’aider à évoluer autrement, elle le sait, il n’est pas comme les autres enfants, il a quelques chose de spéciale.
Renvoyer une fois de plus pour insolence, Cronos tourner en rond dans son squatte tout en réfléchissant à ce qu’il allait bien pouvoir faire pendant 3 semaines. Il avait très peut d’argent et niveau loisir, il n’avait pas grand-chose à faire chez lui.
Ce fut alors qu’il commencer à enrager que quelqu’un frappa à la porte, d’un pas vif et mécontent d’avoir été déranger, il alla ouvrir pour tomber nez à nez avec Serena.
- Salut Cronos.
- Qu’est-ce tu veux toi ?!
- Et la politesse, tu connais pas ?
- Si, Au revoir !
Alors qu’il allait claquer la porte, Serena la bloqua avec une de ses béquilles.
- Attends, j’ai quelques chose a te dire.
Le taciturne émit un grognement et il rouvrit la porte.
- Je suis aussi libre pour 3 semaine, est-ce que tu vouais venir avec moi à la plage ?
- Non !
Il aller claquer la porte une bonne fois pour toutes, mais Serena la bloqua une fois de plus.
- Prépares tes affaires, je t’attends.
- Je t’ais dit que je ne venais pas !
- Ah bon ? Et que vas-tu faire ici tout seul alors ? Tu ne sais absolument pas quoi faire, hein ? Avoue.
- Ferme la ! Et casse-toi !
- Aller, arrête de faire ta tête de mule et viens.
L’autre grogna une fois de plus et il réussit enfin a fermer sa porte au nez de la jeune handicapée.
Le bus était en direction d’un centre maritime en bord de côte près d’un trou paumé dont Cronos n’avait pas enregistrer le nom.
- Et que ce soit bien clair entre nous. Je ne suis pas là parce que tu m’as menacer de dormir devant chez moi jusqu’à ce que j’accepte de venir.
- Bien entendu.
Cronos était allonger sur deux siège et Serena qui était installée devant lui eu un petit sourire à sa remarque.
Arriver au centre, les deux jeunes furent conduit à un bungalow pour deux, ils avaient un grands salon qui servait aussi de cuisines, une salle de bain, des WC et une chambre avec un grand lit.
- C’est une blague j’espère.
- Non monsieur, tout nos bungalows deux personne sont ainsi.
- Alors appeler ça des bungalow pour couples. Deux personne pour moi ça veut dire deux chambre et deux salle de bains !
- Ca c’est la formule quatre personnes.
- Non mais tu te fous de moi ?!
- Merci de votre accueil monsieur, mais retourner donc a vos occupation maintenant.
Serena força l’homme à sortir avant de lui souffler.
[ C’est le voyage qui l’a mit dans cet état, éviter de revenir avant demain.]
- Bon eh bien, bonne journée, Monsieur…Mademoiselle…
- C’est ça, casse-toi et bon vent ! Crétin !
Serena ferma la porte et elle poussa un profond soupire.
- Non mais qu’est-ce qu’il m’a prit de penser que ce serais une bonne idée pour toi de sortir de ton trou…
- J’étais justement en train de me demander, comment j’ai put accepter de venir ici ! C’est encore plus pourrit que chez moi !
/ Je sens que ces trois semaines vont être longues…/