One Shot, One Piece

Chapitre 15 : Doflamingo x Crocodile

1699 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 12/02/2018 18:55

Auteur : Je n’avais pas d’inspiration pour ce couple. Je suis tombée par hasard sur une musique qui me la donnait, donc j’espère que cela va vous plaire.


Disclaimer : Les personnages ne sont pas à moi ils sont tous à Oda-san.


Bonne lecture !


Os : Doflamingo x Crocodile


Fébrilement je t´attends

Je suis en manque de toi

Je me languis de ton parfum

Sentir ta bouche effrontée

Épouser tous mes rêves

Dans un délicieux va et vient

Retenir nos élans

Pour que la nuit

N´en finisse pas

Tout oublier

Sous mes doigts impatients

Trouver ta voie sacrée


Je suis là. Assis sur cette chaise ou tu m’as demandé de te rejoindre. Mon corps te réclame depuis ton coup de fil d’hier soir. Je m’efforce de ne pas oublier ton parfum à chaque fois que l’on se quitte, mais c’est dur ! Quand je te vois entrer dans ce bar, mon corps tremble d’impatience, surtout quand tes yeux bleus me fixent et que ton sourire de psychopathe apparaît enfin. Ce sourire épouse tous les rêves que je me suis fait cette nuit. Tu t’approches de moi tel un animal chassant sa proie, tu poses avec non délicatesse tes lèvres rosés sur les miennes et s’ensuit un ballet de force entre nous deux.


Je sais d’avance que tu vas le gagner. Tu me serre contre toi comme un joyau. Nous montons à notre chambre que tu as réservé, nous nous retenons jusqu’à la mais c’est très dur quand la porte ne veut pas s’ouvrir. Je ne veux pas que la nuit qui se profile soit cacher, alors tu l’as défonce d’un coup de pied bien placer. Quand tu fermes la porte. Je me jette sur toi pour capturer encore une fois tes délicieuses lèvres qui me manque encore plus. Tes mains viennent caresser ma peau en feu qui ne demande que ça. Je veux que tu me fasses oublier toutes les nuits qui nous ont séparés.


Mes doigts viennent aussi caresser ta peau blanchâtre. Qui frissonne à mon contact et cela m’excite encore plus. Je remonte délicatement mes mains en effleurant ta peau, un gémissement sort de tes lèvres qui nous ont fait rompre notre délicieux et tendre baiser. Je peux enfin entre ta mielleuse voix qui ma terriblement manquer comme tu as pu le remarquer. Et je sais que je suis sur la bonne voie pour trouver cette flamme si sacrée qui me hante à chaque fois.


Je n´ai qu´un pays

Celui de ton corps

Je n´ai qu´un péché

Ton triangle d´or

Je découvre en toi

Toutes les audaces

Quand tu m´aimes


Même si je suis un Shichibukai à la tête de Baroque Works, qui souhaite renverser le roi du Royaume d’Alabasta. Mais quand je suis avec toi tout cela ne compte plus. Je veux reconquérir encore une fois ce pays que me fais voir tant de chose en une nuit. Ce pays n’est d’autre que ton magnifique corps. C’est un péché d’être aussi bien foutu que toi. Ton visage, tes yeux bleus, tes abdos, tes mains … Tous tes parfait chez toi ! Je glisse automatiquement une main dans tes cheveux d’or. Je sais que tu n’aimes pas que l’on glisse des mains dans tes cheveux, mais j’aime prendre certains risques quand nous sommes tout les deux.


Tu me laisse faire en me dévorant des yeux. Tu me chuchote de ta voix rauque que tu aimes mon audaces, et que tu m’aimes pour toute la vie. Et tu ne sais pas à quel point je fonds à l’entente tu mot « Je t’aime ». Tu me repousse gentiment et je suis un peu surpris par ce geste mais ton sourire me dit que je ne vais pas regretter ton geste. Alors j’attends !


Lorsque tu dénoues

Tes jupons soyeux

Moi je m´engloutis

Au fond de tes yeux

Ta gorge étincelante

Tes buissons secrets

Quand tu m´aimes


Tu commence par enlever cet immonde manteau à plume rose, qui te rend sublime à mes yeux. Tu l’envoi balader dans la pièce ainsi que tous tes vêtements soyeux. Je ne peux pas m’empêcher de te mater à chaque mouvement que tu fais. Tes bras s’ouvrent comme une invitation silencieuse. Je mis engouffre, nos regards se croisent et je me sens englouti par tes yeux. Je romps les quelques centimètres qui séparent nos bouches. Nos langues s’entrechoquent et j’explore en même temps toute ta cavité buccale.


Ma main droite se dirige vers ton anatomie pendant que l’autre se dirige vers ton autre buisson secret. Nous rompons notre baisé avant que tu me marmonnes des « Je t’aime » à tout bout de champ. Et tu sais que j’aime ça en plus, sale flamant rose !


Je ne pense plus qu´à me perdre

Au plus profond de toi

Et ta peau manque à ma peau

J´ai perdu le sommeil

Et je n´arrive plus à travailler

Je n´en peux plus

Je paie le prix que paie

Le vice à la vertu


Je te fixe encore tout habillé et fronce les sourcils mécontents. Je te déshabille en utilisant mon fruit du démon et je peux enfin dévorer ton corps bien sculpté. Je sais que tu aimes quand je deviens sauvage, donc je te balance sur le lit qui grince sous ton poids. Ta peau bronzé manque à ma peau claire, qui veut entrevoir le monde ou tu vie. Je ne pense plus qu’à me perdre en toi depuis plus d’une semaine. Je veux me sentir dans ton corps qui ne doit qu’attendre ça depuis le début !


A force de penser à toi. J’en ai perdu le sommeil et une montagne de papier s’entasse depuis plusieurs maintenant. Je n’en pouvais plus et je tes appelais pour que l’on se revoit tout les deux. Où nous nous sommes rencontrés pour la première fois il y a de cela dix ans. Je paie le prix en reniant mes origines de dragon céleste. En capturant ta vertu qui est interdit sur mon île natale.


Je n´ai qu´un pays

Celui de ton corps

Je n´ai qu´un péché

Ton triangle d´or

Je découvre en toi

Toutes les audaces

Quand tu m´aimes


Je suis le roi incontesté de Dressrosa. Je mets mon statut de roi de coté quand je suis avec toi. Et je redeviens un homme des plus banal qui se fiche de tout sauf de l’homme que l’on aime. Je te surplombe de toute ma hauteur. Tes joues se teintent de rouge pourpre que j’aime tant. Ma bouche s’occupe de ton corps qui dégage une telle chaleur, que le soleil en serrait jaloux ! Tes gémissements emplissent mes oreilles et c’est un péché d’avoir une aussi joli voix quand j’arrive à l’objet de mon désir le plus sincère.


Ta main vient s’entrelacer dans mes cheveux pour m’inciter à continuer mon petit manège avec ma langue taquine. En plus tu sais très bien que je n’aime pas qu’on mette ses mains mes cheveux, mais tu es l’exception à cette règle vu que tu fais battre mon cœur mort depuis temps d’années. J’aime ton audace ! J’aime tes je t’aime qui sorte très rarement de tes lèvres. Je sais qu’entre nous les gestes sont plus adéquates que la parole. Tout mon être te cris à quel point je t’aime Crocodile. Je ne peux plus me retenir et entre sauvagement en toi.


Je souscris à tous

Ces plaisirs sublimes

Et soudain tu trouves

La caresse ultime

Qui arrache en moi

Un cri de victoire

Quand tu m´aimes


Bon sang qu’est-ce que tu es serré. Je ressens toute ta chaleur et toi tu ressens la mienne. Nos regards se recroisent encore une fois et je peux revoir cette flamme de pur plaisir qui me fais extrêmement vibrer de l’intérieur. J’entame de léger va et vient te permettant de t’habituer à mon engin surdimensionné, même si je sais que ton corps est habituer. Je ne veux pas te déchirer de l’intérieur alors je me frêne. Tu me donne un violent coup de rein, me faisant gémir de plaisir. Tu vas me le payer ! Mes mains se cramponne à tes hanches et accélère d’un seul coup.


Je ressens tous les plaisirs du sexe et de la chair fraîche contre ma peau. Mon dieu ! Je ferme les yeux pour en ressentir d’avantage quand tu te cambre d’un coup en hurlant de bonheur. Un sourire vient étirer mes lèvres et encre dans mon cerveau cette position. Puis je n’arrête pas de toucher cette boule si sensible en toi. Tes mains s’accrochent à mon cou et ton corps danse comme le mien qui me provoque de légères décharges électriques en moi. Ta bouche vient me mordre le lobe de l’oreille.


C’est l’endroit le plus sensible sur mon corps et tu veux en profiter. Je sens te resserré contre ma verge, alors je te donne un coup de bassin avec plus de force que les autres et tu te libère entre nos deux corps en sueur. Je te suis quelques secondes plus tard en criant ton prénom avec amour. Je m’effondre sur toi en tu me serre encore plus et nous nous embrassons pour la énième fois en quelques minutes. Je me retire de toi, nous couvre avant de rejoindre Morphée. Mais juste avant nous nous disons


 "Je t’aime " … 


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