Un Autre Monde.

Chapitre 4 : Chapitre 3.

4672 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 10/11/2016 08:02

réponses aux commentaires des chapitres 1 et 2 :  

 

OnepieceSeira: Le hasard fait bien les choses alors ;) Sinon j'adore ton prénom *o* !! Merci beaucoup pour ton commentaire c'est super sympa! <3 

Erzabyfairytail: C'est vrai que j'essaie de faire le moins de faute possible ^.^. Merci beaucoup pour ton commentaire, je suis contente que ma fiction te plaise. :3 

tsuki: contente que ça te plaise :) ! 

 

Voilà la suite pour vous et merci encore pour vos gentils commentaires, ça fait super plaisir! :D 

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Chapitre 3. 

 

 

A mon réveil, je suis à nouveau dans ma cage, enchainer par des menottes.  J’ai extrêmement mal et je n’arrive quasiment pas à bouger. Le couloir où je me trouve  est sombre et glacial. Les chuchotements que j’avais pus entendre au part avant recommencent.

 

-Je vous en pris, fermez la ! , hurlais-je.

 

Il n’y a plus aucun bruit.

 

-Merci…

 

Je ne comprends pas pourquoi tout le monde me fixe comme ça, je ne peux pas le voir mais je le ressens. Je ne sais non plus combien de temps j’ai pu passer inconsciente. D’un coup, le vacarme recommence puis j’entends des petits bruits, comme si quelqu’un tapait un morceau de métal sur les barreaux des cages. Cela commence à m’énerver. J’essaie de me contrôler mais je n’y arrive pas.

 

-Bordel, arrêtez moi ce bruit ! , criais-je.

 

Des bruits de pas s’approchent  de ma cellule, puis tout le monde se tait à nouveau. Je ne sais qui est cette personne, mais elle a l’air d’avoir un effet sur les prisonniers. Dans la pénombre, j’arrive à distinguer la silhouette d’un homme, de taille moyenne. A ses coter,  se trouve une sorte de chariot avec une casserole poser dessus. L’individu se penche vers moi puis frappe d’une extrême violence sur ma cage, celle-ci émet alors un bruit qui me déchire les tympans. Je précipite mes mains sur mes oreilles de douleurs.

-Quelque chose ne va pas ? , demande l’homme, d’un air faussement inquiet.

-Tout ce bruit me fait mal aux oreilles et…

-Quels dommage !, rit-il à voix forte, et comme ça ? C’est mieux ?, dit-il en tapant à nouveau sur les barreaux.

- Arrêtez…, le suppliais-je.

 

Son regard changea. Il prit un objet entre ses mains, une sorte de louche, et la plonge dans ce qu’il me semble être une marmite. Il en ressort une sorte de purée espèce, pleine de morceau étrange. Il en dépose le contenu sur le sol, sale et poussiéreux de ma cellule.

 

-Maintenant, mange et ferme-la !, s’énerva-t-il.

 

Je crois l’avoir froisser. Il continu alors sa ronde, tout en recommençant à frapper sur les barreaux avec, je crois, sa louche. 

Le moindre bruit m’est insupportable. Le grincement des roues du chariot «  cantine », le bruit de métal, les chuchotements et le son des retenus mangeant tels des animaux ; sont une torture pour  moi.

Chaque petits mouvements, me font l’effet de décharges électriques, traversant mon corps entier.

Malgré que je sois affamée,  je n’ai pas touchée à ce que l’homme de tout à l’heure m’avait servit. J’ai trop de fierté pour cela.

Les minutes passent puis des heures, sans que personne n’entre ou ne sorte de cette immense allée.

Les menottes qui m’attachent les poignets et les chevilles sont tellement serrées qu’elles me font mal.

Au fur et à mesure que le temps passe, j’entends mon estomac gargouiller. Je suis affamer et faible. Ma vision se floute et je perds peut à peut connaissance.

 

-Allez, debout !, ordonne un homme.

 

Une atroce douleur me frappe le dos. Je me réveille alors en sursaut. Deux hommes sont en train de rués de coups de pieds tandis que je suis plier en deux, par la douleur. Ils s’en rendent comptent et continuent de plus belle.

 

-Lève toi !, répète le deuxième.

 

Je m’exécute alors avec difficulté. Une fois sur pieds, mes deux tortionnaires, m’entrainent en dehors de la cage pendant qu’un tire sur mes menottes. Je vois autour de moi,  mes compagnons de cellules subir le même traitement. Je ne sais pas ce qu’il va se passer, mais j’ai un mauvais pressentiment. Nous sommes emmenés vers le fond du couloir, puis nous passons une petite porte. Certains des prisonniers sont obligés de se baisser pour pouvoir y entrer. Nous nous retrouvons ensuite dans un endroit que je reconnais au premier coup d’œil, la salle des ventes, plus précisément la scène où sont placés les esclaves avant d’êtres vendu. J’essaie de ne pas le montrer, mais je suis pétrifier par la peur.

Je suis placer entre un géant et une jeune femme, d’un peut près mon âge. Son regard est fixé sur le sol, je crois qu’elle est en train de pleurer.

La salle se remplis peut à peut de  toutes sorte de personnes : riches, dragon célestes et même des pirates.

Tout le monde est arrivé, les enchères peuvent donc commencer.

 

 

            Dans le monde réel, quelques heures se sont à peine écoulées. Julien vient à de se réveillé, Mandy est toujours allongée à ses côtés. Il regarde sa meilleure amie tout en se disant qu’il aimerait être bien plus à ses yeux. Etrangement, il entend que sa respiration c’est accélérer et aperçoit qu’elle est en train de trembler. Il l’a prend alors dans ses bras pour la réchauffer mais celle-ci est déjà brulante. Mandy se met à hurler de peur dans son sommeil, elle tremble de plus en plus.

 

-Hey, Mandy ! Je suis là t’inquiète pas…

 

Croyant qu’elle est en train de faire un cauchemar, le jeune garçon essai de réveiller son amie, mais en vain. Elle est plonger dans un profond sommeil et rien n’arriverais à la réveiller.

 

 

 

            Dans le monde de One Piece, sur l’archipel Sabaody, dans la salle des ventes, l’espace réserver aux esclaves se vide peut à peut. Je suis toujours à la même place. Nous ne sommes plus que deux : la jeune femme qui se trouvait à mes côtés et moi.  Je sens touts les regards se diriger vers nous.

L’homme qui nous présente à la foule prend la parole :

 

-A présent, il nous reste deux magnifiques spécimens. Toutes deux de races humaines elles satisferont tout vos désirs et accomplirons vos taches ménagères.

 

Je déglutis en entendant ces mots. Etre traiter comme un objet, « un spécimen » me dégoutte. Ma voisine, ne bouge d’un pouce. Son regard n’a même pas changé en entendant parler d’elle d’une telle façon. Elle fixe le sol comme si quelque chose y était gravé.

 

-Nous estimons leurs prix à 300 000 berry chacune.

 

Les chuchotements remplissent la salle entière puis un homme se trouvant au premier rang lève la main en criant :

 

-Moi ! Je prends la blonde !

 

Je vois ma voisine serrer les points tout en retenant ses larmes.

 

-Quelqu’un veut surenchérir ?

 

Un homme d’un rang éloigner intervint alors :

 

-400 000 berry !

-500 000 ?, lance le présentateur.

-MOI ! MOI !, hurle une femme du fonds.

-1 000 000 !, relance un vieil homme.

 

Touts les regards se tournent vers lui. Les chuchotements qui avaient cessé au par avant reprennent. J’espère pour cette fille que quelqu’un va surenchérir car ce vieux me parait très étrange et je doute que ses intentions ne soit très saine. Celle-ci se met à trembler, ses larmes se mettent à couler sur ses joues claires.

 

-Plus personne ?

Je fais la chose la plus étonnante pour une fille comme moi, je me mets à prier. Je pris pour que cette fille, qui a l’air si gentille, si fragile ne finisse pas entre les mains d’un vieux pervers. Tout de façon, je suis perdu, il ne me reste plus qu’à m’inquiéter pour elle.

 

-Dans ce cas…

-10 000 000 et je prends les deux !

 

Une voix d’homme vient de couper le présentateur. Je n’arrive pas à y croire, il vient de dire « les deux ».

 

-WAOUH ! Je crois que c’est un des plus grands prix depuis des années ! Je pense que personne ne va surenchérir. Adjuger et vendu pour l’homme au manteau noir !

 

Je n’arrive à identifier l’individu mais j’arrive à voir qu’il est très grand et certainement très fort. Deux hommes entrent sur la scène par les côtés et nous emmènent toutes deux dans les coulisses. On nous accroche un lourd collier autour du coup et nous redirigent dans une autre pièce. Celle-ci est bonder, touts les gens aillant « gagner » un esclave se ruent en masse pour échanger leurs lots contre la somme d’argent promise.

L’homme de tout à l’heure s’avance vers nous. Maintenant qu’il est devant moi, je peux voir qu’il est vêtu d’un long manteau noir et coiffé d’une capuche de la même couleur,  qui cache une grande partie de son visage.

Il tend un sac plein d’argent à notre vendeur puis dit d’une voix grave et basse en désignant les colliers qu’on nous avait attachés au part avant :

 

-Ces choses ne seront pas nécessaires, vous pouvez les retirés.

-Euh… bien sur, répond son interlocuteur, certainement impressionné. 

 

L’homme s’en alla alors pendant quelques instants nous laissant, seules, avec notre nouveau «  propriétaire ». Celui-ci ne prononce aucuns mots. Gêner, je ne sais pas si j’ai le droit de bouger. Je regarde vers ma camarade, celle-ci est bien plus grande que moi. Comme elle n’a toujours pas relevée son regard du sol, je n’ai pas encore pue apercevoir son visage. Elle porte des très longs cheveux blonds, formants une tresse qui lui arrive au dessus des reins. Je pense alors que je ne connais même pas son prénom. Puis, le retour de l’homme me sort de mes pensés. Un trousseau de clés en main, il cherche la bonne qui pourra nous libérer de ce lourd collier qui commence à me faire souffrir. Une fois celle-ci trouver, il l’a passa dans le verrou situer dans nos coups puis un petit cliquetis se fait entendre. Je pousse alors léger un souffle de soulagement.  

 

-Voilà, il vous fallait encore quelque chose monsieur ?

-Non, ça ira. Merci.

 

L’homme se dirige vers la sortie, sans même nous adresser un regard. J’en déduis que nous devons faire de même. Je le suis alors de loin accompagné de ma camarade. Une fois sortie de cet horrible endroit, je trouve que c’est le bon moment pour faire connaissance.

 

-Je m’appelle Mandy.

 

Surprise, la jeune fille lève son regard pour la première fois en ma direction.

 

-Et toi ?, repris-je.

-Lily, me répond-t-elle d’une petite voix timide.

 

Je peux enfin voir son visage. C’est une fille très jolie, à la peau claire et aux joues rosées. Ses yeux sont d’un magnifique bleu océan. Je lui adresse un petit sourire qu’elle me rend.

 

-Enchantée !

 

 

            Cela fait maintenant plusieurs minutes que nous marchons, et nous ne savons toujours pas où nous allons arrivés. Les chaines qu’on nous avait laissé aux poignets et aux chevilles recommencent à me faire mal. Affaiblie par les couts que j’ai subis, je m’effondre au sol. Je suis trop épuisée pour continuer, j’ai besoin d’une pause. Lily se penche vers moi, inquiète. Puis, se met à crier.

 

 

-A l’aide ! Aidez là s’il vous plait.

 

L’homme à capuche se retourne alors. Comme il marche beaucoup plus vite que nous, il fit demi-tour pour nous rejoindre.

 

-Allez, debout, dit-il sans aucune once de pitié dans sa voix.

-Mais, elle est trop faible…

-On est bientôt arrivé.

 

Il recommence à avancer sans même prêter attention à ce que Lily lui a dit.

Celle-ci me tend alors sa main pour m’aider à me relever.

 

-Je suis désolée…, dit-elle en baissant les yeux vers le sol.

-Ne t’excuse pas, ce n’est pas de ta faute. Et s’il te plait lève la tête tu n’a pas besoin de te cacher.

 

Elle fait ce que je lui et me regarde dans les yeux. Je ne connais pas la raison mais cette fille n’a pas du être très heureuse ces dernies temps.

Nous nous remettons alors à marcher une à coter de l’autre suivant l’homme qui nous a acheter.

Je ne sais pas comment l’exprimer, mais cet homme m’a l’air étrange. Il est d’une telle froideur quand il parle. J’appréhende notre arriver chez lui.

 

            Avec le temps, je commence à reprendre quelques forces. Je regarde ma voisine, celle-ci le sent et me regarde également. J’essaie t’en bien que mal de lui transmettre ma penser et avec chance, elle n’eu pas besoin de beaucoup de temps pour comprendre. Je lui désigne une petite forêt devant la quelle nous venons de passer, du regard et j’attends une réaction de sa part. Je vois qu’elle est en train de  réfléchir  puis elle me regarde à nouveau et secoue la tête de bas en haut pour approuver mon idée.  Nous nous arrêtons de marcher pendant quelques secondes pour que notre détenteur s’éloigne le plus possible. Une fois celui-ci assez loin, nous nous mettons à courir en direction de la grande forêt  aux arbres immenses. Je cours du plus vite que je puisse,  Lily fait de même. Malheureusement les chaines ne font que nous ralentir. Mon cœur bat de plus en plus vite. J’ai tellement peur, je ne veux pas finir comme une esclave. Je veux être libre. Je commence à avoir de moins en moins de souffle, et je sens ma course se ralentir. Lily le remarque et me prend par la main pour m’aider.

Nous courons alors sur plusieurs mètres avant d’être stopper brutalement par une force puissante. Je sens mes chaines se dresser vers l’arrière, comme si des aimants  les retenaient. Lily me regarde dans les yeux d’un air incompréhensif. J’aimerais pouvoir la rassurer mais je ne comprends pas plus  la situation.

J’essaie de toutes mes forces de me défaire de cette emprise, mais c’est impossible. Je commence à me fatiguer toute seule. Puis, la même force nous tire vers l’arrière à toute vitesse pour enfin s’arrêter et nous laisser nous écrouler au sol.

 

-Alors, comme ça on essai de s’enfuir.

 

Je sursaute en entendant ces mots. En me retournant, j’arrive à voir l’homme que nous avions voulu fuir. Je ne sais comment il a pu faire mais il nous a retrouvé.

Terroriser, Lily baisse la tête vers le sol me laissant seule à affronter son lourd regard posé sur moi. Je me lève avec difficulté et tente de m’enfuir à nouveau mais cette fois, il leva son bras sur moi pour m’attirer vers lui.  Il m’attrape par le coup et me soulève du sol. Je suis maintenant à quelques centimètres de son visage. Malgré sa capuche j’arrive à voir ses yeux, colorés d’un rouge sang et ses lèvres de la même couleur. Son regard me rappelle quelqu’un mais sous le choc, je n’arrive pas à le reconnaître.  

 

-Lachez moi, prononçais-je difficilement tout en me debatant.

 

Mais celui-ci ressert son emprise, me laissant que très peut pour respirer.

 

-Je n’ai pas dépensé autant d’argent pour vous laissez vous enfuir comme ça ! , s’exclame-t-il.

 

Puis, il me lâche de toute sa hauteur me laissant m’écrouler au sol.

 

Lily s’empresse de m’aider à me relever mais je décide de m’assoir au sol.

 

-Qu’est ce que tu fais  encore ??

- Je refuse d’avancer, dis-je déterminer.

 

Je suis vraiment très têtue, cela est même l’un de mes plus grands défauts. Lorsque ce que j’ai une idée en tête je ne lâche jamais.

Lily me regarde d’un air grave. Je crois qu’elle est vraiment effrayée. Je le suis également mais je fais tout pour ne pas le montrer. J’ai appris quand j’étais plus petite qu’il ne fallait jamais montrer nos faiblesses car c’est comme cela que l’on se fait marche dessus.

 

-T’en es sure ?, me demande notre receleur.

-Certaine. Tout de façon je sais que vous n’allez rien me faire, dis-je un sourire narquois aux lèvres.

Je crois que le sourire était de trop. J’arrive à voir l’expression de son visage changer, puis celui-ci s’approche dangereusement de moi. Sans me rendre compte, je ferme les yeux de peur. Soudain, je sens mon corps se soulever quand je rouvre les yeux je vois le  sol de très prêt je pousse alors un cri de peur. Il en a profité pour me porter sur son épaule, je déteste ça. Il regarde ensuite Lily et s’exclame :

 

-Tu attends quoi pour marcher ?

 

Tétaniser, celle-ci se met alors à avancer tout en évitant le regarde de ce monstre.

 Je le déteste. Sous prétexte que nous sommes en situation de faiblesse, il en profite pour nous traiter comme des moins que rien. Je promets que quand je serais en meilleur état, je lui en ferais voir de toutes les couleurs. Enerver les gens, c’est ma spécialité.

Malgré tout, cet homme m’intrigue. Je ne connais toujours pas son identité. Curieuse, je prends les choses en main et décide qu’il est temps  pour  lui de nous montrer son visage. Je lui arrache alors rapidement la capuche qui le cachait et découvre avec effrois l’identité de mon kidnapper. Ses yeux, ses lèvres rouges comme le sang et ses cheveux ébouriffés de la même couleur, il n’y a plus de doute c’est bien Eustass Kidd, la cruauté en personne.

Son regard change à nouveau pour devenir d’une froideur à la limite de la terreur. Je crois que cette fois ci j’ai été beaucoup trop loin. Il est en train de me fusiller du regard.

 

-Tu… Vous deviez avoir chaud…, tentais-je pour me faire pardonner.

 

Kidd tourna la tête sans même me répondre. J’ai l’impression qu’il se retient pour ne pas m’étriper.

Lily se fait toute petite. Je vois qu’elle a vraiment peur.

 

-Désolée…, lui chuchotais-je.

 

Celle-ci me fait un petit sourire pour me faire comprendre qu’elle ne m’en veut pas.

A force d’être transporté la tête en bas, je commence à avoir mal au cœur. J’essaie de ne pas trop y penser mais je ne me sens vraiment pas bien.

 

-Kidd… Je veux descendre…

 

Après ces mots, il me pose aussitôt au sol et me regarde droit dans les yeux.

 

-Comment tu connais mon nom ?

 

Oups, je crois que j’ai gaffé. J’essaie alors de ma rattraper t’en bien que mal en trouvant une excuse valable.

 

-Tout le monde le sait…,  pas vrai Lily ?

-Euh… bien sur…

 

Lily ne s’attendais pas à ce que je l’a mêle à la discussion.

Kidd ne cherche pas à avoir plus d’explication et se remet à marcher. Comme je lui avais demandé il me laisse marchée. Je rejoins Lily pour marcher à ses côtés. J’avais remarqué tout à l’heure, qu’elle  avait l’air de se sentir seule.

Au bout d’une bonne demi-heure de marche nous arrivons enfin au port où se trouvait plein de bateau de toutes sortes. Au loin, je peux reconnaitre celui de Kidd, qui porte comme figure de proue un crane étrange. Je trouve qu’il reflète parfaitement sa personnalité : grand, lourd et effrayant.

Le capitaine nous fait alors monter à bord. Tout l’équipage se trouve sur le pont et tous nous regarde d’un air suspect.

 

-Hey ! Regardez ce que le capitaine nous ramène !, cri un des hommes.

 

En entendant cette réflexion complètement déplacé, je m’empresse de le fusiller du regard, ce qui le remet rapidement en place. Ses camarades se moquent de lui à la vu de ce spectacle. Bien fait.

Intriguer, un homme aux longs cheveux blond portant un masque bleu et blanc s’approche de Kidd, j’en déduis que c’est Killer, son second. Celui-ci chuchote quelque chose à l’oreille de son capitaine, qui lui répond à haute voix :

 

-Je les ai achetés.

 

Il parlait donc de nous.

 

-Kidd, il faut que t’arrêtes tes conneries !

-Je fais ce que je veux.

 

Sur ces mots, il s’en va vers une pièce plus à l’écart, nous laissant toutes deux livrés à nous même. Une vrai tête de mule, encore pire que moi.

Parmi l’équipage, il n’y a que des hommes. Tous, nous regardent comme s’ils venaient de voir un fantôme. J’imagine qu’ils ne doivent pas souvent côtoyer des femmes.

 

-Quelque chose ne va pas ? J’ai une grosse tache sur le nez, c’est ça ?, demandais-je incertaine.

 

Tous, se mirent à rire sans que je ne comprenne la raison.

Mais je n’en prête pas attention longtemps car une vague de fatigue me frappe. Ma tête commence à tourner. Je suis trop épuiser pour m’énerver sur ces abrutis.

 

-Est- ce que vous auriez quelque part pour dormir ? Parce que je suis…

 

Je n’eu pas le temps de terminer ma phrase que je finis par m’écrouler de fatigue. Lily accoure aussitôt pour s’assurer à ce que j’aille bien mais c’est trop tard, je me suis endormie.

 

 

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J'espère que le chapitre vous a plu! si oui n'hésitez pas à donner votre avis en commentaire! :) 

J'essaie de faire le moins de fautes possibles mais si vous en voyez, n'hésitez pas non plus à me le dire et je le corrigerais! 

Désolée, le chapitre est un peut moins long que les autres... 

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