God of one : Acension

Une fois les veux pour que l’âme d’Alétheia puisse trouver le repos en Élysée, Ace sortit de la grotte en s’accrochant sur une crevasse pour atteindre avec un saut l’aqueduc qui fit le lien avec le village de Kirra. Plus loin, il décide de descendre sur la terre ferme, ce qui le mena devant la porte de Poséidon où l’attendaient des satyres. Alors qu’il se préparait à les affronter, notre héros se souvient qu’il avait récupéré auparavant une certaine amulette au pouvoirs temporels :

-        Voyons voir comment je peux l’utiliser au combat.

Concentrant sa volonté dans la relique, le jeune guerrier libéra un faisceau d’énergie qui figea dans le temps ses opposants. Satisfais mais ne voulant pas rater cette occasion, il fonça à leur direction en criant :

-        Cyclone de feu !

L’attaque rotative eut raison des bêtes. Heureux de voir des nouvelles possibilités qu’il pourrait faire à l’avenir grâce à l’amulette pour sa quête, Ace reprit sa route jusqu’à arriver vers le chemin brisé. Une fois encore, il fit appel au pouvoir sur le temps pour réparer cette partit de l’aqueduc, lui permettant d’avancer.

Malheureusement, le pouvoir qu’il exerce avec l’amulette est limité, car à peine qu’il fait 5 mètres qu’il se trouve en face d’une autre partie détruite. Alors qu’il allait recommencer le processus de réparation, une sirène apparut avec 2 satyres. Ace utilisa l’amulette pour figer les hommes-bêtes puis bondit sur la créature au corps de femme pour lui briser sa colonne à l’aide d’une prise. La douleur fut si violente, qu’elle exprima un cri strident accompagné d’une onde de choc électrique qui envoya les autres monstres dans le précipice.

Etant sure que plus personne ne l’interrompt, notre héros remit en place la voie vers la citerne du village. Mais un obstacle étant jamais deux sans trois, un chef des satyres l’attendait avec une meute de chien enragé. Agacé par la venue consécutive des monstres, Ace concentra une grande quantité d’électricité entre ses lames pour ensuite hurler :

-        Technique suprême de la foudre ! Courroux de Zeus !

L’onde de choc électrique qui entourait le jeune guerrier grilla complètement le cerveau de ses adversaires. Sur la route pour sortir de la citerne, il ne put s’empêcher de voir que le nombre d’opposant grandissait incroyablement. Le doute n’était plus permis, les Erinyes savaient qu’il avait triomphé des défis du temple et vaincu leur pions Castor et Pollux et se faisant, récupérer l’indice de sa liberté. Au lieu de se morfondre ou bien d’être énervé, il commencer plutôt à ressentir de la joie, car il ressentait une satisfaction de savoir qu’il gênait au plan de ses poursuivantes voir même leur instaurer une peur envers lui et de la menace grandissante qu’il devient. Une fois à l’extérieur, les grilles qui, autrefois, lui bloquaient la voie pour aller vers l’oracle se relevèrent :

-        Alors, voyons voir ce qui va venir essayer de faire obstacle. Je me demande…

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’un imposante bête apparu devant lui. Aussi imposant qu’un mastodonte, ce monstre avait la particularité d’avoir qu’un œil et de manier une immense massue. Il ne faut pas être un génie pour deviner qu’il s’agissait d’un cyclope :

-        Tiens, cela faisait longtemps que je n’avais pas affronté ce genre de créature au même titre que les minotaures.

Ace savait que ces brutes à l’œil unique sont très puissantes mais lentes. C’est alors que des scarabées apparaissent autour de notre héros, le faisant sourire encore plus. Car la seconde chose qu’il savait sur les cyclopes, c’est que lorsqu’on arrive à monter au niveau de leur tête, ils peuvent être de supers montures temporaires de destructions.

Sachant quoi faire, Ace chargea son imposant adversaire et alors que ce dernier essai d’assener un coup, il l’esquiva avec un saut puis planta l’une de ses lames entre les omoplates du monstre :

-        Et c’est parti pour le carnage ! dit-il avec une joie sinistre

A chaque fois que notre héros planta sa lame sur sa monture éphémère, ce dernier fut obligé d’envoyer sa massue de manière erratique, tuant au passage les nuisibles. Le cyclope eut assez, il essaya d’attraper son cavalier mais Ace l’évita puis lui ouvrit l’abdomen, faisant déverser les tripes du colosse. Notre héros savait qu’il ne devrait pas apprécier les massacres qu’il fait sur ses ennemis. Mais encore une fois, ce fut la seule chose qui lui donner assez d’adrénaline et d’action depuis la trahison d’Arès et la perte de ses proches dont il se sentait coupable envers eux.

Après réparation d’un pont en bois avec l’aide de l’amulette, il arriva de nouveau face à la roue à aube qu’il la régénéra de suite du au pouvoir sur le temps. Après quelques acrobaties, il était en face de la destination final de l’aqueduc pour la roue qui était également détruit. Jamais deux sans trois, Ace reconstruisit l’édifice, permettant ainsi à l’eau de s’écouler et faire mouvoir la structure circulaire.

Une fois descendu au plus bas, le guerrier à la peau pâle sauta pour attendre un lac souterrain. La sensation de l’eau sur sa peau et de ne plus être une enclume était pour lui un doux plaisir.

En plongeant sa tête sous l’eau, Ace vit un long couloir aquatique, se doutant que la suite de son voyage fut de l’autre côté, il prit une profonde inspiration et plongea. Alors qu’il était à quelque mètre de son arrivé, il ne pouvait plus retenir l’air et recracha des bulles. Cependant, au lieu d’avoir l’impression de se noyer, il avait au contraire le sentiment de pouvoir respirer normalement alors qu’il était sous l’eau. Mais comment ?! Il sait qu’il n’est pas un homme-poisson. Et là, l’illumination le frappait, le pouvoir de Poséidon lui permettais de non seulement de contrôler la glace mais également la respiration aquatique, après tous, il s’agissait du dieu des océans. Heureux d’apprendre cela, Ace fini sa nage pour arriver dans une grotte où se trouvait une immense porte sceller.

C’est alors qu’apparurent au-dessus des colonnes soutenant la porte les golems qu’il avait croisé durant son exploration dans le temple. La seule différence c’est qu’ils n’étaient pas entourés d’une aura de feu mais de glace. L’un d’eux frappa avec son marteau faisant apparaitre des stalagmites mais cela n’arrêta pas notre héros qui récupéra immédiatement le marteau de l’être en pierre pour l’infuser de fluide offensif et lui briser le crâne. L’autre golem passa alors en rage et envoya un souffle glacial. Ace l’esquiva et patienta que son opposant soit en état de faiblesse. Le moment venu, il chargea ses lames avec son fluide ainsi que le feu d’Arès pour ensuite crier :

-        Rage d’Arès !

Sur le coup rien ne se passait et alors que le colosse de pierre allait abattre son arme sur notre héros, ce dernier lui tourna le dos et dit :

-        Tu ne le sais pas, mais tu as déjà un pied dans le royaume d’Hadès

A ses mots, une immense explosion se produisit, éparpillant en millier de morceaux l’automate. Une foi la menace passée, Ace utilise l’amulette d’Uroborus pour désagréger les chaines qui maintenaient la porte fermée. Plus, il trouva un autre couloir sous-marin. Ni une ni deux, Ace plongea et nagea sans crainte tout en évitant les coraux les plus tranchants. Au bout, il arriva devant ce qui était un port souterrain. Il avait entendu parler, d’après certain renseignement, ce port abrité un géant qui vivait autrefois sur l’île des lestrygons. Ce dernier était devenu l’officier qui permit aux navires de rentrer ou sortir de ce port. Aux yeux de notre héros, il voyait juste un autre personne devenu esclave. Malheureusement, à la différence de son monde d’origine où, bien qu’il eût des esclaves alors que c’est interdit mais que les autorités laissaient cela à cause de la noblesse corrompue, ici c’était monnaie courante. Mais il se promit qu’un jour il fera en sorte que cela change, car tout le monde avait le droit de connaitre la liberté. En continuant sa visite, il trouva une lettre, sans doute elle fut écrite par un marin :

« Je me languis de te revoir, ainsi que notre fils. La route de Kirra est périlleuse depuis l’attaque et la destruction de l’aqueduc. J’espère que vous allez bien. »

Malheureusement, notre héros se doutait que vu que ce message était dans ce port, le marin n’a sans doute pas survécu. Un sentiment d’amertume grandissait en lui, vu au fait qu’un enfant ne pourra jamais revoir son père, ce qui fit rappeler sa situation actuelle. C’est alors qu’il vit un navire sur le point d’appareiller, il décide alors de se faire connaitre sa présence auprès de l’équipage :

-        Ho hé du navire !

-        Tiens, salut étranger, répondit de ce qui semblait être le capitaine du navire. Que nous veux-tu ?

-         Je souhaiterais louer vos services pour atteindre une île.

-        Tiens donc, et laquelle ?

-        L’île de Délos.

-        QUOOOOOIIIII ?! hurla l’ensemble du navire alors que notre héros se boucha les oreilles pour pas devenir sourd

-        Es-tu fou ?! demanda l’un des matelots. Cette île est maudite, seule la mort t’attend.

-        Ça, c’est mon problème. Allez-vous m’y emmener, oui ou non ?

-        He bien…

-        Acceptaient sa demande, intervient alors un étranger, vous n’avez qu’à l’amener sur l’île puis partir immédiatement après.

-        Soit, dit alors le capitaine convaincu mais encore réticent. Monte et vous les gars, préparer vous pour le départ.

-        Oui capitaine !

Alors que l’équipage finit les préparatifs pour aller sur Délos, Ace monta et vit celui qui n’était d’autre que l’ombre qu’il l’aidait depuis le début de sa quête de liberté, Orkos. Allant le voir pour avoir des réponses, l’Erinye disparut devant lui :

-        Sors de ta cachette Orkos, ordonna notre héros. Si tu es réellement quelqu’un qui veut m’aider, tu devrais être en face moi sans avoir de crainte. Sauf si bien sur tu prépares un sale coup envers moi.

C’est alors qu’un homme d’âge moyen apparait derrière lui, il portait une tenue simple de couleur bleu, une barbe et des cheveux bruns courts. Sur son corps, on pouvait voir une étrange matière visqueuse noire ainsi que des trous :

-        Tu sais que je suis l’une des Erinyes à l’origine de ton joug. Tu m’aurais tué avant même que j’ouvre la bouche.

-        Tu as raison, si durant notre première rencontre, tu avais dit qui tu étais vraiment, je t’aurais égorgé. Cependant, Alétheia avait une grande confiance en toi et pour cela, j’en ferais autant.

-        Merci, cela signifie beaucoup.

-        Par contre, bien que tu m’aide, je n’aime guère ceux qui poignarde le dos de leur proche. D’où ma question de pourquoi fais-tu cela ? Est-ce pour du pouvoir, de la richesse ou autre chose ?

-        Si j’ai décidé de t’offrir mon aide c’est par ta faute.

-        Hein ?! demanda notre héros alors qu’il est à la fois surpris et mécontent de cette réponse

-        Je reformule, c’est la cruauté de ton serment qui m’a fait douter d’eux… Est-il possible que malgré toute cette souffrance, tu n’as toujours pas compris pourquoi… c’est toi l’élu ? Pourquoi Arès te voulait ? Pourquoi il te veut toujours ?

Entre temps, l’officier géant accrocha le navire pour l’amener à l’extérieur du port. Notre héros quant à lui réfléchissait aux questions qu’avais posé Orkos, à propos de ce traitre de dieu ainsi que ceux qu’elles le chassent. Et plus il pensait, plus le mystère s’épaississait pour lui :

-        C’est vrai, je n’ai jamais réfléchi pourquoi ce connard m’a sauvé pour me faire son champion. Mais peut être tu peux m’aider à cela ainsi que de m’expliquer pourquoi les autres Erinyes me cherche ? je sais que je trahi un pacte avec un dieu. Mais pourquoi s’acharner autant sur ma personne ?

-        Tu as raison de vouloir connaitre le but de mes créatrices. Mais pour cela, je dois t’expliquer leur origine ainsi que celle du premier pacte de sang avec un dieu.

Dans l’histoire d’Orkos

L’histoire commença avec une féroce bataille entre des êtres colossaux composés d’élément, que ce soit de l’eau, de la terre voire même d’astre :

-        Tu dois savoir que dans les temps qui précédèrent les titans, bien avant le règne des dieux, il existait les primordiaux qui furent les tous premiers êtres à l’origine de la Terre. Ces derniers se livrèrent un terrible combat entre eux et leur colère se déversèrent sur le monde pendant une éternité.

Durant l’affrontement titanesque, certains perdirent la vie ce qui donna naissance du ciel étoilé, des montagnes ou bien des océans :

-        Et c’est dans cette fureur, cette violence sans borne qui donna naissance au toute premières Erinyes

Au milieu des eaux, se format un maelstrom d’où sortait 3 femmes, la première portait un casque de combat et avait des ajouts de 4 bras d’insecte sur le dos lui donnant un air sauvage et brutal, la seconde portait une capuche et une robe sombre, lui offrant ainsi une impression de mystère tandis que la dernière portait une toge et un diadème ce qui la rendait plus royal et majestueuse que ses sœurs :

-        Ni titans, ni dieux, ni mortels, ni ombres, elles ne devaient rien à personne. Elles étaient les gardiennes de l’honneur, pourvoyeuses de châtiments et fléaux des traitres.

C’est alors qu’on vit le futur roi de l’Olympes avec ses frères qu’ils étaient sur le corps de leur père Cronos vaincu :

-        Quand Zeus accéda au pouvoir, il découvrit qu’il n’avait rien à craindre des sœurs. Les Erinyes cherchaient uniquement à punir tous ceux qu’elles jugeaient coupables. Et le premier de ces traitres fut Egéon, l’Hécatonchires

La scène montra alors un être immense possédant d’innombrables bras enchainés. Jusqu’à que le dieu de la foudre le libère. Ce qui se passa ensuite, ce fut que le colosse lui jurait fidélité, pour qu’après il lui tournait le dos :

-        Lorsque la brute prêta serment à Zeus par le sang et trahis ensuite le roi des dieux, mes créatrices ne tardèrent pas à réagir.

On vit Zeus faire appel aux Erinyes en désignant le géant à punir, ces dernières partirent immédiatement à sa poursuite pour lui faire subir un tourment éternel :

-        Elles traquèrent Egéon sans relâche et une fois capturé, elles le torturèrent à l’infini. Elles estimaient que la mort était trop douce pour les parjures. Et depuis lors, l’Hécatonchires fut un exemple pour tous en devenant la prison vivante des Erinyes. Une sorte de modèle pour dissuader quiconque oserait rompre un pacte de sang avec un dieu.

Retour à la réalité

-        C’est en effet une histoire très intéressante Orkos. Mais justement, par rapport aux pactes, si elles sont vraiment les gardiennes de l’honneur, ne devrait-elles pas punir Arès pour sa tromperie envers moi ? Et même si elles suivent ceux qui sont d’un ordre supérieur comme une certaine organisation que je connais que trop bien, pourquoi ne viennent-elles pas me chercher directement pour me punir ?

-        Tes questions sont justifiables car elles sont liées au pourquoi le dieu de la guerre t’as pris comme champion.

-        Soit plus clair !

-        Ho Ace… le dieu de la guerre complote depuis des années

Retour dans l’histoire d’Orkos

Les explications reprirent avec une scène où Arès avec l’ainée des sœurs s’enlacèrent avec passion :

-        Je suis né de l’union entre le dieu de la guerre et la reine Erinye. Guidé par la rage et la folie, Arès espérait concevoir le guerrier parfait…

La scène nous montra alors un Orkos à terre dans un piteux état alors que son père s’éloigna de lui et que sa mère et ses tantes le récupérèrent :

-        Mais je n’étais que déception pour lui… mes créatrices m’ont épargné. Elles m’ont demandé de garder les serments

On observa alors Orkos s’incruster de ce qui ressemblaient à des pierres d’ambres dont à l’intérieur se trouvaient des images de personnes dont celles de notre héros :

-        Ce fardeau était lourd à porter, mais j’étais déterminé à servir fidèlement ceux qui prétendaient m’aimer. Mais c’était toi, Ace, c’est la dernière tâche de ton joug qui m’a fait remettre en question les agissements de ma famille.

On vit alors Orkos se tordre de douleur tandis que sa mère incrustait en lui le serment du « fantôme des mers ». La scène passa alors en direction de l’oracle dont on pouvait voir dans ses yeux d’un côté le dieu de la guerre et de l’autre le roi de l’Olympe :

-        J’ai demandé conseil à Alétheia. C’est elle qui m’a informé qu’Arès avait l’intention de renverser Zeus.

On montrait alors la vision où Ace était devant le royaument des dieux tandis que ce dernier tombait en morceau :

-        Mais il avait besoin du guerrier parfait. Arès t’a donc façonné pour que tu fasses tombers tous les murs de l’Olympe.

Nous sommes désormais à Marinford durant la guerre au sommet où un Ace épuisé et désespéré, voyant avec impuissance l’amiral Akainu sur le point de tuer son petit frère. C’est alors que notre héros allait dire la phrase qui allait sceller son destin :

-        Arès, permets à mon frère et mes amis de survivre et assure ma vengeance sur mes ennemis et ma vie sera tienne !

La scène se concentra ensuite sur trois gouttes de sang :

-        Pour que tu les appartiennes totalement, Arès et mes créatrices imaginèrent trois tâches de sang.

La première goutte de sang atteignit le sol révélant la scène où Ace décapita l’amiral rouge ainsi que le traitre Barbe Noire :

-        Verse le sang de tes ennemis.

La seconde arriva où apparait l’événement du village où notre héros et les spartiates firent un massacre :

-        … le sang des innocents.

Et avec la dernière goutte on découvrit le jeune guerrier tenant dans ses bras son petit frère en train de mourir :

-        … et le sang de ta propre famille…

Retour à la réalité

De là, on ne vit que de la rage pure dans les yeux cramoisis d’Ace. Craignant que cela soit la goutte qui fasse déborder le vase, Orkos resta silencieux. Jusqu’à ce que notre héros reprît la discussion :

-        Alors tous ce qui m’est arrivé, ma séparation avec mon équipage et ma famille, ces épreuves et l’ultime tâche où je devais tuer mon propre frère à mon insu. Tout ça pour pouvoir devenir roi à la place de son père ?! Pourquoi ?! Pourquoi moi ?!

-         Ça je l’ignore, même si je pense que c’est dû au pouvoir que tu exerces qui est à l’origine de ton monde

-        Mais cela ne veut rien dire ! Il existe des personnes plus fortes que moi. De plus, s’il voulait temps que je le serve, Arès n’aurait pas dû m’obligé à faire cela !

-        Je peux comprendre ton désaccord, mais c’est comme cela que fonctionnes les dieux.

-        En parlant d’eux, pourquoi devrais-je les sauver de ce connard alors qu’ils n’ont rien fait face à ses crimes ?!

-        Ceci hélas est due à mes créatrices qui ont réussie à cacher ses méfaits

-        Mais pourquoi ?!

-        Encore une fois, je ne sais pas.

-        Humph, grommela notre héros alors qu’il essai de reprendre son calme. Merci Orkos, ces informations me sont très utiles pour comprendre ma situation et merci également de vouloir m’aider.

-        Tu me surprends, Portgas D. Ace. Tu sais que mon père est la cause de ton malheur. Tu pourrais me tuer et pourtant tu m’épargnes ma vie.

-        Que les choses soient bien claires, oui je hais Arès d’une telle force que je n’aurais aucun regret de l’étriper. Cependant, les crimes d’un parent ne devraient pas être légués envers son enfant. Je ne sais que trop bien cela.

-        Je…euh… merci.

-        Il n’y a pas de quoi, maintenant, il y a toujours cette question que me trotte. Veux-tu vraiment faire cela ? tu risques beaucoup en voulant me donner ton aide.

-        Je te remercie de t’inquiéter pour moi Ace, mais le mal est déjà fait.

-        Comment cela ?

-        Je t’expliquerais une autre fois, pour le moment, je dois surveiller l’avancer des Erinyes sur leur traque et toi, tu dois aller sur Délos pour retrouver les yeux de la vérité.

-        Bonne chance alors.

-        A toi aussi

Sur ses mots, le gardien des serments partit dans les ombres tandis que le navire vogua enfin vers le large. C’est là-bas que notre héros trouvera la clé pour vaincre celles qui le tourmente et qui protège la personne dont il souhaite obtenir vengeance. Ace se jura d’y arriver, même s’il doit aller aux enfers pour cela.

Dans le prochain chapitre :

Narrateur : Arrivé sur l’île, Ace cherche un chemin pour atteindre la lanterne. Malheureusement pour lui, ceux qui le chasse aux noms d’Arès l’ont rattrapé. Le destin de notre héros ne tient désormais qu’à sa force ainsi que d’un miracle 

Ace : Prochainement dans God of One « La statue d’Appolon, les Erinyes sont là !», j’aurai ma vengeance.