rencontre dans le parc (ship AlyaXAdrien
Chapitre 1 : Qui est le plus fort et qui portera la culote? .
6432 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour il y a 5 mois
Rencontre dans un parc
La fille s’appelait Alya. Elle avait attiré l’attention d’Adrien dès les premiers jours ou elle avait emménagé en face de chez lui, trois mois plus tôt. Sans mentir c’était sa beauté qui l’avait attiré au début. C’était une fille grande et élancé à la peau noire avec des courbes qui ne pouvait assurément pas laisser un adolescent indifférent.
Il l’avait observé de loin, car il n’osait l’aborder. Le garçon avait toujours été d’une nullité confondante pour parler aux filles ou même simplement avec des gens qui ne faisait pas partie de son entourage. Il était introverti par nature. À l’école, on le trouvait bizarre parce qu’il ne parlait pas et pour d’autre raison sans doute. Trois ans plutôt, Adrien avait été victime de harcèlement. Aujourd’hui, cela allait mieux, mais cela l’avait marqué et depuis il avait tendance à rester à l’écart.
A force de l’observé, il avait appris qu’elle avait quatorze ans et fêterait le mois prochain ses quinze ans/ A l’inverse de lui, elle était une étudiante brillante puisqu’elle avait sauté une classe, l’an dernier. Elle était donc en seconde malgré comme lui ce que ces parents que ses médiocre résultat scolaire exaspérait, ne manqueraient pas assurément de lui faire remarquer. Sa mère était psychiatre et son père était militaire. C’était aussi une sorte d’influenceuse –ou quelque chose dans le genre- En la stalkan sur le net, il avait trouvé sa chaine qui dépassait les cinquante milles abonnés tout de même. C’était une chaine principalement concentré sur le fitness et les sport de combat, mais elle faisait parfois des vidéo avec des amis, des Vlog etc..
Bref, c’était le genre de fille populaire qui ne s’intéresserait surement jamais à quelqu’un comme lui. Du moins le pensait-il, car un jour ce fut elle qui pris les devants. Avait-elle remarqué son intérêt un peu trop appuyé ou était-ce le fruit de la providence ?
Leur première rencontre eu lieu dans la supérette de leur quartier. A sa grande surprise, elle était venue lui parler. L’adolescente avait discuté quelques minutes et en bonne sportive, elle avait critiqué ces achats. Un grand paquet de chips en lui disant qu’il devrait arrêter la mal bouffe s’il ne voulait pas grossir. Le garçon lui avait alors fait remarque qu’avec ces cinquante-huit kilo pour un mètre soixante-quinze, il avait quand même de la marge. Ce qui était une fausse bonne idée dans la mesure où elle faisait trois kilo de plus, ce qu’elle n’eut pas l’air d’apprécié. Est-ce la cause de ce qui suivit ? Peut-être.
Quoiqu’il en soit, il sortit, tandis que de son côté, elle alla faire se achat. Quelque minute alors qu’il marchait avec de la musique dans les oreilles, elle le rattraper pour lui arracher le paquet des mains. Sans interrompre sa course, elle lui dit que s’il voulait récupérer sa malle bouffe, elle se rendait au parc. Adrien avait l’habitude de courir, mais il était plus un coureur de fond qu’un sprinteur, la jeune fille le distança.
Lorsqu’il arriva essoufflé au parc, il là trouvait entré de manger ses chips. Alya lui annonça qu’il avait été si lent qu’elle avait eu le temps de finir le sachet puisle taquina en lui demandant ce que cela faisait de se faire battre par une fille qui avait trois ans de moins que lui. L’adolescent n’était pas un sportif, mais avait tout de même sa petite fierté. Adrien lui fit donc remarquer que sa spécialité était les courses sur de longue distance. Alya vit dans cette bravade un défis et lui proposa de choisir l’itinéraire de son choix afin d’avoir sa revanche et sauver son fragile égo de mec blanc hétéro sis qu’elle savait disait-elle si fragile. Il n’avait eu d’autre choix que d’accepter. Non qu’avoir un rendez-vous fut-il sportif avec la jeune fille le rebute. Seulement à Dix-huit ans, il n’avait jamais eu de petite amie. Cela le stressait et pas qu’un peu.
Aussi banal que pouvait paraitre cet intermède, il l’obséda. Adrien. Il ne cessa de se refaire dans sa tête la conversation tout en fantasmant sur ce qu’il aurait pu dire ou faire s’il avait été plus audacieux. Il craignait le jour du rendez-vous. Qu’elle le trouve ennuyeux ou idiot ou pire qu’elle le batte à nouveau à la course et le traite de mauviette. Tous les scénarios catastrophe y passèrent, mais aussi bon nombre de fantasme lubrique qui ne se réaliserait jamais. Mais au fond quel mal y avait-il à rêver ?
Lorsque vint le moment de se coucher et qu’il ferma les yeux, l’image de la jeune fille s’imposa. Il ne pouvait s’empêcher de penser à elle et cela l’empêcha de dormir. A trois heures du matin, il se résigna à se lever. Il devait faire quelque chose pour se sortir ses pensées obsessionnelles de la tête pour le bien de sa santé mental. Et pour cela, il ne connaissait que deux moyens, courir jusqu’à l’épuisement ou écrire. Trop fatiguer pour aller courir, il prit son portable et sorti en pleine nuit. Le grand air lui ferait du bien surtout par cette chaude nuit de fin d’été.
Les rues de la ville si animé à toute heure du jour était silencieuse et déserte, en même temps c’était normal aussi tard dans la nuit. Ce calme lui plaisait. Il prit la direction du parc à un kilomètre de chez lui ou la jeune fille l’avait entrainé la veille.
Il y avait un endroit dans le parc qui était un peu isolé. Entouré d'une haie de sapin et on y entrait par une arche de vigne. C’était un petit jardin partagé, mis à disposition des voisins et visiteur. Un endroit bien sympathique et pourtant peu fréquenté, raison pour laquelle le garçon aimait y venir pour écrire et être au calme. Il s’assit sur le banc au centre du petit carré de pelouse, posa son ordinateur portable et commença à écrire.
Il n’eut pas besoin de se creuser la tête pour chercher quoi raconter. Puisque le but était de chasser la belle à la peau d’ébène de son esprit, il entreprit d’écrire un condensé de tous les fantasmes qu’elle lui inspirait. Avant que le ciel ne se lève, il avait écrit pas moins de sept pages bien remplie.
Il était satisfait. La thérapie par l’écriture avait certes été longue, mais elle avait fait son office, il arrivait enfin à penser clairement. D’un coup toute la fatigue d’une nuit sans dormir s’abattit sur lui. Heureusement, c’était encore les vacances d’été, il pourrait faire une petite sieste pour un peu récupérer. D’ailleurs c’était ce qu’il ferait dès qu’il serait rentré.
Il bailla et s’étira.
« J’ai enfin réussi à me débarrasser de cette salope, soupira-t-il. Foutue démone qui me prive de mes heures de sommeil.
« Et qui est donc cette salope, interrogea une voix féminine avec intérêt.
Adrien qui se croyait seul fut surpris et sursauta. Leva les yeux de son ordinateur portable, il vit l’objet de ses fantasmes occuper à cueillir une petite grappe de raison situé un peu en hauteur. Il sauta pour l’attraper ce qui fit tressauter sa généreuse poitrine ce qui l’amena à admirer le reste de sa personne. De ses longues jambe au trait fin de son visage, en pensant bien évidement par ses longues jambe fine et joliment musclée, en passant par son imposant et magnifique fessier et sa taille fine. Il n’en fallait pas plus pour que ruiné tous ses efforts de la nuit.
Un sourire espiègle qui apparut sur les lèvres de la jeune fille, elle n’était pas dupe de l’examen qu’elle venait de subir, mais elle ne dit rien. Parfois, une attitude en disait plus que cent mots.
« Que fais-tu ici, demanda-t-il.
« Je faisais mon jogging, matinal.
« Si tôt. Il est à peine sept heures du matin.
« Qu’est-ce que tu crois, un corps aussi magnifique que le miens, ça s’entretien. D’ailleurs, tu ne vas pas t’en plaindre, j’ai vu comment, tu me regardais.
Le garçon ainsi confronté, réagis comme un petit enfant pris en faute et se mit à bafouiller.
«Euh… Je… Désolé.
« Pas grave. Tu peux regarder autant que tu veux, mais interdit de toucher, le taquina-t-elle.
Encore puceau à l’âge de Dix-huit ans et n’ayant même jamais eu vraiment de petite amie, le pauvre Adrien était loin d’être armée pour gérer une fille avec autant de mAlya. Pourtant, il savait que s’il ne lui répondait pas de manière approprie, il deviendrait son jouet.
« C’est embêtant ça, j’avais prévus de te botté le cul, samedi.
« Tu peux toujours rêvé, mon petit. La fessé c’est moi qui te la donnerai et elle sera plus mémorable que toute c’elle que ta mère t’a donnée.
La jeune fille leva les yeux au ciel et dit de manière sarcastique.
« C’est vrai que j’ai tellement envie de toucher ce petit cul de blanc osseux et décharner.
Un sourire de prédateur apparu sur la lèvre de la jeune fille.
« Paris tenu, visage pale. Tu n’as aucune chance.
« N’en soit pas si certaine, les courses d’endurance c’est ma spécialité.
« Tu regardes les jeux olympique. La plupart des champion d’athlétisme son noir. Les noirs son plus fort que les blancs c’est bien connu.
« C’est peut-être vrai, mais si tu veux te lancer dans un duel de stéréotype, je te ferrais remarquer que les hommes son censé être plus que les femmes. Ca s’équilibre, tu ne penses pas.
Alya ne réagit pas à cette pique de la manière supposé par le garçon. Il pensait qu’elle s’offusquerait devant cette remarque machiste, mais elle se contenta de dire avec assurance et pragmatisme :
« Hé bien. Nous verrons bien qui est le plus fort entre un garçon blanc et une fille noir. On pourrait même s’affronter d’en d’autre discipline, comme la natation, la lutte ou le bras de fer.
Adrien ne put retenir un sourire ironique. Il n’était certes pas un grand sportif, mais il avait tout de même trois ans de plus et était un garçon.
« Entraine-toi, bien.
« Je le suis déjà surement bien plus que toi.
Adrien sur de l’inéluctabilité de sa victoire, se contenta de sourire en disant:
« Samedi, nous apportera la réponse à cette question. Ceci dit un conseil, ne sous-estime pas la détermination d’un garçon à qui on à promis de toucher des fesses comme les tienne en cas de victoire.
Alya rigola.
« Pervers, s’esclaffa-t-elle. Mais toi qu’est-ce que tu fais ici de si bon matin.
« Je n’arrivais pas à dormir à cause de la chaleur, alors je suis venu ici pour écrire.
« Oh, tu écris. Sur quoi ?
La question ne l’aurait pas déranger d’ordinaire, mais la étant donné le sujet de l’histoire et ce qui l’avait inspiré, mieux valait s’abstenir. Il décida de répondre de manière générale
« Sur un peu de tout. Des Fanfiction, des histoires d’héroic fantasy ou des histoires d’horreur.
« Et là, tu écris sûr qu’elle sujet ? Insista-t-il au grand embarras d’Eward.
« Dison que je le classerais dans la catégorie tranche de vie. Le genre de récit ennuyeux que je ne publie jamais sur le net.
« Alors pourquoi, écris-tu sur le sujet si cela t’ennuie ?
« Je n’ai pas dit que cela m’ennuyais personnellement, mais que cela serait ennuyeux pour le lecteur. Quand quelque chose me trouble ou me perturbe au point de m’obséder ou de m’énerver c’est un bon moyen de me sortir ça de la tête.
« D’où, la référence à la salope mentionné quand je suis arrivé. Qui est ce ? Pas moi, j’espère.
Alya avait dit cela sur le ton de la plaisanterie, mais cela ne le fit pas du tout rire. La réaction n’échappa pas à la jeune fille.
« Attends ? C’est moi sérieusement.
Adrien qui portait un cœur un peu trop sincère pour son propre, n’avait jamais eu le talent de dissimuler ses émotions. Son visage était un livre ouvert. Ne sachant pas mentir, il décida de dire la vérité, mais en essayant de faire passer cela pour un sarcasme, et que cela passe pour une tentative de drague un peu lourde.
« J’avoue ma faute. Depuis notre rencontre au parc, je suis obsédé par ta grande beauté, sans pouvoir de chasser de mon esprit au point d’être incapable d’arrêter de fantasmer à ton sujet. Alors, je me suis dit que j’allais les écrire pour m’en débarrasser. Et au moment où je pensais y être arrivé, tu débarques avec ton corps de déesse africaine pour tout gâcher.
Adrien avait dit cela avec toute l’ironie dont il était capable afin qu’elle ne doute pas du fait qu’il plaisantait ou tentait de la charmer. Malheureusement, cela ne fit que susciter l’intérêt de la belle adolescente pour ce qu’elle avait écrit.
D’un pas déterminé, elle s’avança et le contourna pour se placer derrière lui. Elle se pencha pour regarder par-dessus son épaule ce qu’il avait écrit. Ce faisant là sa poitrine se pressa légèrement dans son dos. Le geste était-il accidentelle. Sans doute. Il n’en restait pas moins que l’excitation du garçon fut bien réelle.
La réaction fut immédiate, il referma le clapet de l’ordinateur. Hélas pour lui pour la jeune fille, ce geste valait confirmation de ces propos précédent.
« Alors ce n’était pas une blague, je t’empêche de dormir, pauvre petit. J’en oublierais presque que tu m’as traité de salope, susurra-t-elle à son oreille.
Elle fit une courte pause avant d’ajouter
« Enfin presque, déclara-t-elle en posant chacune de ses douces mains sur sa taille et de le tirer. Avec une force dont Adrien aurait cru incapable une représente du beau sexe, il fut éjecter du banc et se retrouva un mettre plus loin le cul par terre. Le garçon fut surpris et pas qu’un peu, certes, il était un poids léger, voir un poids plume, mais de là à la jeter si vite et sans effort comme si de rien était, il y avait de quoi être choquer.
Alya avait pris sa place devant l’ordinateur et l’ouvrit pour consulter son contenu. Pas de chance pour elle, l’ordinateur c’était mis en veille et c’était verrouiller.
Elle se leva alors et fit volteface pour le toiser, le confronter, l’intimidé.
« Quel est le mot de passe, exigea-t-elle.
« Cela ne te regarde pas C’est mon texte, mes écrits et ma vie privé.
Elle le saisit par le col amenant son visage à quelque centimètre du siens, presque à distance d’un baiser ne put-il s’empêcher de penser. L’ambiance n’était pourtant guère propice au badinage, mais plutôt au règlement de compte ou à la baston.
Elle le regarda en silence avec sévérité peut-être pour faire monter la tension entre eux. Cela marchait fasse à l’adolescente en colère, il se sentait aussi intimité qu’à l’époque où il se faisait racketter par des élèves plus âgé davantage même. Cela n’avait aucun sens, Alya était sa cadette de trois ans et surtout c’était une fille. Elle ne représentait physiquement aucune menace.
Pourtant, il trempait comme jamais, au point même de craindre de perdre le contrôle de sa vessie. La dureté dans son regard, son attitude inflexible et le fait qu’avec la proximité, il s’était rendu compte que son crush la dépassait en taille de quelque centimètre remettait en cause ces certitudes.
« Si ça parle de moi un peu quand même. Donne-moi le mot de passe.
« Non.
Elle eut alors un geste fort peu féminin en lui donnant un coup de tête qui le fit reculer. Au grand soulagement du garçon, il vit le visage de la fille se détendre.
« C’était pour la salope de tantôt, l’informa Alya avec un sourire amusé.
« Tu m’as fait mal. Je suis sûr que je vais avoir une bosse.
Elle rit devant son air outré.
« Les blancs son si fragile, se moqua-t-elle. J’aurais été curieux de lire les perversions qui traînent dans la tête d’un garçon de Dix-huit ans.
« J’écrivais mon journal intime si tu veux tout savoir, mentit-il.
C’était un peu la honte pour un garçon de faire ce genre d’aveux, car c’était une occupation qu’il attribuait à la gente féminine.
« Et tu parles de moi.
« Ça, tu ne le sauras jamais puisque tu n’as pas le mot de passe.
« Ah, tu crois ? fit-elle en faisant une moue de petite fille. Je pense que tu sous-estime mes charmes. J’obtiens généralement ce que je veux des garçons.
D’une démarche sensuelle, elle s’approcha de lui et saisit ses deux poignets. Il lutta pour se libérer, mais il eut beau s’agiter dans tous les sens, forcé, la jeune fille tint bon. Puis, après une minute à se débattre comme un beau diable, il commençait à s’épuiser et la fille à le maitriser en restreignant ses mouvement. Voyant qu’elle prenait le dessus un sourire narquois apparu sur les lèvres de la jeune fille.
« Eh bien, ce n’est pas toi qui disait que les hommes était plus fort que les femmes ? se moqua-t-elle. Je croyais que l’endurance c’était ton truc.
« Je ne suis pas au mieux de ma forme, j’ai passé une nuit blanche.
C’était la vérité, mais aussi une pauvre excuse à ses propres yeux, car son adversaire n’était qu’une fille. A la fois complétement dépité et résigné, de se faire ainsi dominé par son crush. Vaincu et humilié, il abandonna toute résistance.
« Tu abandonnes ? Dans ce cas, je suppose que c’est mon tour.
Elle l’entraina l’obligeant, à reculer, à faire avant de le pousser contre la table. Si un passant les surprenait, il aurait pu croire qu’il dansait. Une danse qu’incontestablement Alya dirigeait avec douceur mais fermeté sans qu’il ne puisse rien faire pour l’en empêcher. Le pauvre Adrien avait l’impression de n’être qu’une poupée de chiffon. Peut-être avait-il eu tort de penser qu’il était forcément plus fort puisqu’il était un garçon, songea-t-il avant de rejeter cette idée. Elle était sans doute effectivement plus forte qu’il ne l’avait cru, mais la raison si la belle le maitrisait si aisément c’était plus probablement parce qu’il était épuisé après une nuit sans sommeil. Il était impossible qu’une fille de quinze ans puisse le battre dans des circonstances ordinaires. En tout cas, sa frustration du se voir sur son visage car la jeune fille gloussa.
« Alors, on n’aime pas ce faire maitriser par une fille, le nargua-t-elle amusé.
« Ce n’est pas dans l’ordre des choses, râla-t-il.
« Je ne t’imaginais pas si macho.
« Je ne suis pas macho, protesta-t-il.
« Sans blague, monsieur ce n’est pas dans l’ordre des choses.
Elle avait raison, bien sûr. Il était complétement dépité de se faire ainsi dominer par une représentante du sexe faible qui plus quand cette dernière était son crush qui avait trois années de moins, mais le reconnaitre risquait de le faire passer pour un connard myogène.
« Quelle fille accepterait de sortir avec un mec plus faible que lui.
C’était plutôt pathétique comme excuse, mais c’était une façon de lui demander indirectement de garder le silence sur ce qui venait de se passer dans ce potager partagée sans qu’il ait l’air de la supplier.
Elle leva les yeux au ciel en disant :
«Ah, les hommes. Tu sais qu’on est plus au vingtième siècle, tu sais.
« Ça, c’est la théorie, mais dans les faits, je pense que c’est une autre histoire. Je ne suis pas sure qu’une fille sois très attirer par un mec incapable de la protéger en cas de problème.
« Je pense être capable de me protéger moi-même, mais je vois ce que tu veux dire.
Elle fit un pas vers lui pénétrant dans sa zone intime. Adrien ne pouvait pas reculer à cause de la table de bois derrière lui, il était littéralement aculé. Son corps contre le siens, leur bouche séparer par à peine un centimètre. Il n’avait jamais été si proche physiquement.
« Si c’est vraiment ce que tu penses, alors peut-être qu’on devrait inverser les rôles.
Et avant que le pauvre garçon n’ait pu comprendre le sens de ses paroles, elle renversa le garçon sur la table. Alya se tenait au-dessus de lui le dominant avec un sourire narquois.
« Gagner. La femme gagne. Tu ne pensais pas qu’une fille pouvait abuser un garçon par la force, avoue.
Il fut alors prit d’un soubresaut de fierté masculine et il dit :
« Impressionnant, mais je pourrais me libérer quand je veux.
« Pas envie la vue est splendide d’où je suis. Oui, elle me plait infiniment. Je pourrais rester à l’admirer toute la journée.
La jeune fille n’eut pas l’air de comprendre tout de suite, puis Chantal vit qu’il regardait avec une expression lubrique son décolleté.
« Petit coquin, va. Tu aimerais bien les touchés.
« Quiconque de sexe masculin qui prétendrait le contraire serait un mentir ou un gay. Mais rassure toi, je serai me tenir et me contenter de la vue magnifique que tu m’offre.
« Après ça, je suis sure que tu penseras à moi la prochaine fois que tu d’adonnera au plaisir en solitaire.
« Parce que tu penses que ce n’était pas déjà le cas ? Il me semble pourtant d’avoir avoué la cause de mon insomnie.
Alya très amusé par le badinage du garçon gloussa. Mais elle n’était pas dupe, Alya n’était pas dupe. Ses pitreries avaient pour unique but d’éviter de reconnaitre sa défaite et préserver le peu de fierté masculine qui lui restait. Dommage pour lui, la fille à la peu d’ébène n’était pas du genre à se contenté d’une demi victoire.
« Si tu arrives à te libérer, je t’autoriserais à les embrassé, mais si tu échoue ou refuse je t’obligerais à embrasser mes pieds et ferais de toi, mon esclave.
La garce, elle ne lui laissait pas le choix que d’essayer.
Adrien avait récupérer un peu de force, il poussa de toutes ses forces. Ses efforts d’abord vinrent finir par payer, il parvint à faire s’élever de quelques centimètres. Alya loin d’être contrarié par cette petite réussite avait l’air ravi d’avoir un peu de challenge.
Les deux adolescents luttèrent durant un bon moment. Adrien luttait avec l’énergie du désespoir et cela lui prodiguait une force et une résilience insoupçonnée.
« Pas mal pour une fille, grinça-t-il entre ses dents le visage rouge et grimaçant.
« Pas mal pour un blanc, répliqua Alya le visage souriant et détendue.
Puis ce qui devait arriver advint. Après un affrontement d’un peu plus de vingt seconde, les poignets du garçon furent à nouveau plaqués sur la table.
« Et regagner. La femme gagne, encore.
Adrien était anéanti. Il venait encore d’être battu par une fille. Il n’était pas au mieux de sa forme et elle était au-dessus ce qui l’avantageait, se répéta-t-il en son for intérieur. Seulement, il avait beau se répéter encore et encore que le combat n’était pas loyal, cela commençait tout doucement à ressembler à du déni.
Voyant comme il avait l’air débité Alya lui dit ;
« Je suis plus forte que toi, il n’y a pas de honte à ça.
« Tu vas vraiment m’obligé à embrasser tes pieds puant.
Alya fronça les sourcils.
« Mes pieds ne sont pas puant. Je ne te permets pas.
« Meuf, tu viens de faire un jogging de cinq kilomètre, comment pourrais-t-il e, être autrement.
« Ah oui. J’avoue. Un peu peut-être. Quoiqu’il en soit, tu devrais être ravi d’embrasser une si jolie fille.
« J’aurais préféré les lèvres.
« L’un n’empêche pas l’autre, tu sais. S’il ne suffit que de cela pour te consoler, d’autant que j’avais bien l’intention de profiter que tu étais mon prisonnier Après tout, ce n’est pas tous le jour que l’on a l’opportunité d’abuser d’un beau garçon de seize ans.
« Sauf que j’ai dix-huit ans.
Alya le regarda étonné.
« Je croyais que nous étions dans la même année.
« J’ai double deux fois.
Une expression ravie illumina le beau visage de la fille.
« Je n’arrive pas à croire que j’ai battu un mec de dix-huit ans.
Elle se pencha vers son oreille et lui souffla comme si c’était un secret.
« Je t’avoue que battre les garçons et brisé leur égo ma toujours excité, mais là, ce n’est plus une simple histoire d’une fille qui botte le cul d’un garçon, plutôt celle d’une fille qui bat un homme. Alors rassure-toi, tu vas l’avoir ton baisé ne t’en fais pas et même un peu plus. Dommage pour moi et heureusement pour toi nous sommes dans un lieu public faute, parce que dans l’état ou je suis, tu te serrais fais violer.
Alya se redressa se pencha sur lui. Elle allait vraiment le faire se dit le jeune homme. Son premier baiser, enfin. Elle se pencha pour l’embrasser, mais au moment où leurs lèvres allait se toucher, elle s’interrompit et demanda ;
« Dis-moi, Les textes que tu as écris, il ne se trouverait pas sur cette clé USB que je vois sur ton portable.
Merde, il avait fallu qu’elle le remarque maintenant ragea le garçon ou peut-être avait-elle prévu cela depuis le début.
Libérant sa proie, elle prit la clé USB.
« Je vais enfin connaitre des fantasme les plus salace.
« Rends la moi, fit-il paniquer à l’idée qu’elle découvre toute l’ampleur de sa permission. La jeune fille l’évita.
« Tu veux à chat ? Pourquoi pas ?
Il se mit à lui courir dans le petit carré de verdure du potager partagé. Alya le narguait en mettant l’objet de sa convoitise hors de sa portée, l’espiègle et agile Alya faisait des acrobaties pour l’éviter, faisant salto, roue et autre figure de gymnastique très stylé. A un moment, il crut l’avoir acculer dans un coin dos aux haies, en se servant de ses épaules comme appui, elle était pas par-dessus lui en faisant un soleil. Finalement, elle fit un pas de côté pour l’éviter une dernière fois et lui fit une croche pied au passage. Il s’effondra face contre terre.
« Eh bien, je croyais que les chats retombait toujours sur leurs pattes.
Adrien en nage tant il était en sueur, était trop épuisé pour répondre à ses moqueries. Il la regarda et la trouva en grande forme. Cette fille n’était pas humaine. Elle devait être un robot à l’apparence de fille sexy ou plus probablement une déesse de la beauté africaine descendue parmi les hommes cela expliquerait pourquoi, elle ne transpirait pas alors qu’il faisait plus de trente dégrée et toute cette activité.
Comme pour le contre une unique coûte de sueur apparu glissant le long de son cou descendant lentement vers sa poitrine pour disparaitre entre ses deux seins. Voyant à qu’elle endroit de sa personne se porta le regard du garçon, Alya sut comment prolonger son jeux.
Allons, regarde, chaton ! La clé est là. Prends la viens la chercher en lui tentant l’objet tant convoiter.
Même s’il savait qu’elle se moquait, le jeune homme ne put s’empêcher d’avancer la main pour la prendre. Comme de bien entendu, lorsqu’il voulut la prendre, elle le mit hors de sa portée.
« Non, pas comme ça. Après tous ses efforts et m’avoir autant divertis, tu mérites une petite récompense. Elle plaça alors la clé à l’endroit ou un instant la goutte de sueur avait disparu.
Adrien savait qu’en dépit de ses insinuations – voir à son invitation- la sportive ne se laisserais pas ainsi touché si facilement. Il était clair que dans son état, il n’allait pas y arriver, il se résolu à ruser.
« Laisse-moi reprendre mon souffle.
«Le monde est vraiment cul par-dessus chemise si les pauvres petite souris sont plus fortes que les matou. D’un autre côté, cela ne me dérange pas d’avoir un joli garçon à mes pieds. Au fait, tu n’étais pas censé me baiser les pieds ?
« Si je refuse, tu vas m’y obliger ?
« Je vois que tu commences à bien me connaitre.
A la grande surprise de la métisse, il fit mine de s’exécuter, sauf qu’au dernier moment, il se jeta dans ses pieds pour tenter un plaquage qui réussis miraculeusement. Cette fois le garçon avait un sérieux avantage, car il avait su profiter des quelque seconde de confusion de la jeune fille afin de s’assurer sa victoire. D’abord, il s’était assis à califourchon juste en dessous de sa poitrine, là où se trouve le plexus solaire afin de rendre compliquer la respiration Mais il ne s’était pas arrêté là et avait poussé encore son avantage. Ayant constaté qu’en dépits de la faiblesse inhérente à son sexe, elle était forte pour une fille au point même d’être capable de lui résister -grâce à son affaiblissement du à la fatigue, mais quand même- il décida qu’au lieux de se risquer à l’épreuve de force et lui plaquer les poignets au sol à la force de ses bras, il coinça chacun deux sous ses genoux, pesant ainsi de tout le poids de ses cinquante-huit kilo sur chacun d’eux.
« Il semblerait que cette fois l’homme gagne.
« Quelle grande victoire pour un homme accompli de battre une fille de quatorze ans, tu dois être très fier.
« Tu auras bientôt quinze ans révolu. Quant à ta remarque ce n’est pas la fierté qui domine, mais plus tôt la lubricité. Tu te souviens que tu m’as dit d’aller chercher la clé ou elle se trouvait.
« Je suis certaine que c’est la première fois que tu toucheras les seins d’une fille se moqua-t-elle.
« Et je ne regrette pas d’avoir attendu pour une poitrine comme la tienne, ma belle déesse de l’amour africaine.
« Tu sais ce n’est pas parce que je suis noire que je suis africaine. Je suis aussi française que toi.
« La référence au divin n’avait que pour exprimer la beauté d’un corps si sublime qu’on peut légitiment se demander s’il ait de ce monde.
« C’est agréable à entendre, mais je sais que comme le dit la fable tout flatteur vit au dépens de celui qui l’écoute.
« Je t’assure que je pense chaque mot que je pense. En dehors de Marinette la plus jolie fille du lycée, aucune fille de ma connaissance ne serait tenir la comparaison.
« Oh ! Aurais-je une rivale ?
« Seulement dans mes fantasmes. Elle a un copain.
Alya fit mine d’être vexé.
« Et de nous deux laquelle tu préfères?
Adrien réfléchi et l’image des deux jeunes filles s’imposa à lui. Pour ce qui est du visage Marinette était nettement plus belle, mais le corps d’Alya c’était carrément autre chose.
« J’hésite vous êtes très jolie chacune à votre façon.
« Arrête d’ergoter et décide toi..
« Disons que si j’avais le choix entre toucher les seins et ceux de Marinette, je choisirais les tiens.
« Parce qu’ils sont plus gros.
« Un peu.
« Et il ne nie même pas. Tu sais ce qui ne peut pas être pris dans une main est perdu. Elle fait combien de tour de poitrine, ta Marinette ?
« Je ne sais pas, moi ?
« Adrien.
« Bon, 85 C.
« Pas mal. Elle est assez forte pour te casser la gueule ?
Il rigola.
« Je ne pense pas.
« C’est ce que tu disais aussi avec moi.
« Et tu vois nos positions respectives.
« A cause d’une attaque surprise. Je pense que nous savons tous les deux qui serais sous lequel de nous deux serait sous fesses de l’autre. Tu sais que je suis plus forte que toi.
« Seulement parce que j’ai passé une nuit blanche. Au mieux de ma forme, je ne sais pas.
« Alors c’est ça ton excuse. Eh bien, faisons un bras de fer lorsque tu auras fait une petite sieste pour régler cette affaire.
« Si je trouves le sommeil.
Malgré son état de fatigue avancé, il n’était pas sûr de trouver le repos après tout ce qui s’était passé dans ce parc.
« Oh, je crois que j’ai un remède contre ton insomnie.
« Eh comment
« Je vais te mettre KO, lui répondis-t-elle avec le plus grand sérieux du monde.
« Dixit, la fille que je suis en train de chevaucher.
«Pas faux. Mais tu oublies un détail.
« Lequel ?
« Je ne suis pas un cheval mais un taureau qui va te désarçonner.
La jeune fille se mit alors par te violant coups te passer à le secouer dans tous les sens. La comparaison avec taureau n’était pas exagérer, malgré, ses cinquante-huit kilos bien réparti pour la maitriser –du moins le pensait-il- le garçon était balancer dans tous les sens. Il ne contrôlait rien et devait faire de gros effort pour rester en place. A force de s’agiter, elle ne finit pas libérer sa main gauche. Ce bras libéré et la perversité d’Adrien, scellèrent l’issu de la lutte car au moment où elle parvint à le dégager, ce cochon d’Adrien avait été récupérer la clé. A sa décharge, il l’avait récupérer sans trop en profiter.
« Tu ne vas pas de te contenter de si peu pour ta première fois, lui dit la belle métisse en lui saisissant le poignet.
L’adolescente l’attira contre elle sa tête s’écrasa entre ses deux seins. La sensation était agréable, mais quand il voulut s’écarter pour reprendre son souffle, son adversaire en string l’en empêcha d’une main ferme. Après une minute de cet étouffement mammaire, il finit par manquer d’air et perdre connaissance.
Après s’être assuré que sa victime était bien inconsciente, elle libéra sa proie, puis très contente d’elle-même regarda sa victime. Elle le trouva drôle et mignon. Elle avait bien aimé l’intimider et briser ses certitudes machistes. La jeune fille sentait qu’avec lui, elle allait bien s’amuser. Impossible de le laisser ici, il fallait le ramener chez lui. Avec un soupir Alya le souleva sur son épaule comme on l’aurait fait d’un vulgaire sac de pomme de terre. Elle quitta le potager partagée avec un sourire en pensant à la tête que ferais ses parents en voyant la voisine leur charmante tête blonde de la sorte.