League Of Legends Au lycé ! (Et bourré de fautes d'hortographes ! ^^)

Ezreal ne dormit pas de la nuit après ce qu’il eut vu…

Il arriva au lycée, et il vit Ahri…

Les blessures sur son visage n’étaient plus présentes… Concernant les autres, Ezreal ne put les voir puisque la tenue d’école de Ahri ne lui permettait pas de les voir…

Quand à Talon, il ne souriait pas, ne parlait pas, et avait l’air sérieux, et parfois même mélancolique…

La journée passa mais dans la classe régnait une atmosphère pesante…

Le soir… Tous partirent du lycée, mais Talon suivit Ahri sans qu’elle ne le remarque…

Et comme la veille, la même scène eut lieux : même lieu, même personnes, même heure… Tout était très similaire…

Mais avant que tout cela ne prit une trop grand ampleur, Talon courut et se mit entre Ahri et Rengar et les autres. Ahri était au sol, et vit Talon et était choquée…

« Vous n’avez aucune raison de faire cela ! Alors dégageaient !

-Talon ! Arrête ce ne sont pas tes affaires ! »

Et soudainement, Jax prit un grand bâton et le fracassa sur le crâne de Talon qui tomba au sol, il était presque inconscient…

« Et si on rendait les choses plus intéressantes les gars ? demanda Rengar, On ne fera rien ni à toi, ni à ton ami si tu poses nue devant nous. Sinon, on fait sur lui ce qu’on te fait tous les jours !

-Q-q-q-q-q-q-q-quoi ?! Non… Je… »

Ahri réfléchit, et soupira, et regarda Rengar droit dans les yeux.

« Si c’est pour lui… Très bien, mais vous ne nous faites rien... »

Ahri soupira de nouveau et ouvrit le début de son chemisier. Elle regarda tristement Talon, qui lui fit signe de ne pas le faire… Ahri ne lui obéit pas, mais elle continua de le regarder et ouvrant toujours un peu plus son chemisier, mais Talon continua de lui faire signe d’arrêter, il lui en supplia presque.

Voyant cela, Ahri craqua et se mise à pleurer en arrêtant…

En voyant ça, les garçons commencèrent à frapper Talon de toute part, avec toujours plus de violence à chaque fois…

Ahri mit ses mains devant sa bouche et s’écroula au sol, en pleurant : son visage était devenu un vrai lac… Mais Talon, lui, souriait. Pour lui, c’était un exploit d’avoir aidé Ahri, la douleur ne lui importait peu.

Au bout d’un moment, ils s’arrêtèrent, et partirent en se moquant de Ahri et Talon…

Elle se précipita sur Talon, en pleure…

« Pourquoi tu ne m’as pas laissé faire ! Regarde ce qu’ils t’ont fait !

-Hehe… J’m’en fiche… Tant… Que je t’ai aidé… Tout… Me va…

-Ne restons pas là… Je vais t’aider… »

A ces mots… Ahri aida Talon à se releva et l’aida à marcher jusque chez elle.

Sur le trajet, Talon s’endormit, ce qui n’aida pas Ahri.

Arrivés chez elle, elle l’allongea sur le canapé, et prit de quoi couvrir les blessures de Talon.

Elle mit les bandages… Et quand elle eut fini, elle vit que le haut de Talon était un peu relevé ce qui fit qu’on pouvait voir une partie de son ventre…

Ahri releva le haut, ce qui fit qu’elle put voir ses abdos.

Elle mit un doigt dessus et sentit que c’était assez dur…

Elle passa sa main tout le long et fit sa plusieurs fois.

Talon ouvrit doucement les yeux, et Ahri s’arrêta aussitôt et elle se mise soudainement à rougir.

« Hehe, t’es pas très discrète.

-Pardon… Je me suis un peu emportée en voyant ça…

-Hehe, t’inquiète. Si c’est toi, ça va. En attendant, t’as des trucs à m’expliquer… Là, tu ne peux pas essayer d’esquiver ou quoi que ce soit, je veux des réponses.

-Ils me font subir ça chaque soir… En sortant des cours… Ils font ça juste pour s’amuser. Commença-t-elle, Et c’est ça depuis déjà longtemps… continua en se retenant de pleurer

-Combien de temps ?

-T-trois ans…

-Quoi ?! Mais c’est énorme ! Et tu ne fais jamais rien !?

-Au début, j’essayais… Mais c’était encore pire… Donc maintenant… Je les laisse faire…

Puis soudainement une petite larme coula sur son visage…

-C’est un véritable cauchemar… Et il ne s’arrêtera jamais… C’est affreux…

-Tu n’en as jamais parlé… ?

-Non… J’avais trop-

A ces mots, Talon donna une grosse gifle à Ahri, qui fut énormément surprise.

-T’es stupide ou quoi ?! Ce genre de problème faut en parler !

-Tu crois vraiment que c’est simple ou quoi ?! Je n’ai juste pas la force de la faire !

-Donc tu te laisses marcher dessus sans rien dire ! T’es surement intelligente mais sur ce coup, t’as été trop stupide !

-Mais moi je ne pouvais pas !

-Des gens sont là ! Pourquoi tes parents tu leur en a jamais parlé ?!

-J’aurais aimé… Mais… Ils ne sont plus des nôtres maintenant…

-Quoi… ?

-Ils sont morts il y a déjà cinq ans maintenant…

-Je suis… Désolé… Je ne voulais pas…

-Voilà pourquoi je ne voulais pas ! Vous n’aurez rien pu y faire et je vous aurai causé trop de soucis ! J’en ai marre ! C’est affreux ! C’est sans fin ! C’est pourquoi je suis devenue dépressive ! Je veux juste… Mourir… » dit Ahri en pleurant de plus en plus

Alors que Ahri était assise sur le canapé, Talon, qui était allongé, la prit dans ses bras.

Ahri se trouva sur Talon, avec une de ses jambes, resta hors du canapé…

Ahri lâcha tout ce qu’elle avait sur le cœur en pleurant d’un coup sur Talon, et alors que lui continuait de la serrer dans ses bras, voulant lui donner tout le réconfort qu’elle n’avait jamais eu auparavant.

Ils restèrent comme ça un long moment, et soudainement, Ahri s’endormit sur Talon.

Ce dernier ne bougea pas, profitant du premier moment tranquille avec elle.

Après un très long moment, Ahri se réveilla doucement, voyant qu’elle dormait sur lui, elle se mise donc à rougir.

« Moi s’il faut, je t’aiderai comme il le faut, d’accord ?

-Oui… Merci… Merci beaucoup… »

Ils se fixèrent un instant, et Talon embrassa Ahri qui ne contestât pas… Mais elle fut terriblement surprise…

Cela dura un long moment, puis ils arrêtèrent, tous les deux entrains de rougir.

« Cela ton convient… ? Tu vas mieux… ?

-Tu veux dire… Tu me demandes si tu veux qu’on…

-Oui, Ahri, tu veux sortir avec moi ?

-Évidemment… »

Puis ils se mirent assis, Talon embrassa Ahri une dernière fois, et il se leva. Elle le suivit et ouvrit la porte.

« A demain… 

-A demain. Et demain, on réglera tes problèmes, ok ?

-Merci ! »

Talon sortit et Ahri ferma la porte. Elle se mise à s’assoir au sol, contre la porte.

« On est donc bien… Ensemble… Talon… Merci… »