L'amour de Lady Helen

Chapitre 3

386 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 28/09/2017 10:41

Darby aida la jeune femme pour se préparer au dîner. Elles avaient établis un plan pour savoir la réaction de Lord Carlston lorsqu'il la verrait. Une fois prête,Hélène se contempla. Pour elle la robe était transparente, laissant voir une lingerie affriolante. Aucun Corset pour l'occasion, une robe simple mais ravissante, un porte jarretelle noir tout en dentelle, un soutien gorge laissant entrevoir le plus grand.


-Tu es sûre que les autres personnes ne verront rien? S'inquiéta Helen.


-Non Milady, c'est assurer, moi-même je ne vois pas au travers. C'est simplement par le textile que j'ai pu en faire la trouvaille.


On frappa à la porte. Helen fit signe d'entrer. La porte s'ouvrit sur Lord Carlston.


-Lady Helen, voulez-vous...


Il s'arrêta net à la vue de cette dernière.


-Oui Lord?


Elle cachait néanmoins un sourire coquin. Il l'avait donc vue. Enfin, vue ce qu'il y avait à voir.


-Hum...fit-il en tirant sur son col, comme trop serré. Le...le dîner va être servi, si vous voulez bien vous y rendre?


-M'accompagnerez-vous?


-A...Avec plaisir Lady Helen...


Helen adressa un clin d'oeil complice à sa soubrette qui lui rendit par un sourire.

Il descendirent donc retrouver Lady Margaret, Monsieur Hammond, ainsi que d'autres personnes, lady Margaret ayant organiser une petite fête.


-Alors Lors Carlston? Interrogea la jeune femme joyeusement. Comment allez-vous?


-Bien, bien...


Puis il détourna la tête, comme pour éviter de regarder Helen.


-Hum...


-Oh une danse! Me feriez-vous l'honneur de danser avec moi? Demanda Helen.


-Oh...bien sûr...


Il se rendirent donc sur la piste, où une danse gracieuse arriva. Au grand malheur du Lord, qui essayait tant bien que mal de ne pas regarder le corps d'Helen, il fallait bien la regarder pour faire correctement la danse. Il sentait qu'il ne tiendrait pas toute la soirée ainsi, car déjà, son pantalon le serrait trop.

Puis vint un léger porté. William attrapa la taille de la jeune fille qui se retenait de trop sourire.

Elle vaut donc raison. Il n'était pas indifférent à son charme. Lorsqu'il posa ses mains sur sa taille, l'envie fut presque trop forte et il dut contenir ses émotions à grand peine.


-Vous n'allez pas bien? Nargua la jeune fille.


-Non, je vous remercie.






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