Une fraction de seconde - La casa de papel

- Voleuse de poules !

Nairobi était fatiguée et n'arrivait presque plus à marcher, elle n'avait pas envie de se retourner mais après tout, elle n'avait plus rien à perdre, elle était prête à écouter Gandìa. Elle se retourna vers Gandìa et elle vit la terreur, les yeux maléfiques de son assassin. Celui-ci reprit :

- Je t'avais dit que j'allais te buter !

Nairobi eut seulement le temps de voir Gandìa appuyer sur la détente avant de s'écrouler par terre, une balle dans la tête. C'éait les derniers mots qu'elle avait entendu, une menace de mort et puis plus rien. Tout était allé tellement vite, à peine une minute avant, tout les braqueurs pensaient qu'elle était seine et sauve. Helsinki hurlait de douleur et Bogota, lui, fixait Nairobi gisant sur le sol, moins d'une heure avant ils étaient tout les deux, heureux entrain de s'embrasser dans l'ascenseur. Pour Bogota le temps s'était arrêté et plus rien avait d'importance, les seuls mots qu'il avait en tête étaient tuer Gandìa. Évidemment Denver avait été plus rapide et s'était lancé à sa poursuite dans l'espoir de lui atomiser la gueule, il jeta une grenade en direction du tueur qui fut frôler par la grenade.

NDA : À chaque fois que le texte est en italique, c'est que c'est Tokyo qui raconte l'histoire.

Plus rien n'avait d'importance, bientôt les seuls souvenirs qu'il resterait de ma grande copine Nairobi serait cette seconde là. Ce moment où la balle avait heurter sa tête et emporter sa vie loin de la banque d'Espagne. Le courage et l'empathie de Nairobi lui avait coûter la vie, cette femme qui même avec les otages savait se faire apprécier et aimer. Rappeler de Mr Toress qui était pourtant qu'un simple employer à la fabrique de la monnaie et du timbre.

             |3 ans avant|

Madrid ~ Fabrique nationale de la monnaie et du timbre 

Nairobi était énervée, Berlin osait lui ordonner d'arrêter les machines, elle sortirait avec son milliard un point c'est tout, elle n'avait tout de même pas accepter de braquer la Fabrique de la monnaie et du timbre pour seulement quelques millions. Berlin prit son petit sourire mesquin avant de cracher son venin à la figure de Nairobi.

- Écoute Nairobi si je te dit d'arrêter, tu arrêtes !

Berlin avait haussé le ton pour reprendre une fraction de secondes plus tard d'un ton étrangement doux.

- Tu sais pourquoi c'est moi qui commande ici ? Tout simplement parce que toi, t'a rien dans la tête. Tu veux rester dans cette souricière pour avoir ton milliard. Et tu sais, tu sais ce que ça me rappelle ça ? L'histoire de la mère qui laisse son enfant, son bébé pour aller vendre des cachets. Bien sûr elle se fait prendre et on lui retire la garde de son fils.

Nairobi avait les larmes aux yeux tandis que Toress, responsable des billets observait la scène. Enfin Berlin reprit d'une voix grave :

- Avec moi ce genre de choses n'arrive pas Nairobi !

Nairobie éclata de rire et souria, Toress à son tour rigola, Berlin également toujours statique et sur de lui.

Ce moment vous rappelle quelque chose, en effet, alors que nous tous se préparions à faire nos valises et quitter la Fabrique, Nairobi et Berlin avait trouver le moyen de ... Je n'ai même pas les mots. Et moins de 3 ans plus tard, tout deux étaient devenus des anges. Nairobi avait fini par céder et ordonner à Toress d'arrêter les machines tandis que Berlin avait quitté la salle.

- Mademoiselle Nairobi ? appela Toress.

- Oui Toress.

- Je ne suis pas d'accord avec Mr Berlin, je suis persuadé qui vous ètiez une superbe maman, je vous le redit encore une fois, vous êtes la meilleure patronne que je n'ai jamais eu et je suis sûre que vous vivrez très longtemps. Vous savez pourquoi, parce que ça finit toujours pas payer et un jour votre tour viendra, ne vous en faites pas.

Nairobi avait toujours les larmes aux yeux, elle prit la tête de Toress dans ses mains vernis de noir.

- Merci Toress.

             |3 ans après|

Madrid ~ Banque d'Espagne

Cela faisait déjà 1 h 45 que Nairobi avait perdu la vie en une fraction de seconde. Bogota, Palerme et Rìo essayait d'ouvrir la porte de la pièce de haute sécurité tandis que la police recevait le cercueil de Nairobie. Rio glissa la caméra dans le trou qui venait d'être fait dans la porte et aperçut le corps de Gandìa à terre et à côté Tokyo enchaînée. Ils déroncèrent la porte, Rio se précipita vers sa bien aimée et la détachâ pendant que Helsinki vérifiait son pou. Il a un pou cria t-il, ce que Tokyo ignora.

De l'autre côté de la ville, le Professeur lui, installait sa caméra face à lui et dans à quelques secondes, sa tête serait sur tout les écrans publicitaires de Madrid. Plus que 3 secondes ... 2 ... 1 seconde et top ! Le Professeur commença son récit :

- Notre camarade Lisbonne a été arrêtée illégalement. Elle est actuellement détenue au QG de la police, en face de la banque d'Espagne. Sans qu'aucun juge n'en est été informé. Son avocat auquel elle a le droit, après que la police ait ordonné son éxécution, et j'en ai la preuve.

Le professeur fit écouté l'enregistrement à plus de 2 millions de personnes, dont le colonel Tamayo qui sentait toute l'opération se retourné. Enfin il coupa l'enregistrement et arrêta la caméra. Tamayo et Sierra devait vite trouver un moyen de dépasser toute cette histoire. Mais comment ? Sierra devait bientôt allé répondre aux questions des journalistes, Prietto était tombé, il ne restait plus que Suarez et le petit Angel. Le professeur sentait lui tout le plan jouer en sa faveur, il ne lui restait plus qu'une seule mission libérer Lisbonne. Et il disposerait de toutes les informations nécéssaires pour sa libération grâce à son espion Antoñanzas qui évidemment dés qu'il aura entendu le moindre information ira appelé le professeur comme un gentil toutou. Une fois de plus Sergio remonta ses lunettes, ce dernier avait déjà un plan infaible en tête. Mais lequel ?

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NDA : Ce premier chapitre est déjà terminé, je tient à vous prévenir que dans les deux ou trois premiers chapitres de nombreuses scènes de l'histoire originale reviendront pour que ce soit cohérent avec la fin de la 4ème saison. En attendant n'hésitez pas à lâcher un commentaire et une petite étoile ça me ferait super plaisir :)

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