Escouade Livaï.

Bonjour, j'ai écrit ce court texte sans aucun but particulier, l'envie m'a juste prit d'un coup et j'ai donc tapé cet écrit.

Livaï appartient à Hajime Isayama.

Un goût amer dans la bouche ne délaisse pas ses papilles gustatives, son thé noir, ou bien, la profonde amertume qu'il éprouve cet instant, le caporal-chef ignore la raison du pourquoi il ressent une telle saveur désagréable. Quelques malheureux jours, seulement, sont passaient depuis leurs morts, son escouade entièrement anéantie, il ne cesse de revoir à chacun leur iris dépouillé de toute trace de vie, à la vue de leurs corps dont l'âme est désormais éteinte, il avait pris sur lui, conservant un visage froid ainsi que vide d'une quelconque part de tristesse. Au plus profond de son être, son visage impassible n'avait était qu'un simple masque à cet instant, un pur mensonge. Lui qui, en temps normal est associé à une coquille vide due à son comportement glacial, dans son corps d'être humains, son cœur fut brisé de façon douloureuse une seconde fois. Un sentiment d'antipathie le saisit, et ceci, envers lui-même. Pourquoi avait-il fallu qu'il revienne si tard, trop tard ? Aveuglément, il avait comme toujours suivi Erwin, imprudemment, il avait cru en leurs forces, pourtant, au fond de lui ; il le sait, il le savait, qu'ils ne s'ont pas invincibles, qu'ils n'étaient pas invincibles. Enfin, de toute façon, faire cette constatation maintenant est trop tard, désormais, Livaï se retrouve là, de nouveau assis à cette table où seules les élocutions de ces défunts camarades résonnent dans la pièce, à nouveau, il se retrouve seul à supporter le fardeau qu'est la mort, celle qui toujours, vient tôt ou tard nous prendre ces êtres chers à nos cœur...