Vilaine Ackerman.

Chapitre 1 : Le caporal est bon pour tuer les titans, mais pas que.

Chapitre final

862 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour il y a environ 8 ans

Note de l'auteur : Hey, ce court écrit, est né de mon ennui. Bonne lecture, merci si vous laissez un commentaire. Bisous.


+ Les personnages, appartienne à Hajime Isayama.


« Caporal... Aah ! »


Seul l'écho de leurs gémissements se répercute autour d'eux, une ambiance torride emplie la chambre tandis que des corps en mouvement ce rencontre avec frénésie et acharnements. La peau humidifiée, des gouttelettes de sueurs prennent forme ici et là, elle glisse silencieusement sur leurs chairs enflammées dû à leur ébat successif. Les cheveux de la jeune Ackerman sont en bataille, lui donnant un air sauvage et sexy, tandis que lui, Livaï, il la dévore des yeux. Il observe le spectacle qui se déroule sous son corps bouillant, et ce, depuis un bon moment maintenant, sa subordonnée ; Mikasa, qui en temps normal ne cesse de lui tenir tête, il a la satisfaction de la percevoir, sous lui, dans son lit en train de gémir de plaisir, pas étonnant avec les coups de butoir violant qu'elle se prend de sa part, une demi-heure que sa dure. 


Pour la quatrième fois, le caporal-chef se déverse en elle, sa main rugueuse vient fortement claquer contre son arrière-train, faisant cambrer la brune une nouvelle fois de plaisir. Celle-ci tente de retrouver sa respiration, elle haletée, déjà au septième ciel depuis longtemps, le brun a la nette intention de continuer leur petit jeu, la voir soumise à lui ainsi ne lui fais que trop plaisir. 


« Je n'ai pas finis, de te punir, Ackerman.. »


Il souffle cela chaudement dans le creux de son oreille, sa langue humide lèche le creux de celle-ci qui vire au rouge, aussi bien que la propriétaire. Sans demander une quelconque permission, il la pénètre de deux doigts, titillant de cette façon son entrée, Mikasa laisse échapper une liste de gémissement d'entre ses lèvres rosées ainsi qu'abîmée, le caporal n'avait que de les mordre précédemment. À son ouïe, ses élocutions sont une pure mélodie, c'est désirant en profiter d'avantage qu'il fit d'agréables mouvements circulaires en elle.


« Capor...mhh... Gémis, la brune.

-Alors Ackerman, on est excitée ? Interroge le brun. Ne me dis pas non, tu es humide entre les cuisses. Eh puis pas qu'un peu. Ajoute-t-il fière. »


Une armée de papillons redoublèrent dans le ventre de l'Asiatique, celle-ci n'avait pas eu l'intention de dire non, l'excitation est bien trop intense qu'elle ne désire qu'une chose, que le caporal continue de la punir à sa façon. Soudainement, elle sentit les doigts du brun quitter son intérieure, un soupir de pure frustration se fit entendre de la soldate, elle put alors observe le caporal, léchant ses doigts humides.


« Caporal-chef Livaï... Murmure-t-elle essouflée. »


À l'entente de son grade, le brun stoppe son occupation pour lancer un regard amusé à sa captive, sa langue passe doucement sur sa lèvre inférieur, la vue du corps nue de l'Asiatique lui donne toujours autant fin.


« Qui y a-t-il Ackerman ? » Demande le brun.


Avec du mal, la brune, ce redresse, quelque peu, s'approchant du capitaine qui, reste là à l'observer galérer dû à son poids. Les lèvres gonflées de Mikasa viennent vite capturer leur jumelle, elle démarre un baiser fougueux, endiablé, partant combattre sans répit le bout de chair rose appartenant au soldat. Leurs langues, elles sont là, en train de ce toucher, de se frôler, de se caresser, leurs mains à tous les deux, elles ne restent pas inactives, elles glissent dans leurs chevelures pour caresser celle-ci. Livaï rallonge la brune sous lui, attaquant sauvagement ces lèvres, sous les assauts du brun, les gémissements de la jeune femme sont de nouveau présents. 


À bout de souffle, ils se séparent, le souffle saccadé, les iris hâlé d'Ackerman se plongent dans celle orageux du caporal-chef. L'un et l'autre se désirent toujours autant, la voix enrouée à force de crier, elle fit finalement, enfin part de son regard.


« Fouette-moi, Livaï ! »


Un sourire translucide apparut sur le visage toujours glacial du brun, qu'elle idée alléchante, songe t-il intérieurement, en plus de cela elle avait dit son prénom.


Un sourire translucide apparut sur le visage toujours glacial du brun, qu'elle idée alléchante, songe t-il intérieurement, en plus de cela, elle avait dit son prénom.


« Oh oui, je vais te fouetter, car, tu es une vilaine fille, Mikasa. »


Chose sûre, Mikasa ne pourra strictement rien faire le lendemain, c'est ça de se faire prendre par le caporal-chef Livaï.


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