L'Exécuteur
Salut à tous ! Comme promis voici ma seconde fic sur le couple Eren x Levi ! Je suis ravie de la partager avec vous. Le genre étant un peu différent et plus attrayant à mon goût, j’espère que vous apprécierez ! J’ai une nouvelle fois opté pour un point de vue omniscient. Le début est en italique c’est normal ;) ça ne durera pas ne vous inquiétez pas !
Des explications importantes après ce passage ! A lire absolument ! Allez c’est juste un petit moment à passer, et perso je trouve ça plutôt intéressant… ( ° 3 ° ) Juste pour vous dire que c’est des infos qu’il vaut mieux que vous sachiez pour la suite
Je remercie par ailleurs les reviewers du dernier chapitre de En Passant – partie 2 !
Et sur ce je vous souhaite une bonne lecture !
Elément du passé d’Eren :
Nous étions fin décembre. Il faisait nuit, et il devait sans doute avoisiner les vingt-trois heures. Le jeune brun, qui avait à ce moment-là treize ans, était dans son lit en position fœtale, les yeux grands ouverts. Il ne parvenait pas à dormir avec toute cette agitation qui régnait dehors. Des lumières rouges dansaient sur le mur de sa chambre à sa droite, et il pouvait clairement entendre le bruit d’une sirène à travers le double vitrage de ses fenêtres. Il soupira bruyamment et plaqua un oreiller sur sa tête.
Au bout de quelques minutes, et après s’être retourné maintes et maintes fois sous sa couette, il se décida à se lever. Ses pieds nus se posèrent sur le parquet froid de sa chambre, et il se dirigea à petits pas en direction de sa porte. Il l’entrouvrit, la faisant grincer légèrement, et descendit les escaliers en faisant le moins de bruit possible. Les lumières étaient toujours allumées étrangement, et il entendait des voix provenant du salon. Il y avait du monde apparemment. Toujours à pas de loup il se rendit dans la pièce principale, et découvrit son père assit sur le canapé gris, la tête dans les mains. Face à lui se tenait trois hommes en uniforme de police, dont l’un de la Police Spéciale, qu’il reconnut sans mal.
« Kitz ? l’appela-t-il en s’avançant vers lui en souriant. Qu’est-ce que tu fais là ?
L’homme se tourna vers lui. Il l’avait gardé de nombreuses fois quand il était plus jeune. Ce soir cependant, ses traits étaient défigurés par la tristesse et par la peur. Le brun fronça les sourcils.
- Il se passe quelque chose ?
Kitz fit un pas en avant, entrouvrant la bouche, la lèvre inférieure tremblante. Mais Grisha le devança :
- Eren !
Il avait bondi hors du canapé et s’était précipité vers lui, s’agenouillant quand il parvint à sa hauteur. Il prit les mains de son fils dans les siennes et les serra très fort.
- S’il-te-plaît, monte dans ta chambre. Je dois régler quelque chose d’important avec le travail.
Le jeune garçon balaya la pièce des yeux, et remarqua par la fenêtre plusieurs visages familiers du bureau de son père.
- Papa, pourquoi tout le monde est là ? Même Hannes, il –
- Eren.
Le ton de son père le fit s’arrêter net, et il remarqua finalement son regard rougi et les sillons de larmes qui commençaient à sécher sur ses joues.
- Qu’est-ce qu’il se passe ?
- Eren ne discute pas et retourne te coucher. Nous en parlerons demain.
- Ou est mam –
- Fais ce qu’il te dit mon garçon, intervint Kitz en posant une main sur son épaule.
Irrité, le jeune brun se dégagea.
- D’accord, d’accord, grommela-t-il.
Puis il tourna les pieds, marchant d’un pas mollasson vers sa chambre. Il avait clairement compris qu’il ne servait à rien de discuter. Quand il fut hors de leur vue il se plaqua contre le mur et tendit l’oreille. Un silence s’était fait, et il sut que son père n’avait pas bougé d’un pouce.
- Fait chier, fit Grisha d’une voix tremblante.
Eren ouvrit des yeux surpris. Il n’avait jamais entendu son père parler de cette manière.
- Comment tu vas lui dire au gamin ? lui demanda Kitz.
Le père se remit sur ses pieds avec lenteur. Le jeune brun entendit deux corps s’entrechoquer. Sans doute le bruit d’une étreinte.
- Tu crois vraiment qu’il y a une manière d’annoncer à un enfant que sa mère vient d’être tuée ?! haussa-t-il le ton.
Eren se figea et décolla l’oreille du mur. Il leva les yeux vers la lampe qui éclairait le couloir, et il plissa les paupières face aux rayons devenus beaucoup trop puissants à son goût. Maman est morte ?
- On va tous t’épauler, intervint Hannes.
Le brun n’avait même pas fait attention au fait que quelqu’un était entré dans le salon. En fait il avait comme du mal à entendre. Ou bien peut-être qu’il ne faisait même plus attention à son ouïe du tout. Ni même au toucher. Ou encore l’odorat. Seule la nouvelle qu’il venait d’apprendre se dessinait clairement dans son esprit, marquée au fer rouge. Tout ne semblait être qu’un faible bourdonnement. Un bourdonnement de plus en plus dérangeant. De plus en plus insistant. Maman est morte. Alors tout revint en force. Les sons crissant autour de lui, la sensation du carrelage dur et glacé, et même l’odeur de transpiration des hommes dans la pièce à côté.
- Prends du repos, et je vais m’occuper de cette fichue affaire, continuait le blond.
- Je vais le retrouver ce petit enfoiré qui a tué ma femme, grogna Grisha.
- Eh eh, calme-toi, je sais que c’est dur m –
- Non tu ne sais pas ! s’exclama-t-il, comme à bout de souffle. Je… Elle n’aurait jamais dû se trouver là-bas. Je suis responsable, c’est moi qui –
- Capitaine Grisha !
Le brun ne reconnut pas le possesseur de cette voix dure et stricte, et il se tendit, toujours à l’écoute.
- Chef Zacklay, que faites-vo –
- L’affaire est importante, fit le « Chef » d’un ton tranchant. Le tueur a été identifié, et il s’agit bel et bien de Necro.
Quelques murmures s’élevèrent.
- Necro ?! s’indigna Hannes. Chef ! Il s’agit là d’une affaire de vengeance envers le Capitaine Grisha ! Voilà des semaines que nous le recherchons et –
- Je sais, fit Zacklay, et tout le monde se tut.
- Chef, dit Grisha, et Eren put sentir son père trembler de colère. Laissez-moi –
- Non. Kitz sera celui qui prendra en charge l’affaire.
Des pas retentirent, s’éloignant en direction de la porte d’entrée.
- Je regrette Grisha, pour tout, soupira Zacklay, mais vous êtes beaucoup trop impliqué.
Puis la porte claqua. D’autres le suivirent, et le jeune ne fut plus sûr qu’il soit resté quelqu’un en plus de son père dans le salon, dont il entendait la poitrine se soulever en sifflant.
- Je ferai de mon mieux, fit Kitz avec douceur.
Puis il partit. Quelqu’un s’assit sur le canapé.
- T’inquiète pas, murmura Hannes.
Il était donc encore là lui aussi.
- Il va le coincer. Lui aussi il est proche de votre famille, et il va y mettre du cœur dans cette affaire. Il fera tout son possible.
Eren ferma les yeux, ne parvenant plus à les laisser ouverts tant ils lui brûlaient. Il respira par à coup par le nez, attendant la réponse de son père. Elle ne tarda pas.
- Je vais le buter.
- Grisha…
Son père s’était levé, et le jeune brun put sentir toute la hargne qui émanait de son corps, transperçant ses omoplates à travers le mur de béton. Il rouvrit les paupières. Ses yeux étaient redevenus secs. Et, comme si la colère et la peine de son paternel entrait en communion avec son cœur, il serra les poings de rage. Sa mère n’était pas morte. Pas seulement. Elle avait été tuée. Cette ville était pourrie jusqu’à la moelle. Un virus s’était propagé et envahissait tout, engloutissant les habitants dans l’ombre de son nuage noir de suie.
- Je vais le retrouver et je vais le buter ce fils de pute ! » cria Grisha.
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Retour au présent.
Le soleil se levait avec douceur sur la grande ville de Stohess, la capitale du pays. Les habitants se réveillaient tranquillement, se préparant à leur journée de travail, d’autres dormaient encore, et certains même étaient déjà dans les bureaux. Stohess était une ville dynamique et attractive, où se dressaient d’immenses gratte-ciels, illuminant les passants la nuit venue.
Ce monde parallèle s’organise de manière identique au notre. Nous retrouvons les cinq continents et les cinq océans, l’Everest est toujours le plus haut sommet terrestre, et la lune est bien à sa place à tourner autour de la Terre. La seule différence est :
Trente pourcent des habitants de la planète possèdent un pouvoir.
Certains le même, ou bien à peu près identique, et d’autres totalement différent, voire diamétralement opposé. Ces personnes « anormales » sont appelées lunaires, alors que les autres, qui ne sont pas détentrices d’un don, sont nommées terre-à-terre. Ce surnom peut être expliqué du fait que leur pouvoir est doublé une fois la nuit venue. Inversement les lunaires seront légèrement sensibilisés à lumière du soleil et, principalement, celle-ci reflétera leur don aux autres détenteurs de pouvoir, leur faisant du même coup ressentir un sentiment de malaise et d’insécurité. Ainsi, ils porteront généralement une paire de lunettes de soleil pour se protéger. Généralement en effet, car les lunaires possédant un parfait contrôle de leur pouvoir n’en auront pas l’utilité.
Pour commencer, plus leur don va se déclarer tôt plus il sera puissant. Ensuite, il existe deux types de pouvoir. Celui pouvant être arrêté, donc employé à la guise du possesseur ; et celui qui est permanent, c’est-à-dire qui sera toujours activé, sans possibilité d’être stoppé. Ce second type sera souvent le plus dangereux et donc redouté, mais aussi beaucoup plus rare.
A l’activation de leur pouvoir les lunaires verront une partie de leur corps changer de couleur ; habituellement les cheveux, les yeux, ou encore les ongles ou la langue.
D’autre part, la création d’une nouvelle police a été mise en place afin de contenir les lunaires incontrôlables. La Police Spéciale, au sein de laquelle nous trouvons une Unité Spéciale, dont chacun de ses membres possède un don suffisamment puissant pour un combat face à un autre lunaire. Elle gérera uniquement les débordements en ce qui concerne ce sujet. Des tensions seront en effet constatées entre des personnes « anormales » et des terre-à-terre à des endroits bien précis, et ce en dépit du racisme fortement puni par la loi.
… En ce qui concerne Stohess, une zone étalée de la banlieue est soumise à un couvre-feu pour les « normaux », et qui sera uniquement conseillé pour les lunaires. Des agressions et de nombreuses confrontations entre gangs de terre-à-terre contre lunaires ayant eu lieu dans cette partie de la ville, la Police Spéciale a mis ce système en place afin de limiter et de mieux contrôler les problèmes. Ce couvre-feu est actif de vingt-deux heures à cinq heures du matin. Compte tenu de certaines contraintes évidentes, la plupart des terre-à-terre logera hors de cette zone, et donc une part importante des lunaires va s’y cantonner.
Mais revenons un peu du côté du centre-ville. Stohess est une ville magnifique, lumineuse, propre, et également surnommée la Ville-Verte dû à ses nombreux parcs et ses grands arbres bordant pratiquement chacune des avenues. Les pouvoirs sont chose courante dans les larges rues de Stohess. Nous pouvons en effet passer devant des bureaux à grandes baies vitrées et voir un des salariés se dédoubler afin de faire une photocopie, ou bien une jeune femme sortir de chez elle en pyjama et faire un tour sur elle-même, faisant apparaître une tenue de sport, puis partir dans la rue en petites foulées. Ou encore une serveuse de café prendre les commandes sur un bloc-notes avec son stylo rouge et servir une boisson dans un même mouvement à l’aide d’un troisième bras.
C’est d’ailleurs dans cet endroit que nous allons retrouver Eren, notre jeune protagoniste de vingt-deux ans, infirmier depuis plus d’un an. Il est midi passé et il profite d’une pause de trois heures bien méritée. Il reprendra ensuite le boulot jusqu’à dix-neuf heures et rentrera chez lui.
« Et voilà pour toi ! lui dit joyeusement la serveuse en posant un chocolat viennois double supplément chantilly à côté de son journal.
Il releva le menton vers la blonde et lui offrit un grand sourire.
- Merci Christa ! »
Elle hocha la tête et se dirigea auprès des autres clients. Venant régulièrement dans ce café, il connaissait bien la jeune femme, et ils étaient rapidement devenus amis. Il lui arrivait de venir la chercher de temps en temps pour aller manger un morceau le soir, lorsque leurs horaires correspondaient. Il but une gorgée de sa boisson et reprit son journal du quotidien. Il jeta un coup d’œil dénué d’intérêt à l’actualité politique et continua sa lecture sur le film sortit hier et qui avait déjà fait un carton pas possible. Il faudrait qu’il aille le voir tiens, cela faisait un bon bout de temps qu’il ne s’était pas rendu au ciné.
Il sortit son portable de sa poche et regarda l’heure. Midi trente-sept. Il soupira et le posa sur la table, bien en évidence face à lui. Jean, ce fichu blondinet, était à la bourre, comme d’hab. Mais il s’en foutait royalement. C’est à cette pensée qu’une main s’abattit sur son épaule, puis la chaise devant lui fut tirée et quelqu’un s’assied dessus en grommelant.
« Fichus bus.
- Jean. T’es en retard, lui signala-t-il pour la forme.
- Désolé, répondit l’autre mécaniquement.
Habitude. Le soleil était à son zénith, et il inonda leur table. Le blond soupira et farfouilla dans son eastpak, pour en sortir une paire de lunettes trois secondes plus tard.
- T’es sérieux là ? ricana Eren en remarquant le style des lunettes en question : violettes à pois blancs.
- J’ai pommé les miennes ok ? grimaça Jean. C’est celles de ma petite sœur. Et arrête de te marrer du con ! C’est facile de te ficher de moi, t’as pas ce problème toi puisque t’as pas de pouvoir !
Le brun se mit à rire de plus belle.
- Désolé, fit-il en s’essuyant le bord des yeux. Mais tu as l’air si pathétique. Enfin plus que d’habitude quoi.
- Peuh. Ta gueule.
Ils soupirèrent de concert et s’affalèrent un peu plus contre leur dossier.
- Je crève de chaud, se plaignit l’infirmier au bout d’un moment. Rend-toi utile et fais-nous un peu d’air.
Le blond le fusilla du regard.
- La ferme. Je suis pas un putain de ventilateur.
- Steuplait.
Jean fit la moue, rechigna un petit coup puis forma un rond de ses doigts en joignant son pouce et son index, dont les ongles étaient devenus noirs à l’activation de son don, et souffla dedans. Un petit tuyau d’air circulaire apparut et s’éleva au-dessus de leur tête tout en grandissant. Une brise ébouriffa leurs cheveux et le brun soupira d’aise. C’était pratique d’avoir un pote qui manipulait les courants d’air mine de rien.
- Alors comment ça se passe avec Marco ? reprit-il la conversation avec entrain.
- Oh ben tu sais… tranquille quoi, répondit le blond en détournant les yeux.
Eren arqua un sourcil.
- Tu peux m’en parler, je m’en fous.
- Tu es sûr que ça te dérange pas… moi et Marco ?
L’infirmier grogna.
- Tu vas me le demander combien de fois ? J’ai été avec lui qu’un mois et ça marchait pas, même si on s’entendait bien. Je suis content qu’il t’ait trouvé, conclut-il.
- Mouais. Ben écoute ça se passe super bien, c’est vraiment génial. On se complète parfaitement.
- Nickel !
Puis le brun lui lança un sourire plein de malice.
- Et sinon côté…
- Très bien aussi ! s’exclama le blond en rougissant. Maintenant ferme-là un peu avec tes questions !
- Ça va, ça va, j’ai compris. » s’esclaffa-t-il.
Décidément il adorait le mettre dans l’embarras. Il faut dire que c’était si facile… C’était trop tentant. Ils changèrent de sujet et commandèrent à manger, discutant d’une grosse soirée à venir et se lançant des piques de temps à autre. Jean était en dernière année de fac, en plein dans son master, mais heureusement son Université ne se situait pas très loin de l’hôpital d’Eren, et ils se retrouvaient ainsi assez fréquemment pour leur pause du midi.
Il fut cependant rapidement l’heure de partir pour le blond, et une fois qu’il eut payé il se leva et rangea sa chaise sous la table.
« Eh au fait Eren, tu viens au Bloc ce soir ? fit-il sans vraiment y croire.
- Mmh ? Pourquoi pas.
Jean ouvrit des yeux surpris, puis eut un sourire en coin.
- Ymir et Connie seront de la partie.
- Ça marche, marmonna le brun. Quelle heure ?
- Vingt heures.
L’infirmier bailla un coup et s’étira.
- J’y serai.
- Super ! A plus !
- Yep. »
Et Jean partit, en même temps que l’air frais qui courait dans les cheveux d’Eren. Car un pouvoir ne peut continuer d’exister en l’absence de son lunaire. Le brun commanda un second chocolat. Froid cette fois.
Il avait hâte d’aller au Bloc ce soir. Courir un peu avec ses amis, s’enivrer de l’altitude, ressentir ces palpitations si familières lorsqu’il sautait d’une rampe à un muret. Il adorait ça. Mais il était souvent très fatigué, avec son boulot d’infirmier et ses sorties nocturnes assez fréquentes en boite. Du coup il venait de moins en moins souvent au Bloc. Il essayerait comme à son habitude de faire un effort pour se reposer plus. Ça lui manquait, de faire du Parkour.
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Il était vingt-deux heures trente quand il rentra chez lui. Il jeta un coup d’œil rempli d’envie à son lit et, ne tardant pas plus longtemps, il retira ses vêtements à la va-vite et alla se pelotonner sous la couette. Une fois le réveil réglé, avec volume maximal, il ferma les yeux. La douceur de l’oreiller lui arracha un soupir d’aise et il s’endormit. Demain serait une grande journée, il commençait tôt.
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Quatre heures du matin. Une ombre nappée dans un manteau sombre se confondant avec la nuit survolait les toits avec une facilité déconcertante. La personne stoppa avec un soupir las. Il y avait eu de l’agitation cette nuit, mais rien de bien surprenant. Le vent furieux fouetta sa perruque, faisant se soulever de longues mèches blondes. L’inconnu tendit son visage vers la lune, celle-ci révélant un masque blanc barré d’éclaboussures d’un sang pourpre saisissant. Ouais. Il était temps de rentrer et de piquer un petit somme.
Terminééééé !! Argh j’en peux plus je suis fatiguée o.o Go dormir ! Je vous dis à très vite pour le prochain chapitre, soit normalement mardi ou mercredi ! J’espère que vous avez apprécié ce premier chapitre et que les explications étaient pas trop chiantes ! De toute façon je ferai des petits rappels donc si vous avez oublié la plupart des trucs pas de soucis XD
Les chapitres feront généralement la même taille que celui-ci ou plus, mais pas moins ! (trop classe les vidéos de Parkour) *-* Et vous en faites pas, on sera davantage dans la tête d’Eren pour la suite ;) il s’agissait simplement ici de la mise en place !
Allez beuzouilles ~