Is it love : Drogo - Mistery Spells

Chapitre 3 : Chapitre 2: Is it love ? Drogo.

3665 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 26/07/2017 17:44

Chapitre 2 :

Lorsque j'entends le son de mon réveil sonné, je loupe de peu de me retrouver au sol !

(Oh non... pas déjà...)

J'ai à peine fermer l'oeil, mon esprit était préoccupé à réfléchir à ce que j'allais faire. Ce n'est pas du tout ce que j'imaginais...

Je file dans la salle de bains me doucher, sentir l'eau fraîche couler sur mon corps me fais frissonner.

J'enfile mon uniforme, peaufine les derniers détails, je laisse mes cheveux lâchés et choppe mon sac pour descendre déjeuner.

Je sourie en saluant Nicolae et Lorie, qui se trouve dans la salle à manger.

Je me fais un café bien corsé, et m'assoie à la table. Mes mains entoure la tasse bien chaude, je lâche un baillement qui attire l'attention de Nicolae.

- « Prête Malira ? »

Je soupire en haussant les épaules.

- « Je crois que oui... »

Drogo passe rapidement dans la pièce, sans un mot, ni un regard, pour prendre un trousseau de clé posé sur le buffet.

Un ronronnement de moteur bruyant se fais entendre, à priori il va à l'université en voiture.

Je dois d'abord déposer Lorie pour son premier jour d'école au coin de la rue, avant de prendre le chemin de l'université.

Après avoir pris le bus, je marche tranquillement, mon premier cours n'est qu'à dix heure.

Je prend une bonne bouffée d'air frais, le retour à la vraie vie me réjouis.

En arrivant dans la bâtiment, j'essaie de repérer la petite mine de Sarah, en vin.

Je décide de faire le tour de l'université pour m'occuper un peu et pis, je finirais bien par la croiser.

Les allées et les couloirs défilent, je remarque que pas mal de personnes se retournent à mon passage.

Le regard des groupes de filles sont assez rabaissant et moqueur, tandis que celui des garçons en disent long...

C'est écris sur mon front que je suis nouvelle et follement angoissée ou quoi ?

Mal à l'aise, je cherche un coin tranquille en fixant mes pieds, sans vraiment regarder ou je vais.

Je frappe de plein fouet quelqu'un et manque de tomber. Un rire qui commence à mettre familier vient me plonger dans un stress épouvantable.

- « Je vais finir par croire que tu me suis. »

J'évite le regard de Drogo en regardant autour de moi, mais nous sommes seuls dans ce couloir...

Je ramasse mes livres que j'ai échapper et lui fais un sourire narquois, je ne veux pas qu'il voit que je suis chamboulée.

- « Tu peux t'enlever ça de la tête. »

Il affiche un sourire moqueur tout en se rapprochant de moi lentement.

Je déglutis, ses yeux sont braqués sur moi, me faisant perdre tout mes moyens. Je tend mon bras sur son torse pour l'empêcher d'aller plus loin. Ce contact me donne chaud, je dois sûrement être rouge comme une tomate !

Il s'arrête et attrape ma main avec douceur, me regardant en arquant un sourcil.

- « Dans ce cas, la petite chose devrais regarder où elle met les pieds, elle pourrais tomber sur un os. »

Son ton provocateur me fais trembler, serais-ce un menace ? Il sent ma peur et cela le fais sourire.

Je dégage sa main et le contourne fine énervée. Je ne vais quand même pas... craquer sur un mec pareil !

Je traverse plusieurs allées avant de tomber nez à nez avec Sarah.

Je soupire de soulagement.

- « Je te cherchais partout ! »

Elle me serre aussitôt dans ses bras, visiblement elle me cherchais également.

Son petit sourire au lèvres, elle m'attrape par le bras, m'invitant à discuter en marchant.

- « Je suis contente de te voir, ça te dis un café avant le premier cour ? »

je lui lance un clin d'oeil en signe d'approbation.

On s'installe à l'écart dans un coin de la cafétéria après avoir pris nos boissons.

- « C'est dingue comme cette école est grande, on s'y perdrais presque ! »

Sarah éclate de rire, j'en sourie. Cette fille m'avais manquer, elle reprend son sérieux en me fixant.

- « Alors... comment s'est passée ton week-end chez les... Bartholy ? »

Je finis ma gorgée et déglutis avec peine, les mains posés sur mon gobelet.

- « Bof, si tu veux savoir... J'ai eu quelques soucis avec Drogo et la petite m'en fais voir de toutes les couleurs, mais a pars ça, je gère ! »

Je vais m'abstenir de lui dire que Drogo m'as quasi agressé, qu'il s'amuse à jouer au jeux du chat et de la sourie avec moi en permanence, que j'angoisse à l'idée d'être seul avec lui dans la même pièce que lui, et que malgré son côté insolent, il m'attire un peu...

Ah oui, et Lorie me prend pour l'une de ses poupées à qui, elle arrache la tête...

Sarah fais un moue inquiète, comme si elle savais d'avance ce que j'allais vivre la bas.

- « Un conseil, fais très attention à Drogo, je ne voudrais pas qu'il te fasse du mal... »

J'affiche un léger sourire nerveux, si elle savais. J'ai beau faire mon possible pour l'éviter, on finis toujours par se croiser et la situation devient vite... embarrassante.

- « Promis, je ferais de mon mieux. »

Le cloche retenti, nous obligeant à écourter notre tête à tête pour allez en cours.

A l'heure du repas, Sarah et moi cherchons une place pour manger. Il y a un monde fou, on se résigne à se mettre là où il y a de la place, pas le choix !

- « Ce cours était d'un ennuie... la moitié de la classe à passer son temps à rire de la professeur d'histoire... »

- « En même temps, dure de se concentrer sur son cours quand elle passe son temps à redescendre sa jupe ! Elle n'avais peut-être rien en dessous, ce qui expliquerais cela ! »

Nous éclatons de rire, ce qui ne manque pas t'attirer l'attention vers nous.

La complicité qu'il y a entre Sarah et moi me réchauffe le cœur, j'ai l'impression qu'on se connais depuis toujours.

Nous finissons notre repas en parlant des cours de l'après-midi lorsqu'un type s'approche, au allure de macho a deux balles sans cervelle. Ses yeux sont braqués sur moi, me faisant un sourire séducteur.

- « Je ne crois pas t'avoir déjà croisé, je m'en souviendrais... »

La façon avec laquelle il me dit ça est clairement, déplacé... Et sa manière de se mordre les lèvres en me regardant de haut en bas me met franchement mal à l'aise !

Sarah comprend tout de suite ma détresse et réplique.

- « Loan, vas voir ailleurs tu veux ! »

- « Calme toi Osborne, je fais juste connaissance. »

Sarah se tourne vers lui, d'un air moqueur en posant son bras sur le dossier de sa chaise.

- « Oh ! Va chercher Samantha dans ce cas, elle serais ravie de se joindre à nous ! »

Il se relève, grinçant des dents en jetant un regard froid à mon amie.

Il me lance avant de partir, son air charmeur de pacotille.

- « On se recroiseras, n'en doute pas, la nouvelle. »

Il part rejoindre un groupe de garçon, mon regard se pose sur Sarah, les yeux grands ouverts.

- « C'était quoi ce... gros lourd ? »

Elle hausse les épaules en souriant, me faisant comprendre que j'ai, moi même répondu à ma question.

Nous gloussons comme des pintades en imitant ce don juan.

La journée s'achève, nous nous dirigeons vers la sortie.

- « Tu serais disponible demain soir pour allez boire un verre ? Je connais un bar sympa au centre ville. »

- « Oui pourquoi pas. J'en parlerais à Nicolae en rentrant, je te biperais se soir pour te redire. »

Elle me sourie avant de disparaître au loin, me faisant des signes de la main pour me saluer.

Je me dirige vers l'arrêt de bus, mais je le rate de peu... Pas le choix, je dois patienter pour prendre le prochain.

Je m'adosse à l'abri bus regardant autour de moi, la nuit commence à tomber, ça m'apprendras à papoter plutôt que de prendre mon bus !

J'entends des pas, un groupe de mec viens en ma direction, je crois reconnaître Loan et deux de ses copains.

(Et merde...)

Je fais mine de ne pas l'avoir vue, fixant mon téléphone. Lorsque tout à coup, je sent une main se poser sur ma taille pour me tourner vers cet personne, je sursaute.

- « Ne me touche pas Loan ! »

Ses deux acolytes pouffent de rire, je comprends aussitôt que je me trouve dans une situation plus qu'embarrassante.

Une boule se noue dans le bas de mon ventre lorsque Loan me lance un regard, joueur. Mon cœur s'accélère, ce dernier me colle à lui, d'une force que je ne peux défier...

- « On va s'amuser un peu... »

Sa voix est rauque, il caresse mon visage et m'attrape le menton pour me forcer à le regarder dans les yeux.

J'essaie de me défaire de lui, en vin. Ses mains descendent sur le bas de mon dos, et agrippent mes hanches pour coller mon bassin au sien...

J'espérais attirer l'attention en appelant à l'aide mais les rires de ses deux idiots couvrent ma voix.

Les larmes me montent au yeux lorsque je sent le souffle de Loan dans le creux de mon cou...

Quand tout à coup une voiture s'arrête net à notre niveau, la vitre passager s'abaisse.

- « Loan, un conseil, arrête toi là. »

Aurais-je bien entendue ?

Jamais je n'aurais pensé être aussi soulagée d'entendre la voix de Drogo !

Loan défais brièvement son regard de moi pour lui répondre.

- « Occupe toi de tes affaires, Bartholy ! »

Le ton de Drogo devient menaçant, affichant un sourire provocateur clouant le bec à cet abruti de Loan.

- « Tu vas quand même pas m'obliger à descendre ? »

Les mains de Loan lâchent prise, il recule pour me laisser passer avant de rejoindre son groupe plus loin.

Je regarde brièvement Drogo et marche le long du trottoir, décidé à rentrer à pieds au manoir !

La voiture de Drogo me suis au pas.

- « Monte petite chose, je te ramène. »

Je m'arrête brusquement pour lui répondre.

- « Je me débrouillais très bien toute seule, je n'ai pas besoin de ton aide Drogo ! »

Il arc un sourcil et affiche un air moqueur.

- « J'ai vue ça. »

Je le regarde hésitante, me défaire de Loan pour monter avec Drogo, n'est pas forcément la meilleur solution... Il ouvre la porte passager, m'incitant à monter.

Je suis tellement à fleur de peau, et fatigué que je finie par céder.

Je lâche un long soupir et monte dans le véhicule. Je m'installe, croise les bras et dévie son regard.

- « J'espère qu'il ne t'as pas fais de mal. Ou il le regretteras. »

Je lui répond d'un air amusé en regardant par la vitre.

- « Parce que tu crois que tu es le mieux placé pour le juger ? »

Il ricane d'un air sarcastique en regardant sa route.

- « Oh, t'aurais-je fais peur petite chose ? Je voulais juste jouer. »

- « Oui bah je ne suis pas un jouet ! Et par pitié, arrête de m'appelez comme ça ! »

Drogo me regarde et se more la lèvre inférieur, d'un air malicieux.

- « Vas-y, supplie moi petite chose. »

Je lève les yeux au ciel, en secouant légèrement la tête, lui faisant comprendre qu'il peut rêver !

J'aperçois son regard se poser sur moi à plusieurs reprises.

- « Quoi qu'il en soit, ce n'est pas très prudent pour une petite chose comme toi de rester seule le soir. »

- « Je ne suis pas si petite... »

Un sourire se dessine sur son beau visage pâle, je m'étonne moi même d'apprécier au final ce petit jeu, entre lui et moi.

J'en oublierais presque l'enfer qu'il me fais vivre au manoir. J'essaie de ne pas lui montrer mon ressentie face à lui, il considérerais qu'il a gagner, et ça c'est hors de question !

Nous arrivons dans la cour du manoir où Drogo arrête sa voiture. Nous montons les escaliers de l'entrée, rentrons dans le hall lorsque Nicolae nous interpelle.

Son attitude est clairement méfiante, comme si quelque chose lui déplaisait.

- « Comment se fais t-il que vous rentriez tous les deux, ensemble ?... »

Ah bah oui, voilà ce qui le tracasse...

- « J'ai raté mon bus de peu, Drogo passais par là et m'as proposé de me ramener au manoir plutôt que j'attende le suivant... »

Je me surprend à mentir aussi bien ! Mais je n'ai pas le choix, je ne veux pas qu'il s'inquiète pour moi.

Je lance avec une voix rauque laissant penser que je suis mal à l'aise.

- « Je vais monter me reposer un peu... »

Il arque un sourcil en ma direction, d'un air intrigué.

- « Dure journée je présume ? »

Je lui répond d'une petite voix en lançant un dernier regard à Drogo.

- « On va dire ça. »

En entrant dans ma chambre, mon corps s'avachit tel une limace sur le lit.

J'attrape une série de livres et en choisie un, bouquiner me feras du bien... Mais rien n'y fais, mes pensées vont directement à Drogo.

Que me vaut se si brusque changement de comportement avec moi ? Le fais qu'il m'est sortie des griffes de Loan me fais à la fois chaud au cœur et m'envahit d'un sentiment étrange.

A quoi est ce qu'il joue ?... Bref, passons.

Demain, il y a ce fameux cour Mythes et Légendes que j'attends avec impatience.

D'après les dires, ce professeur viendrais de loin pour nous partager sa passion, j'ai hâte d'y être !

Je décide de descendre, il ai l'heure de dîner. Même si je n'ai pas faim, je vais faire bonne impression en me joignant à eux. J'en profiterais pour parler à Nicolae de notre virée en ville demain soir avec Sarah.

Je m'installe à table, visiblement rien n'est préparé, j'en conclue qu'il n'ont pas d'appétit non plus...

Je regarde Nicolae, il est en pleine discussion avec son frère Peter.

J'attends qu'un blanc s'invite pour prendre la parole.

- « Nicolae, on avais parlé que j'aurais le droit à deux sortie par semaine, j'aimerais sortir demain soir, si tu es d'accord. »

- « Oui, c'est ce qui étais convenue. Tu vas où sans indiscrétion ? »

- « Je ne sais pas, une amie m'as proposé d'aller boire un verre au centre ville. »

- « Ce n'est pas prudent de sortir seule le soir Malira... »

- « Je ne serais pas seule, je rejoins Sarah à l'arrêt de bus et ne t'inquiète pas pour moi, je suis une grande fille. »

Il affiche un sourire narquois.

- « J'ai cru comprendre oui. »

Son ton ai clairement moqueur... Drogo lui aurais t-il parler de ce qui s'est passé avec Loan ?

Comme si j'avais besoin de ça...

Son regard se repose sur moi, plus détendue.

- « C'est d'accord, mais si tu as un quelconque problème n'hésite pas, tu as nos numéros. »

J'acquisse d'un signe de tête en signe d'approbation, puis mon regard se pose sur Peter.

- « Dis Peter, ça te dis de te joindre à nous ? »

Il affiche un air timide et me répond avec gentillesse.

- « C'est gentille Malira mais... une autre fois j'ai d'autres projets... »

- « Si tu changes d'avis, tu sais où me trouver. »

On échange des regards malicieux, c'est dommage qu'il ne puisse pas venir, je suis certaine que ça lui aurais fais du bien.

Peter détourne mon regard pour reprendre sa discussion avec son frère.

Je décide de monter voir comment va la petite Chipie, après son premier jour d'école.

- « Alors Lorie, comment s'est passé ta journée ? »

Elle lâche ses jouets pour se tourner vers moi, un sourire joyeux vient embellir son visage.

- « Bien ! Tous le monde m'aime ! »

Je lâche un petit ricanement devant sa mine prétentieuse, elle aime vraiment être au centre de l'attention !

- « Mais leurs jeux sont nuls, à mourir d'ennui ! »

J'arque un sourcil en croisant les bras devant sa moue boudeuse.

- « Tu sais ma belle, il faut savoir faire des concessions quand on veut se faire des amis, même si tu n'aimes pas leurs activités, tu devras apprendre à apprécier leur différence. »

Je dirais même un énorme différence... La marelle et les peluches angoissantes de Lorie viennent de deux univers lointain...

- « Ce n'est pas à moi de faire des efforts, je suis parfaite donc ils doivent être mes amis ! »

Je hausse les épaules, en lui lançant des sourires forcés et l'écoute se plaindre, puis la met au lit.

Je me change et m'installe dans mon lit.

Je prend mon portable et envoie un texto à Sarah.

- « Salut Sarah, c'est Malire. C'est ok pour demain soir ;) ! »

Sa réponse ne tarde pas à faire vibrer mon téléphone.

- « Super ! Tu verras, ça nous feras du bien. A demain, bisous. »

Je pose mon téléphone sur la table de nuit, mon regard s'arrête sur la photo de mes parents.

Un sourire se dessine sur mon visage, attristé.

C'est dans des moments particulièrement difficiles à gérer que je me rends compte qu'ils sont définitivement partis.

Je ferais tout pour vous revoir rien qu'une heure, vous faire partager mes peurs, mes joies et mes angoisses...

Vous auriez été de précieux conseils pour que je ne baisse pas les bras, mais en y réfléchissant bien, je ne serais pas là si vous étiez encore de ce monde...

Soudain, quelqu'un toque à ma porte et rentre doucement, c'est Nicolae.

Ses yeux me fixe avec tendresse, il attrape d'une main la chaise du bureau pour venir s'installer près de mon lit.

- « Tu avais l'air soucieuse pendant notre conversation de tout à l'heure. Tu veux qu'on en parle ?... »

Je le regarde en coin avant de scruter mes parents de manière éploré.

- « C'est juste que, mes parents me manquent... »

Le simple fais de prononcer cette phrase m'accable de chagrin, je n'arrive pas à contenir mes émotions.

Nicolae me regarde avec curiosité.

- « Ils sont restés dans ton ancienne ville ? »

Je sent des larmes saturé ma vision jusqu'à comblé mes yeux. Je lui répond d'une voix tremblotante.

- « Non, ils sont partis pour toujours... »

Nicolae se lève pour venir s'asseoir à côté de moi me tendant les bras, attristé...

Je m'effondre dans le creux de son torse, il me serrent avec compassion.

J'éclate en sanglot, ça fais si longtemps que je garde toute cette peine enfouie en moi, il fallait que ça sorte un jour ou l'autre...

Je sent toute cette frustration et tout se stress quitter peut à peut mon corps fébrile, les événements de ces derniers jours ne m'ont pas vraiment aidé psychologiquement...

- « Sache que je suis là Malira, tu n'es pas seule, je ne te laisserais pas dans le déni. Je me doute que tout ça te déroute... Drogo, Lorie, les cours... Mais crois-moi, au fur et à mesure que les jours passerons et que tu passeras du temps avec nous, tout s'améliorera. Tu verras. »

Sa voix est directe et me touche profondément, je relève la tête, couverte de mes larmes et lui sourie avec douceur.

Son côté paternel me réconforte, cet homme ai à la fois doux, bienveillant et protecteur envers moi, ce qui me fais un bien fou.

J'essuie mes larmes du bout des doigts et regarde d'un air apaisé.

- « Tu as sans doute raison, tout ça est nouveau pour moi, et je t'avoue que s'est loin d'être comme je l'imaginais... Il faut juste que j'arrête de ressasser le passé, que je sois forte. »

Nicolae me sourie et pose une main délicate sur mon épaule.

- « Tu es bien plus forte que tu ne le penses Malira. »

Il m'envoie un clin d'oeil et se lève pour sortir de ma chambre.

Avant de franchir le palier de la porte, il se tourne vers moi.

- « Je suis là si tu as besoin. »

Mes lèvres lui affiche mon plus beau sourire.

Je ne le remercierais jamais assez pour sa gentillesse, en quelques paroles, il arrive à transformer tristesse en volupté.



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