Je te protègerai comme un père

Chapitre 2 :

“Sai est-ce bien toi ou est-ce encore un rêve si s’en est un qu’il s’arrête de suite pour ne pas que mon cœur se brise en sachant que ce n’est pas le cas et si c’est réel vas-tu rester auprès de moi pour toujours Sai ?”

Hikaru répétait ces mots tout le long de sa course vers l'hôpital Shibuki, alors même qu'il courait il ses larmes se déversaient sur ses joues. bien qu'il commençât à s'essouffler il prit le premier bus à toute allure.

Fédération nationale de Go :

Akira ne comprenait pas ce qu'il venait de se passait juste devant ses yeux, il parlait avec Hikaru, un appelle et Hikaru était partie Tout s'était passé tellement vite. Il allait partir quand sans s'y attendre il vit Waya qu'il interpella. 

-Waya ! Cria Akira le concerner se retourna entre étonnement et incompréhension, depuis quand Toya lui adressait la parole ? Bien qu'ils étaient tous deux amis avec Hikaru une certaine distance régnait entre les deux jeunes hommes. Au point même que Hikaru dut les réprimander plusieurs fois sur ce fait. 

-Qui m'a appelé ?

-Ce n'est pas drôle Waya, je sais qu'on est en mauvais termes tous les deux mais ce n'est pas une raison pour m'ignorer !!!

-Donc pourquoi tu m'as appelé à l'instant Toya ? Et depuis tu m’appel pour mon prénom au juste ?

-C'est Hikaru tu ne l'aurais pas vu par hasard ? Et je n’ai pas le temps pour des politesses !

-Non désolé il est arrivé quelque chose ? Demanda se dernier en fronçant les sourcils vers Akira pour lui signalé que s'il était arrivé quelque chose de grave à Hikaru ce serai de sa faute.

Hôpital Shibuki.

Hikaru courait partout dans l'hôpital à la recherche de Suyang pour que celui-ci le conduise jusqu'à Sai. Après cinq bonnes minutes à courir il le trouva enfin Suyang le conduisit vers la chambre numéro 4 tout en lui parlant. Alors que Hikaru suivait Suyang ils senti une angoisse venir, après tout il n'est certainement pas le seul à s'appeler Hikaru dans la région et qui disait que ce n'était pas plutôt une mauvaise blague d'un de ses amies ? Hikaru ne parvenait plus à réfléchir tellement ses pensées se bousculaient.

-Voilà on est arrivé ! Mais je te le redis peut-être qu'il ne s'agit pas de toi et si c'est le cas pardonne-moi !

Hikaru mit un pied dans la chambre et ne sut pas quoi faire pendant quelque seconde tellement les larmes dévalaient ses joues.

Le patient allonger en face de lui tourna sa tête vers Hikaru. Ces yeux depuis combien de temps le jeune joueur ne les avaient-ils pas vues ? Ces cheveux si longs si soyeux et cette peau bien qu'un peu pâle fût d'une beauté incroyable.

-Saï ? est-ce bien toi ?

Ledit Saï le regardait, on pouvait lire sur son regard tout l’étonnement qu’il avait de voire Hikaru devant lui à l’entrée de la chambre.

-Hika…ru ? Je…je…

C’était à peine s’il arrivait à parler.

 Suyang qui regardait la scène ne comprit pas tout à fait ce qui se passait devant lui. Pourquoi toute ces larmes ? Pourquoi tant d’émotion ? Il avait bien deviné que les deux jeunes hommes ne s’étaient pas vue depuis longtemps mais de là à en faire autant. Bien que toute ces questions le tourmentaient il décida de laisser seul son ami avec cet inconnu.

Saï ne put dire un mot que Hikaru alla se jeter dans les bras de ce dernier.

Fédération nationale de Go :

Akira était vraiment inquiet, bon sang mais ou pouvait bien être Hikaru ? ce n’était pas son genre de partir comme ça sans rien dire. Et s’il lui était arriver quelque chose de grave ? Mais non il devait certainement se faire des idées ou du moins c’est ce qu’il essayait de se convaincre. Il n’avait rien répondu à Waya tout à l’heur et puis cela ne lui regardait pas du moins de l’avis d’Akira.

Hôpital Shibuki

-Saï, je n’arrive pas à y croire, je croyais que je ne te reverrais pas, tu..tu..tu m’as tellement manqué, je suis si heureux, je te demande pardon Saï ! pardon ! pardon ! pardon !

-Hikaru, ce n’est pas à toi de t’excuser, c’est moi qui devrai te dis tout cela.  Je suis partie sans même t prévenir et t’es laisser seul pendant si longtemps alors s’il te plait ne t’excuse pas pour une faute que tu n’as pas commise.

-Aujourd’hui c’est le retour d’un grand maître.