Le rêve d'Hermione
Je me réveille brusquement, le souffle court. J’ai terriblement chaud et je me sens vraiment bizarre… Enfin, je me sens… bien. Et gênée à la fois. Je… Oh… Je crois que je me rappelle ! J’étais en train de rêver… Olala… C’était vraiment chaud ! Mon premier rêve érotique ! Je descends délicatement mes mains vers ma petite culotte. Elle est trempée !! J’ai vraiment pris mon pied on dirait ! Mon cœur bat toujours si vite. Je rage de m’être réveillée. Quand je repense aux mains, au souffle de Drago dans ma nuque… J’en frissonne. Mmmmmh. Son corps d’Apollon sous mes paumes moites… C’était comme si j’y étais… Ma pauvre Hermione !! Ressaisis-toi ! On parle de Drago Malefoy là !!
Je secoue la tête pour faire disparaître mon bel amant de mes pensées et je me lève. Il est temps de prendre une douche.
L’eau brulante coule le long de mon corps chaud. Je me frictionne doucement. Mon esprit s’échappant sous le filet d’eau.
Je suis soudainement dérangée par trois coups frappés à la porte. Je coupe l’eau et enfile rapidement un peignoir blanc.
Lorsque j’ouvre la porte, toujours humide de ma douche interrompue, je suis vraiment surprise de voir Drago sur le perron. Il me fixe intensément, me déshabillant du regard. Je rougis.
« Tu… Qu’est-ce que tu fais là Malefoy ? » dis-je, d’un ton que j’espère le plus dur possible.
« Je viens assouvir tes désirs Granger. »
J’ouvre la bouche de dépit.
« Ta bouche est juste comme il faut. » chuchote Drago.
Il m’attrape par la taille et me plaque contre le mur. Il m’embrasse fougueusement.
Entre deux baisers, je lui demande :
« Comment as-tu su ? »
« Depuis le temps que je surveille tes rêves Granger. Je veux te posséder depuis la première fois que je t’ai vu. »
Il entre sa langue dans ma bouche. Il embrasse vraiment bien. Mais je sais me faire désirer. Je lui mords la lèvre.
Surpris, il arrête de m’embrasser, touche sa lèvre blessée du bout du doigts et souris.
« Tu veux la jouer sauvage Granger ? Ok. »
Il arrache mon peignoir. Je suis complètement nue. Complètement à sa merci.
Tout en m’embrassant, il nous emmène sur mon lit et m’allonge. Il enlève sa chemise. Je l’observe. Quelle merveille. Ses abdos dessinés dans de la pierre me font craquer ! Il se penche à nouveau sur mon corps nu et tremblant de désir. Il embrasse ma bouche, descend dans mon cou, puis sur ma poitrine. Sa langue s’attarde sur mes seins. Il joue, je brûle déjà. Mes tétons durcissent. Il attire mes mains sur mes seins. Je me caresse la poitrine pendant qu’il continue de descendre ses délicieuses lèvres vers mon intimité. Il embrasse mon ventre, mon pubis parfaitement épilé.
Il glisse un doigts dans ma fente très humide. Je n’ai jamais ressenti autant de plaisir et de désir. J’en veux. Je le veux lui en entier ! Il écarte mes grandes lèvres de ses doigts délicats et caresse mon clitoris de sa douce langue. Oooooooh… Il est doux et agréable. Sa langue accélère. Il me mange, il me goûte. J’adore ça ! Je me cambre de bonheur. Il s’arrête. Bien trop soudainement à mon goût. « Encore Drago ! ». Il sourit. « Tu es délicieuse. ». Il s’allonge sur moi, et me fourre de nouveau sa langue dans la bouche. Son baiser à le goût de mon corps. Ce n’est pas désagréable du tout. Et il a raison, j’ai bon goût.
Alors que je l’enlace, je sens son sexe se durcir dans son jean, il est blottit tout contre mon bas ventre. Je glisse mes mains sous son ventre et je dégrafe son pantalon que je fais descendre en bas de ses chevilles. Il s’en débarrasse d’un coup de pied. Son boxer est la dernière barrière qui le sépare de mon bouton de rose. Je passe les mains dans son boxer et je caresse ses fesses. Elles sont musclées.
Il m’embrasse à nouveau. Nous nous redressons. Je suis assise, il est à genoux devant moi. Son imposant pénis est dressé dans son boxer devenu trop petit. Je le regarde malicieusement, l’attrape et j’échange nos positions. Il est maintenant allongé et je suis celle au dessus.
Après avoir rapidement déposé un baiser sur ses lèvres, j’attrape l’élastique de son boxer entre mes dents et je tire doucement dessus pour le faire descendre. Il respire rapidement. Moi aussi. Je suis mouillée, je sens ma mouille coulée le long de mes cuisses. Ça y est. L’objet de mon désir est découvert. Il est grand, raide et terriblement attirant. Ma chatte n’en peut plus. Moi non plus je bouillonne !
Je passe les mains sur son frein, lentement d’accord puis j'accélère. Il se cambre et gémit. Drago est à moi. Je le prends en bouche. Je passe délicatement ma langue sur son gland, miam. Il attrape mes cheveux pour me faire comprendre d'accélérer. Il halète. Au moment où je sens son plaisir arrivé au point ultime, je m’arrête. Il souffle, frustré.
C’est le moment, j’en veux plus, lui aussi. Toujours allongé sur le dos, sa bite dressée vers le plafond, il m’attire à lui. Doucement, je place ma chatte au dessus de son énorme pénis et je m’empale sur lui. Centimètre après centimètre, sa queue entre dans mon intimité. J’ai mal mais j’aime terriblement ça. Après trois allers-retours, la douleur cède la place au plaisir. Je prend un pied énorme. Il suffoque, j’halète. J’accélère mes mouvements, le chevauchant littéralement. Son énorme poutre me procurant un plaisir intense par ses caresses sur mon clitoris à chaque pénétration.
Il me retourne brutalement. Il accélère. Il y va franchement. J’hurle son nom. Mon plaisir augmente secondes par secondes. Chaque coup de rein me brûle de bonheur. Il ralentit, ses coups de rein sont de plus en plus espacés et brutaux. Je jouis sauvagement, il pousse un râle brutal. Il se déverse en moi. Il ressort doucement. Je suis fatiguée. Mais surtout comblée.
J’ai baisé Drago Malefoy !