Il n'est pas encore mort

Chapitre 14 : Porcs : 9 Bipède Britannique : 4

5175 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 13/11/2019 21:19


  Harry avait, encore une fois, reçu la permission de quitter l'école. C'était le jour où les gobelins allaient détruire les Horcruxe et, naturellement, la présence de Harry était requise. Cependant, tout le monde n'était pas disposé à lui permettre de partir, après s'être finalement débarrasser des gobelins, Dumbledore décida d'essayer à nouveau de parler à Harry en privé.


  Le vieil homme aborda Harry alors que Hermione et Neville le conduisaient hors de l'école pour qu'il puisse rejoindre Sirius pour Transplaner jusqu'à Gringotts.


- Harry, j'ai bien peur de devoir vous ordonner de venir dans mon bureau, dit Dumbledore.


- Ordre, hein, et qui pense tu être ? répondit Harry.


- Je suis ton directeur, répondit Dumbledore l'air déconcerté.


- Je n'ai pas voté pour vous.


- Vous ne votez pas pour votre directeur.


- Comment êtes vous devenu directeur alors ?


- Le mage noire, Gellert Grindelwald, ma défier en duel, je me suis battue héroïquement et je j'ai gagner, ainsi que la baguette de Sureau. Signifiant par la provenance divine, que moi Albus Dumbledore, maître de la baguette la plus puissante du monde, je suis ton directeur !


- Écoutez, rétorqua Harry, d'étranges sorciers noires essayant de conquérir le monde et perdants un duel ne constituent pas une justification. La nomination d'un professeur ou du directeur reviens à l'autorité académique qui voit la capacité d'un individu à s'occuper des étudiants, à réglementer et à déléguer leur position.


- Soyez silencieux.


- Je veux dire, vous ne pouvez pas prétendre exercer l'autorité suprême sur cette école simplement parce qu'un imbécile à trébuché sur une peau de banane et par inadvertance jeta sa baguette sur vous.


  Lorsqu'il était encore au ministère de la Mort Harry vit ce qui c'était vraiment passez lors du célèbre duel entre Dumbledore et Grindelwald.


- Tais toi !


- Je veux dire, si je disais que j'étais un empereur juste parce que j'avais vaincu Voldemort quand j'étais bébé, ils me mettraient à la porte !


- Tais toi ! TU VAS LA FERMER !


- Ah, maintenant nous voyons la violence et l'abus du système.


- TAIS TOI !


- Violence, abus du système ! A l'aide, à l'aide ! Je suis réprimé ! déclara Harry en souriant.


- Saleté d'enfant ! cria Dumbledore en se dirigeant vers son bureau.


- Oh, mais quelle cadeau, dit Harry en tournant vers ses amis choqués. Vous avez vus ? Vous avez entendus ?


- Calme-toi Harry, dit Hermione. Nous nous occuperons de Dumbledore en temps voulu.


- Cela n'est pas assez vite à mon goût...


- Donne lui une autre année, Harry. Souviens-toi de ce que tu a dit à propos du tournoi des trois sorciers ? On pourras utiliser beaucoup de choses pour renverser Dumbledore. Mais, en tant que propriétaire de Poudlard, tu n'a pas le pouvoir le l'expulser ?


- Oui, mais je voulais qui soit humilier d'abord.


- Alors je ne sais pas de quoi tu te plains.


- Harry, dit Neville alors qu'ils continuaient à marcher. Je me demandais, quand vas-tu réclamer officiellement tes Seigneuries ?


- Pas aujourd'hui, Neville. Je pensais faire ça à la fin de l'année ; cela donnerait à chacun quelque chose à pensée pour l'été.


- A-tu penser aux filles qui essayeront de te draguer ? dit Hermione les joues rougissant légèrement. Ceci passa complètement inaperçu pour Harry.


- Ce sera plutôt agaçant, concéda Harry avec une grimace. Mais sinon, comment se passent nos projets ?


- Bien, Harry, dit Neville. J'ai pris la liberté de dresser une liste des différentes entreprises qui pourraient travailler avec nous. J'ai également envoyé des propositions à des étudiants, pour le conseil. Pour l'instant, toute les réponses furent très positives.


- Très bien, Neville.


  Ils continuèrent à discuter de leurs projets jusqu'à ce que Harry voie la figure familière de son son parrain.


- Souhaitez moi bonne chance, dit Harry. Juste avant qu'il ne se retourne, Hermione prit la parole.


  Harry, dit-elle, elle prit Harry dans ses bras et lui donna un léger baiser sur la joue. Bonne chance.


  Harry eut un sourire chaleureux.


- Merci, Hermione. Ne t'inquiète pas, les gobelins m'ont dit que le rituel était parfaitement sûr. Quel est le pire qu'il puisse...


- Non, ne le dis pas ! s'exclama Sirius en agitant les bras avec frénésie. Quoi que tu fasse, ne finit pas cette phrase !


- Qu'est-ce qui ne vas pas Lord Black ? demanda Neville.


- Tout d'abord, Neville, c'est Sirius. Pas ses trucs de Lord Black avec moi, à moins que ce soit des moments importants comme le Magenmagot. Mais comme je le disais, vous ne devez jamais, jamais, dire 《quel est le pire qu'il puisse arriver ?》 parce que chaque fois que quelqu'un dit ça, quelque chose de mauvais arrive.


- Oh, merci d'avoir empêcher ça, Sirius, dit Harry. Je ne voudrais pas provoquer la loi de Murphy. Dieu sait à quel point ma vie a-t-elle déjà mal tournée.


  Avec des derniers au revoir de la part de Hermione et Neville, les deux sorciers Transplanerent devant les portes de Gringotts.


  Après toi, mon chère filleul, dit Sirius en indiquant le chemin devant lui.


- Pourquoi les rituels magiques doivent-ils êtres si étranges ? demanda Harry alors qu'il observait la mise en place du rituel.


- Cela pourrait être pire, ajouta Sirius.


- C'est vrai, mais je ne voit pas pourquoi ils ont besoin d'un grand lapin en bois.


- Où des créosotes.


- Mais pourquoi devrions-nous porter des faux bois ?


- N'essaie pas de comprendre ces rituels, ils sont bizarres. Enfin après, cela expliquerais pourquoi presque tout le monde ici est membre des francs-maçons.


- Les quoi ?


- Francs-maçons, tu pensaient qu'ils se cachaient ?


- Mais ça n'a pas de sens !




- Alors, Harry, demanda Hermione une fois Harry revenu, comment ça s'est passé ?


- Assez bien, je pense, répondit-il. Le fragment d'âme dans ma tête essaya de me posséder à plusieurs reprises et je ne suis plus autorisée à utiliser des patins à roulettes sans surveillance. Mais à part ça, tout va bien.


- C'est bien, Harry. Tu veux de la tarte à la mélasse ?


- Oh, ma préféré.


  Au fur à mesure que le dîner progressa, ils commencèrent à discuter de sujet peu agréable.


- Tu devrais être prudent avec Ginny, Harry, dit Hermione. Je ne serais pas surprise si elle essayait de te donner bientôt un philtre d'amour. Elle continue de marmonner des choses comme : Harry seras à moi. Je pourrais jurer de l'avoir vue écrire : Lady Ginerva Molly Potter, entourer d'un grand cœur dans son cahier.


- Ne t'inquiète pas pour moi au sujet de Ginny, répondit Harry. Mais tu devrais faire attention à Ron.


  Hermione regarda Harry avec un regard dédaigneux.


- Je suis plus que capable de m'occuper de Ron.


  En parlant de Ron...


  En haut de la tour de Gryffondor, le jeune Weasley avait décidé de réessayer d'ouvrir la malle de Harry. Ron s'assura que Pattenrond n'était pas la pour le déranger avant de se mettre immédiatement au travail. Il fut surpris de le trouver verrouiller, il essaya un simple Alohomora, cependant le coffre envoya à Ron un maléfice qui fit grossir son nez de cinq fois sa taille. En raison de son incapacité à apprendre de ses erreurs du a une chose anormalement petite dans sa tête, Ron Weasley essaya de nouveau. Cette fois le coffre émit un puissant bruit de sirène, cependant cela ne dissuada pas Ron. Il décida de faire une ultime tentative pour ouvrir le coffre, ce qui arriva fut très amusant.


  Lorsque Dean et Seamus montèrent dans le dortoir pour savoir d'où venait le bruit, ils virent un pingouin très en colère avec un bec trop large et une touffe de cheveux roux sur la tête, sur la malle de Harry Potter.


  La trop grande charge de travail rattrapa finalement Hermione. Malgré les conseils de Harry, Hermione refusa de laisser tomber aucun de ses cours, pas même la Divination, quelles détestait.


- Hermione, dit calmement Harry, s'il-te-plaît, laisse tomber Études des Moldus et la Divination. Tu ne gagneras rien en restant dans ces cours.


- Mais bien sûr que si, Harry, répondit-elle brièvement avec un ton de fatigue. D'accord, la Divination est très douteuse et Trelawney est une fraude, mais je peux lui donner une autre chance, non ?


  Harry soupira, il se pinça l'arête du nez.


- Dans l'ancienne chronologie, dit-il, tu était tellement exaspéré que tu quitta la cours de Trelawney en trombe. Alors, s'il te plaît Hermione, va voir le professeur Babbling et dit que tu laisse tomber.


  Harry lui lança un regard suppliant.


- D'accord, je vais laisser tomber la Divination.


- Et l'Etudes des Moldus ?


  Hermione se mordit la lèvre.


- C'est très intéressant de connaître le point de vue des sorciers sur les Moldus, expliqua t-elle. Oui, bon, la majeur partie de l'enseignement et très dépasser, d'ailleurs, j'ai un document sur toutes ces choses, elle sortie des dossiers et les tendis à Harry. J'ai pensée que cela pourrait être utile quand tu prendra le contrôle de l'école.


  Harry étudia les notes, le cours d'Etudes des Moldus étaient grandement dépasser, il avait grand besoin d'un rafraîchissement. Même si le professeur Burbage connaissait son programme.


- D'accord Hermione, dit-il. Tu peux terminer ce cours pour cette année, mais s'il-te-plaît laisse tomber. Cela libérera ton emploi du temps et ainsi tu pourras dormir plus et tu seras moins stresser.


  Hermione hocha la tête et sourit légèrement.


- D'accord, Harry, concéda t-elle. Tu ne me demanderez pas d'abandonner une matière si ce n'était pas pour mon bien.


  En plus, ajouta Harry, nous aurons bientôt des cours supplémentaires. Stearns à dit qu'il nous donnerait des leçon sur l'autodéfense non magique à la fin de la prochaine leçon d'Occlumencie.


  Le reste de l'année se passa avec une certaine tranquillité. Harry remarqua d'ailleurs que c'était sans doute l'année la plus calme qu'il et jamais passer à Poudlard. Les leçons privées d'autodéfense avec Mr Stearns étaient plutôt étranges, car il avait pour obsession de leur apprendre à se défendre contre quiconque les attaquait avec des fruits frais. Bientôt, les examens commencèrent, Harry découvrit d'ailleurs que Hermione et lui étaient à égalité dans Ancienne Runes. Au final, ce fut la meilleurs année que Harry passa à Poudlard. Et cela s'améliora aux cours des deux derniers jours.


  Au matin du dernier jour d'école, une édition spéciale du Chicaneur parut, il fut tellement vendus que le magazine devint le médias le plus vendus de toute la Grande-Bretagne magique, ce qui plongea le rédacteur en chef de La Gazette du Sorcier dans une dépression et à l'alcoolisme.


Harry Potter, héritier de Poudlard !

Par Xenophilius Lovegood


Hier, à la banque Gringotts, Mr Harry James Potter pris la décision de revendiquer officiellement la seigneurie de la plus ancienne et noble maison des Potter. Dans des circonstances normales, une telle chose ne se produirait pas avant que Harry ait atteint l'âge de 17 ans. Cependant, en tant que dernier membre de la lignée des Potter et avec la permission de son tuteur, Mr Potter a pu être déclaré mineur émancipé, devenant ainsi Lord Harry James Potter.


Cependant, ce ne fut pas la seule seigneurie que Harry puisse revendiquer. En plus de la lignée des Potter, Harry revendiqua officiellement la seigneurie des Perevell, longtemps pensée éteinte. Mais ce ne fut pas la seule surprise. Après avoir fait un rituel d'héritage, le jeune Lord Potter découvrit qu'il était l'héritier des quatre fondateurs de Poudlard.


Il semble que le célèbre Patrocles Potter ait épousé la dernière descendante de Godric Gryffondor, Géraldine Gryffondor, en 1776. Selon la tradition, étant la dernière personne à portée le nom de Gryffondor, Géraldine passerait la seigneurie Gryffondor au plus jeune de leurs enfants. Cependant, le couplé n'eut qu'un seul enfant, Gordian Potter. Le mariage Potter-Gryffondor fut garder secret afin de protéger les intérêt des deux familles. Jannus Perevell et Ilsa Poufsouffle, se marièrent en 1823, ils eurent une seule fille, Ignatia Perevell, qui fut la dernière héritière des deux familles. Ilsa épousa Christopher Potter en 1849. La raison pour laquelle aucun des Potter n'a jamais réclamé leurs seigneurie est inconnue, dans tout les cas cela veut dire que Lord Potter à quatre familles à réintégré dans la communauté magique.


Cependant, le jeune Lord découvrit avec l'héritage de sa mère la défunte Lily Anne Potter née Potter. Le nom Evans, était bien commun parmi les Moldus gallois, ce nom aussi fut soupçonner s'être éteint comme la lignée des Perevell. La famille Evans était un clan de mages de guerre gallois, bien qu'ils n'aient jamais possédé de titre de seigneurie, ils étaient très respecter. Le derniers héritier, Jonas Evans, était un Cracmol. Cependant le nom de Evans possédait un t-elle prestige que la dernière héritière de Serdaigle, Hypatia, épousa le jeune Jonas. Mais les surprises ne s'arrêtèrent pas là. Il semblerait que Lily Potter ait des origines dans la lignée des Florus, la dernière descendante de la lignée, Syrena, fut la dernière personne à portée le nom de Serpentard après son mariage elle devint donc, Syrena Serpentard. Il y a vingt ans le derniers chef de la noble Maison des Florus mourut sans enfant, donc, Rosemary Florus, une Cracmol hérita de la fortune et du nom Florus. Elle épousa Robert Evans et eurent deux filles, Pétunia et Lily Evans.

Par simple déduction, le jeune Lord Potter à six noms de famille à rétablir. Comme le veut la tradition, Lord Potter devra prendre une femme pour chacun des titres : Potter, Perevell, Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Les deux autres nom de famille dont descend Lord Potter, Evans et Florus, sont des cas à part. La famille Evans n'a pas suivi la méthode d'héritage habituelle, car c'était un clan sans titre officiel. La lignée Florus, en revanche, appartenait à la classe noble mais ne possédait pas de seigneurie. Il est nécessaire que Lord Potter prenne une femme pour chaque nom en raison de l'essentiel séparation requise du pouvoir beaucoup trop complexe à expliquer.


En plus de ses Seigneuries actuelle, Lord Potter est l'héritier potentiel de la famille Black. Si Lord Sirius Black n'avait pas d'enfant, le titre reviendrait à Lord Potter. Cependant, des rumeurs fiables indiquent que Lord Black ne restera pas sans héritier pendant trop longtemps.

Lord Potter donna son avis sur cette découverte :


- Ce fut vraiment choquant, déclaré-t-il. Ayant grandis dans le monde Moldus, l'idée d'avoir plusieurs conjoints n'apparaissait que dans les contes ou les très anciennes histoires. Je suppose que cela existe encore dans certaines partie du monde Moldus. Je n'ai pas hâte de me marier, je n'ai aucune intention de me marier avant d'avoir vingt ans.

Selon moi, le mariage est un partenariat, un accord personnelle, en plus d'être physique, romantique et plein d'amour. J'ai bien l'intention de traiter chacune de mes femmes avec le respect et l'amour qui leur est dû ; je n'épouserais pas une personne uniquement sur l'attraction physique ou par intérêt. Les mariages sont des accords mutuel et sans contraintes. Mes épouses siégeront au Magenmagot avec leurs titre, vu que je ne peut occuper qu'un siège à la fois. J'espère de tout mon cœur pouvoir trouver des épouses que je pourraient aimer et respecter, et qui pourra m'aimer et respecter en retour.

Des mots vraiment émouvants. Je pense que beaucoup de nos lecteurs conviendront que cette chance ne pouvait tomber sur une personne plus méritante. J'espère que vous vous joindrez tous à nous pour souhaiter les meilleurs chances à Lord Potter dans ses projets et pour espérer qu'il trouvera de bonnes jeunes filles avec lesquelles il pourra partager sa fille.


Pour plus d'informations sur les rituels d'héritage, voir page 99.

Pour plus de détails sur l'arbre généalogique, voir page 45.

Pour une brève histoire des mariages polygames en Grande-Bretagne magique, voir page 64.

Pour plus d'informations concernant la nouvelle alliance Potter-Londubat, voir page 12.




  Lorsque le magazine parut, le regard de certaines personne fut hilarant. Albus Dumbledore, avait l'air d'avoir eu un accident vasculaire cérébral. Rogue lui avait un visage crisper, comme si on l'avait forcer à avoir un rendez-vous avec Lockhart. La seul chose qui ennuyant vraiment Harry c'était que presque toute les filles le regardaient comme si elles voulaient l'attaquer.


  Harry s'assit face à Hermione et Neville, et tenta de faire comme si tout était parfaitement normal.


- Alors, dit Neville, que vas-tu faire pour terminer l'année sur une note positive ?


  Harry eut un sourire sournois.


- Je pense que nous pourrions faire quelque chose pour que Rogue viol l'ordre restrictif, répondit Harry. Fred et George m'ont rejoint. Ça t'intéresse, Neville ?


  Neville réfléchit un moment à l'offre avant de sourire aussi.


- Seigneur Potter, je serais ravi de participer à votre vengeance.


- Non, Neville, pas de vengeance. C'est un mot si laid, appeler ça plutôt... remboursement.


  Hermione sourit aux deux garçons et secoua la tête avec amusement alors qu'elle retournait à la lecture. Hermione réfléchissait à tout ce qui s'était passé cette année et à quel point cela l'avait changée. Auparavant, elle aurait incité les autres à prendre des responsabilités, mais maintenant elle était plus détendue, voire peut-être un peu rebelle. Elle supposait que c'était dû à l'influence de Harry sur elle.


  Ce soir-là, alors que tout le monde entra dans la Grande Salle sous les bannières rouge et or, Gryffondor avait remporté la Coupe des Quatre Maison grâce à la victoire exceptionnel de Harry lors de la finale de Quidditch. Lorsque les portes de la Grande Salle s'ouvrirent de nouveau pour laisser entrer quelqu'un.


  C'était Rogue, mais il n'était pas dans son état habituel, ses cheveux étaient dresser et avait prit une couleur orange, ses dents avait été allonger et avancer d'une manière ridicule, quelqu'un avait même scotcher des fausse lunettes avec de petit point en forme de balle de ping-pong, sa robe de sorcier avait été coloré en jaune avec des poids multicolores.


  Son visage était rouge de fureur. Lorsque ses yeux aperçurent Harry, qui riait avec force, quelque chose à l'intérieur du maître des potions se brisa.


- ÇA SUFFIT ! cria t-il. ORDONNANCE RESTRICTIVE OU PAS, JE VAIS VOUS TUER, POTTER ! Il fonça sur Harry et l'attrapa la gorge, cependant il tomba d'un coup.


  Neville, Hermione et Luna c'étaient levées pour lancer des Stupéfix ; mais ils ne furent pas les seuls. Fay Dunbar et Susan Bones ont toutes deux tirés des sorts, et plusieurs autres étudiants semblaient être prêt à intervenir.


- Que quelqu'un appelle les Aurors, déclara Harry. Je crois que tenter de me tuer est une violation de l'ordonnance restrictive.


  Dumbledore se laissa tomber dans son fauteuil comme s'il espérait disparaître. Il n'avait aucune chance de sortir Severus de ça. La seul possibilité était d'essayer de plaider auprès de Harry pour avoir pitié de Rogue lorsque l'homme serait jugé.


  Et quelques minutes plus tard, Amelia Bones et une grande troupe d'Aurors était venus pour emporter Severus Rogue, toujours inconscients. En partant, Amelia Bones adressa un sourire diabolique à Dumbledore.


  Harry et ses amis, retournèrent dîner après cette incident. A la fin du festin, un Dumbledore incertain se leva pour faire son discours de fin d'année.


- Et bien... commença t-il. Une autre année se termine. Comme le temps passe vite, en effet. Il commença à bouger, ne sachant pas comment procéder. Félicitations, encore une fois, à la maison Gryffondor pour avoir remporté la Coupe des Quatre Maison. Je suis impatient de vous revoir tous l'année prochaine ; à l'exception bien sûr de notre promotion, à qui je souhaite les meilleurs chances. J'espère que vous passerez tous un merveilleux été.


  Harry sourit en voyant Dumbledore. Il avait des projets pour cette été, il allait complètement revoir le programme de l'école. Le Tournois des Trois Sorciers, aller l'aider dans ses projets ; principalement à cause de la catastrophe qui allait arriver et se serait l'occasion idéal pour évincer Dumbledore. Harry ce leva, il avait quelque chose à dire avant de partir.


- Avant de clore la fête, monsieur le directeur, dit Harry. J'ai une annonce à faire.


  Dumbledore fit une grimace, mais il hocha la tête et invita Harry à monter sur le podium.


- En raisons des agréables événements qui se sont déroulées cette année, j'ai des cadeaux pour l'école. Il regarda les porte. Nous somme prêts !

  Red Bayly et Josiah Prewett entrèrent dans la Grande Salle, deux gobelins les accompagnés et porter une grande boîte. Ils se dirigèrent vers le podium.


- Très bien, posé la ici, dit-elle.


  Les gobelins posèrent la boîtes et l'ouvrirent.


- Tout est réglé, Lord Potter, déclara Red.


  Harry sourit et tendis la mains à l'intérieur pour retirer le premier objet. C'était la coupe de Poufsouffle.


- Je restitue à la maison Poufsouffle, la coupe légendaire de Helga Poufsouffle, déclara Harry, il eut des acclamations. Il donna la coupe au professeur Chourave. J'espère que les générations futures de Poufsouffle verront cette coupe.


  Le professeur Chourave sourit chaleureusement à Harry et hocha la tête.


- Ensuite, continua Harry en retirant un collier, ceci est un héritage familiale de Salazar Serpentard. Il s'agissait d'un cadeau de fiançailles pour Orla Serpentard, qui fut par la suite remis à la plus jeune fille de Salazar Serpentard. Son histoire fut découverte dans les journaux de Serpentard, y a t-il un professeur qui voudrait être Chef de maison pour les Serpentards ? Il est hélas, impossible de confier ceci à l'ancien chef.


  Le professeur McGonagall se tourna vers le professeur Vector.


- Septima, dit-elle doucement, serait tu disposé à prendre contrôle se la maison Serpentard.


  Le professeur Vector acquiesça discrètement.


- Mr Po... je veux dire, Lord Potter, dit McGonagall. Le professeur Vector à accepter de prendre la relève pour la maison Serpentard.

  Harry acquiesça et présenta le collier au professeur Vector. Ensuite, il sortit de la boîte le diadème de Serdaigle provoquant de forte exclamation.


- Le diadème de Rowena Serdaigle, proclama Harry. Longtemps perdu, mais j'ai maintenant le grand plaisir de le restituer à la maison Serdaigle. Il présenta le magnifique artefact au professeur Flitwick, qui semblait prêt à éclater en sanglots.


  Harry se tourna pour faire face à la table des Gryffondor. Ils étaient temps de mettre son héritage à l'épreuve, Harry leva alors la main droite.


- Moi, Harry James Potter héritier de Godric Gryffondor, demande à ce que l'épée de mon ancêtre apparaisse devant moi ! Il eut un éclair de lumière, et l'épée d'argent incrusté de rubis se matérialisa dans la main de Harry. Cette épée appartient à la tour de Gryffondor, pas au bureau du directeur, dit-il d'une voix forte. Il donna ensuite l'arme légendaire au professeur Babbling.


- Bien, conclut Harry. Je crois que c'est tout, pour le moment. Non attendez, j'ai failli oublier. Monsieur Prewett.


- Oui, Lord Potter ? dit Josiah.


- Les fonds ont-ils été transférés ?


Yes, My Lord.


- Excellent, Harry se retourna vers les quatre table. Il y aura quelques changements l'année prochaine. Tout d'abord, nous avons besoin d'un nouveau professeur de potions. Il se tourna vers Mr Preston. Mr Preston, seriez vous prêt à travailler à plein temps pour Poudlard ?


- Ce serait un plaisir pour moi, Lord Potter, répondit Robert Preston.


- Merci, j'ai hâte d'être dans vos cours l'année prochaine.


  A ce moment là, Dumbledore décida qu'il devait intervenir.


- Harry, en tant que directeur je suis seul à pouvoir nommer des professeurs.


  Les yeux de Harry brillèrent d'une lueur malicieuse.


- Tu te trompe tristement, mon vieux, dit-il sans tact. En tant qu'héritier de Poudlard, mon autorité dépasse la votre. Considérez-vous chanceux de ne pas vous être fait démis de vos fonction pour votre incompétence et votre abus de position. Harry s'avança alors vers les quatre table avec un sourire. Sur cette note, passez un bel été, tout le monde.


  Harry descendit ensuite du podium et se dirigea vers les portes. Red, Mr Prewett et les gobelins prirent cela comme un signe de départ. Mr Prewett, avant de sortir, s'arrêta pour parler brièvement à Percy.


- Je vous verrai dans quelques semaines pour discuter de votre emploi, jeune homme, déclara-t-il.


  Percy sourit de joie. Il avait manifesté un plus grand intérêt pour travailler avec Bayly, Black et Prewett que pour le ministère. Depuis sa rencontre avec Josiah Prewett au bal du Nouvel au Manoir Potter, Percy était beaucoup plus attiré par les finances que pour devenir un simple laquais du ministère.




  Pendant ce temps, Harry se dirigea vers la tour de Gryffondor, mais quelque chose le fit détourner de sa route. Il marcha plus profondément dans l'école, dans une partie du château ou il n'avait jamais mis les pieds. Bientôt, il se retrouva dans un long couloir, au bout duquel était accrocher un portrait d'une très jolie femme habiller avec une armure étincelante.


- Mon seigneur, salua t-elle courtoisement. Lady Poudlard m'a demandé de vous accueillir en son nom.


- Heu, merci ? répondit Harry.


- Je suis Dame Maude de Kent, votre humble serviteur.


- Je ne savais pas qu'il y avait des femmes chevaliers, dit Harry.


- Il y en a, mon Seigneur. Je suis de la même tradition de Jeanne d'Arc, Maud de Braose, Nicola de la Haye, la reine Aethelburg de Wessex, la reine Emma de France et même Eleanor d'Aquitaine. J'ai moi-même servi au combat pour défendre notre noble île. Maintenant, mon Seigneur, quel est le mot de passe ?


- Mot de passe ?


- Pour vos nouveaux quartiers, mon Seigneur. Je garde l'entrée des chambres privée qui étaient utilisé par les fondateurs. Comme vous avez réclamé vos seigneuries et la propriété du château, vous avez maintenant le droit d'utiliser les quartiers des fondateurs, les elfes ont déjà mis vos affaires ici. Maintenant, mon Seigneur, quel est le mot de passe ?


  Harry réfléchit un instant.


- Saint-Graal ? répondit-il avec un haussement d'épaules.


  Il ne serait la que pour une nuit, il pourrais changer le mot de passe une fois revenu des vacances.


  Maude sourit et le portrait se balança pour permettre à Harry de passer.


  La première pièce que Harry vit était une grande salle commune circulaire avec une table ronde et plusieurs chaises. Harry supposa que c'était là que les fondateurs avaient tenu leurs réunions.


Il y avait quatre chambre, une pour chaque fondateur. 


La chambre de Serdaigle se trouvaient en haut du plus grand escalier en colimaçon. La Chambre de Serpentard descendait au plus bas et l'ambiance était sombre et froid, Harry n'avait pas l'intention d'y rester quand il faisait nuit. La chambre de Poufsouffle se trouvaient à quelques pas de la grande salle, ont aurait dit une énorme tanière, chaleureuse et confortable, Harry remarqua que le style était clairement féminin.


  Harry décida de passer la nuit dans la chambre de Gryffondor, elle avaient un style royal et très masculin ; les murs étaient drapés de rouge et or et de nombreuse armes étaient utilisé comme des décorations.


  Harry se glissa dans le magnifique lit à baldaquin et s'endormit, avant de sombrer dans l'inconscience il se demanda qu'elle danger il affronterais dans un avenir proche.

Laisser un commentaire ?