Moi ? Un robot ? B...bien sûr!
Je sort la première phrase qui me vient à l'esprit. De toute façon je vais crever alors je risque le tout pour le tout. Je prend une grande inspiration et je dit tant bien que mal :
Moi: Pourquoi l...Les autres a....animatroniques ne laissent voir auc...une émotion et que toi tu...à l'air si...tr...triste..?
Grand blanc. Je fixe le sol. Je n'ose pas le regarder. Je sens ses mains se desserré de mes épaules. Il dit d'une voix calme mais néanmoins sévère :
Freddy : Détrompe toi. Ils ont tous des émotions comme toi ou moi. Mais ils sont envahit d'une haine immense et ils ne te font pas confiance. *Il prend une voix sarcastique* moi n'ont plus d'ailleurs.
Mes pleurs arrêtés, je lève la tête, la surprise ayant pris le dessus sur la peur.
Moi : Mais...pourquoi ?
Il se remet en colère.
Freddy : Ne fait pas l'innocente! Qu'es ce que tu es venu faire hier matin, quand ont étaient désactivés ? Tu crois qu'on t'a pas vu rentrer dans c'te pièce ?! C'est pas parce qu'ont ne peut pas bouger par nos propres moyens la journée qu'on ne pense pas où qu'ont ne voit pas!
Je le savais.
Moi : Je voulais juste en savoir plus sur ce que disait l'homme au téléphone...
Freddy : Hein ?
Moi : Ben...il parle tout le temps de rumeurs et de choses dramatique qui serait arriver à la compagnie....mais je ne savais pas de quoi il parlait donc je suis aller chercher les articles de journaux qui sont dans le placard, la bas...
Freddy : MENTEUSE ! Je sais que t'es aller essayer de trafiquer nos systèmes !
Alors là je suis complètement largué. Il a l'air super en colère et il pense que j'ais fait quelques chose de mal... et il ne veut pas me croire.
Moi : J...je ne sais vraiment pas de quoi tu parles...
Il ferme ses poings et il tremble.
Freddy : Je sais que tu ment... TU VA NOUS LE PAYER !!!
Il lève son poings droit et s'apprête à me frapper. Je cache mon visage dans mes mains. Le réflexe inutile. Et puis tout à coup, un grand "SBAM" retentit. Je lève prudemment la tête.
Freddy est plaqué contre le mur à quelques centimètres à côté de moi. C'est la marionnette qui le retient par les poignés. Je reste là, étonnée et effrayée. La boîte à musique n'a pas été remonter depuis que je suis sortie de mon bureau.
Freddy : Nan mais qu'es ce que tu fou ?! L'âche moi !
Freddy à baux essayer de se débattre de toute ses forces et il a baux être deux fois plus grand que la marionnette, celle ci a beaucoup plus de force que je ne le pensais et elle arrive à le tenir en place. Elle se met à parler. Sa voix est très étrange et très calme. C'est comme si on croisai une voix humaine et robotique.
Marionnette: Elle dit la vérité.
Freddy : Quoi ? Mais qu'est ce que tu raconte ?
Le visage de Freddy abandonne toute trace de colère. Il a les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte.
Marionnette: Elle n'a rien à voir avec ce qui est arrivé. Je ne laisserai pas un de ses assassin en vie vous approcher. Tu me fais confiance ?
Après un long moment d'hésitation, il hoche la tête, l'air dépité. La marionnette lui tapote l'épaule pour le réconforter.
Marionnette : Je sais que tu est en colère, comme tes amis. Et moi aussi d'ailleurs. Mais ne rejettez pas cette colère sur le premier gardien de nuit qui débarque.
Freddy : Comment savoir si ils sont mauvais ou pas ?
Marionnette : Tu l'as bien su, toi. Sinon tu l'aurais tuer la nuit dernière.
Il lève les yeux, surpris. Ils se tournent vers moi. Intimidé par les deux robots, je me raidit et baisse les yeux. Freddy dit d'une voix presque inaudible :
Freddy : Je suis désolé...
Et puis son regard ce durcit.
Freddy : Tu ferai mieux de démissionner et de ne jamais remettre les pieds ici. Reste en dehors de tout ça, ok ?
Il va à l'autre bout de la pièce, s'assoit et grogne.
La marionnette se tourne vers moi.
Marionnette : Ne t'inquiète pas, il est toujours comme ça. Les animatroniques de ce restaurant ne font plus confiance en personne.
Moi : Pourquoi ça ?
Elle réfléchie deux minutes.
Marionnette : Disons...que c'est assez compliqué...
Moi : Je vois...
Je regarde Freddy dans son coin, ce donnant un léger coup pour "réparer" son oeil gauche. Je rajoute, assez gênée:
Moi : J'imagine que je n'aurai plus besoin de remonter la boîte à musique...?
Marionnette : Ha ? Alors tu reste ?
Je fait oui de la tête.
DIIING DOOONG
6H00.
J'entend les Toys retourner sur scène. La porte s'ouvre. Bonnie Chica et Foxy rentre. Ils me regardent, puis lançent un regard interrogateur à la marionnette. Mais comme il sont programmés pour se désactivé à 6h00, il ne rajoutent rien et se placent comme à leurs habitudes. La marionnette s'en va à son tour. Je la rattrape.
Moi : Heu...attendez! Merci...
Elle se retourne et me sourit, puis elle retourne dans sa boîte.
J'ais finalement (miraculeusement) survécu à cette nuit. Je reste à la pizzeria comme je suis de garde ce midi.
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Il est 12h58, tout ce passe bien, les enfants s'amusent. Mais ce qui me perturbe, c'est que les animatroniques nourrissent une haine immense et que la journée, ils ne peuvent pas l'exprimer, ils sont obligés de jouer leurs rôles de robot chantant. J'éprouve une immense compassion envers eux. Je me repasse les éléments de cette nuit dans la tête. Des pleurs me ramène à la réalité. Je me dirige vers la Crique des Enfants et voit deux jumeaux en train de se battre pour savoir qui va reamboiter la main de Mangle... enfin, Toy Foxy... ce dernier regarde les enfants, l'air impassible. Je m'approche d'eux pour les séparer. Tout à coup, Toy Foxy émet un sifflement. Et me lançe un regard noir. Les gens ny font pas attention, pensant que c'est son système radio qui beugue. Mais moi je sais que c'est parce qu'il ne veut pas que je fasse de mal au enfants. Je m'approche donc des jumeaux et les sermonne doucement. Toy Foxy regarde la scène, dans l'incapacitéde faire quoi que ce soit. Après avoir réglé la dispute des deux enfants, je m'approche de Mangle en faisant mine de lui remettre sa main en place. Je lui murmure à l'oreille.
Moi : Je ne leurs ferai rien , ne t'inquiète pas.
Il ne réagit pas. Les enfants retourne jouer avec le robot. Je remarque alors une petitem boîte à outils au fond de la salle. Elle devait sûrment servir à réparer Toy Foxy avant qu'ils ne le laissent définitivement dans cet état. Je pense immédiatement à Freddy. C'est ma chance. Je veux absolument qu'il me fasse confiance. Lui et tout les autres. Autant commencer par celui qui a le plus d'influence. Freddy. Je prend la petite boîte à outils et me rends dans l'arrière salle. Je travaille ici et je porte l'uniforme donc je n'ai pas besoin d'une excuses pour y entrer. Je referme la porte derrière moi. Je pensais que après ce qui c'est passé cette nuit et quand sachant que les modèles sont désactiver la nuit, je serais moin angoissé à l'idée de venir ici. Grosse erreur. Il me font encore flipper. Je serre les poings et je me dirige vers Freddy. Je sais qu'il me vois et je suis sur que là, il ne me fait vraiment pas confiance. Il doit sûrement croire que je vais le trafiquer.
Moi: Salut.
Je me baisse et ouvre la boîte à outils. Je sort un petit tourne vis. Je le rassure, sachant qu'il m'entend.
Moi : Ne t'inquiète pas, je vais juste m'occuper de ton oeil gauche.
Les mains tremblente, je lui prend doucement le visage des deux mains. Je dévisse la partie au dessus de son globe oculaire et je replace les fils comme ils faut. Je m'y connais un petit peu dans ce genre de choses. Je chuchote, ne sachant pas si c'est pour le rassurer ou bien si c'est moi que je rassure.
Moi : J'ai presque fini. Je comprends d'où venait le problème. Je dois juste remplacer certains fils qui sont au mauvais endroit... J'ai appris ça avec une personne que jamais beaucoup. Il s'appelait Bob. Il avait une véritable passion pour tout ce qui est robotique. Quand j'étais petite, je passais le plus clair de mon temps avec lui. Quand il est mort il y a 10 ans, je me suis retrouver toute seule avec Mr.Pergate...
Je marque une longue pause, ému par ces souvenirs. Souvenirs qui parviennent à me faire oublier ou je le trouve et avec qui.
Moi : J'aurais aimer apprendre plus de choses avec lui. *je souri tristement* C'était le père que je n'est jamais eu.
J'essuie mes larmes qui commencentà couler sur mes joues. Et puis je me souviens que Bonnie Chica Freddy et Foxy peuvent me voir. Génial. Je viens de couler ma fierté en deux secondes devant des robots qui me haïssent. Néanmoins, je me force à sourire.
Moi : Ça y est!
Je le prend par le visage des deux mains en faisant attention à ne pas lui faire mal et je regarde son oeil réparer, satisfaite.
Moi : Comme neuf !
Et puis je me rend compte que nos visages sont très près l'un de l'autre et je me souviens de qui il est et de la réaction qu'il a eu hier soir en me voyant. Je panique en espérant qu'il va oublier cette scène et qu'il va pas se remettre à me crier dessus. Je me relève en hâte. Je me tourne vers Chica et Bonnie.
Moi : Par contre je suis vraiment désolée mais je ne pense pas pouvoir réparer un visage ou une mâchoire. Mais si je trouve un bras ou des mains, promis je pense à vous !
Je prend ma petite boîte à outils et sort à toute vitesse de la salle.