sentiments pour une mission ?
Tout le monde se retourne vers Lucy priant pour qu’elle se batte.
PDV DE LUCY
Il fait si sombre, le froid et la moisissure sont tellement présent où suis-je ? Je me sens parfaitement bien, je n’ai plus mal mais je suis posée sur quelque chose d’inconfortable, je me réveille en sursaut quand je compris que je n’étais pas morte. Je regarde mon corps en premier et découvre avec stupéfaction que mon corps n’a plus toutes ces blessures qui l’envahissaient. Puis je regarde autour de moi, je suis dans une cellule, je veux regarder ce qu’il y a à l’extérieur de la cellule mais l’obscurité domine. Une simple bougie posée sur une table en bois procurer la faible lumière qui me réconforte. Une légère flamme chaleureuse et douce, quand je la regarde j’imagine le regard de Natsu. Natsu … Où est-il ? Et les autres est-ce qu’ils vont bien ? Je pris la bougie pour regarder à l’extérieur de la cellule mais je me brûle la main et laisse tombée la bougie par terre, tout à coup la flamme s’agrandit et ronge à une vitesse folle la table, prise de panique je crie « A L’AIDE » pour que quelqu’un vienne me sauver mais l’obscurité domine toujours malgré le feu qui se propage je ne voit toujours pas à l’extérieur, je me jette contre les barreaux pour essayer de m’échapper mais je me brûle violemment. Le feu s’avance comme un tsunami qui veut engloutir tout espace qui s’offre à lui. Je me pelotonne contre le mur encore froid, l’odeur de moisissure et de bois brûlés m’emplit le nez, un haut le cœur me prit soudainement, la peur me submerge que puis-je faire, je suis encerclée de toute part, je revis le cauchemar que j’avais vécue dans la cabane, aucune issue malgré mes efforts rien n’y fait. Le feu se rapproche trop vite, j’halète mais la fumée m’emplit les poumons je tousse et cela me brûle les poumons, mon dieu alors que je viens de guérir je vais mourir brûlée vif. Quelle mort encore plus horrible pourrait-on avoir ? Personne ne vient me sauver. Natsu désolée je devais survivre pour te sauver mais il est trop tard je ne peux plus, je suis totalement impuissante. Ma vie s’arrête ici, ce feu si chaleureux et doux au début et si violent et agressif maintenant, j’ai peur… Je suis seule… Je l’ai toujours était… Sans Fairy Tail je ne suis rien. Je regarde le tatouage de la guilde sur ma main le feu se rapproche la fin arrive, je me mets en position fœtale, cela me rassure un peu mais pas assez le tatouage collé contre mon cœur, je pleure. Le feu m’engloutit je crie, la douleur…. La douleur de la perte de ma famille, la douleur physique, la douleur sentimentale tout ça réunis… Que cela se finisse vite… D’un coup plus rien de nouveaux le vide….
PDV GENERALE
Sur le bateau Natsu et Wendy était dans la chambre avec Lucy toujours inconsciente, Wendy s’activait sur tous les livres de magie céleste qu’elle avait pour pouvoir enlever ce sort alors que Levy chercher dans la pièce principale plus d’informations sur ce sort. Le bateau filait à toute allure, Natsu n’était pas malade Wendy la guérie grâce à son sort. Le dragon slayer concentré regarde le visage de Lucy pour voir un changement, tout à coup il lui semblait que la peau de La constellationniste était devenue plus blanche et que sa main était plus froide.
Natsu : Wendy ! Lucy…. Elle change.
Wendy se précipita sur Lucy, elle ne pouvait peu être pas la soigner mais elle pouvait vérifier son état. Quand elle fini son analyse, elle recula choquée.
Natsu : Alors ?
Wendy : Son état s’aggrave la mort commence à prendre le dessus.
Natsu : Merde Luce, Bats-toi.
PDV DE LUCY
Je me réveille encore en sursaut. Ce n’était qu’un cauchemar ? Pourtant cela me semblait bien réel. Je me lève et me sens toute petite. Je regarde autour de moi, c’était mon ancienne chambre. Elle est absolument comme dans mon enfance. Tout à coup je regarde devant moi, un miroir était posée. Mon reflet. Qu’est que ? Pourquoi suis-je redevenue une gamine ? Qu’est qu’il ce passe ? Je n’eut pas le temps de réfléchir plus que quelqu’un frappe à ma porte, avec ma voix toute douce et aigus je réponds « entrer ». Et là ma mère se dresser devant la porte avec son sourire qu’elle faisait tous les matins quand elle venait me chercher pour le petit-déjeuner. Je ne réfléchi pas et me jette dans ses bras, j’ai tellement besoin de réconfort dans ce cauchemar. Les larmes aux yeux je la regarde avec de la joie dans les yeux, son parfum, son regard, ses bras réconfortant, tout ça semblait être vraiment réel. Elle me prit la main et s’avança dans le couloir. C’est bizarre, depuis que j’ai quitté ma chambre je n’ai qu’une envie, y retourner mais quand je tourne la tête vers la porte de ma chambre je ne voit que les ténèbres, je regarde ma mère, elle tourne sa tête vers moi et me sourit, la chaleur de ce sourire me réconforte et j’avance de nouveaux. Elle lâche ma main pour aller dans sa chambre chercher quelque chose, je n’ai pas compris ses paroles et sa voix était drôlement bizarre mais je ne réfléchis pas longtemps, mon attention est plus attirer par la porte qui mène au bureau à mon père. J’avance vers celle-ci, un mauvais pressentiment m’envahit, l’atmosphère est si effrayante et oppressante. J’angoisse et je commence à avoir peur, maman n’arrive toujours pas. Je suis devant la porte, sans m’en rendre compte je marchais encore quand je réfléchissais. Le cœur battant je regarde la poignée, mes jambes flageole, j’ais l’impression que je vais tomber d’une seconde à l’autre, je respire peu car la peur me coupe le souffle, ce mauvais pressentiment est tellement fort mais la curiosité de petite fille prit le dessus. Ma main tremblante et moite se pose sur la poignée de la porte. Mon cœur bat dans mes oreilles comme une bombe qui va exploser. Je tourne tout doucement la poignée alors que j’ouvre à peine la porte une main poussa sur la porte et la referme aussi sec, ne m’attendant pas à cela je crie, mais des bras réconfortant m’entoure aussi sec, l’odeur de ma mère emplit mes narines. Un parfum de rose et de vanille. C’est si reposant. Quand ma mère est près de moi c’est comme-ci l’obscurité ne pouvait m’atteindre. On reprend le chemin pour aller dans le grand salon. On passe par le couloir où tout les tableaux sont accrochés. Quand on passait c’était comme-ci ils nous fixaient et ne nous quittaient plus. Nous arrivons enfin dans le salon, un majordome vint nous faire asseoir, je le regarde et vit avec horreur qu’il n’avait pas de visage, je baisse ma tête et chuchote un « merci ». Ma mère me regarde à nouveaux avec son sourire. Je lui répondis avec plaisir. Le majordome vint nous donner notre petit-déjeuner. Un chocolat chaud et une crêpe a la fraise, c’est mon petit-déjeuner préférée étant petite. Je pris une bouchée dans ma crêpe et trouva ça excellent, je souris à ma mère. Quand je but mon chocolat chaud je recrache directement. Qu’est que ? Ce n’est pas du chocolat ça un goût de …. SANG ?? J’ai but du sang ? Je tombe de ma chaise. Ma crêpe devint une main ensanglanter, je regarde ma mère, sa tête as complètement changés ses cheveux sont sales et tellement en bataille sa robe déchirée et remplie de sang, me laisser voir quelque partie de son corps. Son teint blafard, ses yeux grand ouvert me fit peur. Je cours et retrouve ma taille normale. Il fait froid, quand je souffle de la fumée sort de ma bouche, j’entends ma mère crier mais ce n’était pas sa voix. Je cours en direction du bureau a mon père, essoufflée, le cœur battant j’ouvre avec fracas la porte du bureau. Je crie, le bureau de mon père avait des tâches de sang partout. Tout d’un coup je vis mon père sur le bureau, une épée dans le cœur, le regard vide. Je le regarde et pleure. Je recours dans cette immense maison, cherchant désespérément d’échapper à ma « mère ». J’entendais ses talons sur le sol résonner dans toute la maison. Alors que je rejoins les escaliers pour sortir de la maison en bas des escaliers, des majordomes sans visage bloqués le passage, prenant mon courage à deux mains je rentre dans le tas et me bat comme une lionne. Ils sont nombreux mais je réussi à atteindre petit à petit la porte. J’y arrive plus que quelques mètres, les majordomes sont de plus en plus nombreux. Ils me maîtriser vite. Ma mère arrive vers les escaliers. Les majordomes sans un bruit m‘emmènent au pied de ma mère. Elle me souleva le menton et me gifla.
Layla : Jeune fille on ne quitte pas la table sans permission.
Lucy : Tu n’es pas ma mère.
Layla : comment oses-tu ? Cette guilde te fait vraiment du mal et a une mauvaise influence sur toi. Enlevez-lui SON TATOUAGE.
Lucy : NON
Les majordomes m’emmènent de force devant la cheminée qui grogne. Layla s’approcha et prit un bout de fer au bout une rose est dessinée. Elle plongea l’embout dans le feu. Il rougit au contact de celui-ci. Je regarde effrayée le feu et le fer, puis je regarde le tatouage de Fairy Tail, ma vie est désormais Fairy Tail, ma famille est Fairy Tail. Comment oses-t-elle m’enlever le peu de joie qu’il me reste ? Layla enlève le bout de fer et le brandit au-dessus de ma main. Cette fois-ci je ne vais pas me laisser faire. Alors que Layla fit tomber le bout de fer dans une vitesse folle, je tire mon bras où un majordome me tient, le bout de fer finit dans son crâne. Le cri strident du majordome se fit entendre, Layla est stupéfait. Je reprit le bout de fer encore chaud et l’enfonça dans son visage, son crie se fit entendre.
Layla : Comment oses-tu ? Vilaine fille !
Layla se jeta sur moi. On roule jusqu'à la porte, je mit un coup de poing sur le visage de ma mère et j’essaye de m’enfuir mais Layla me prit la jambe, elle enfonce ses ongles dans ma chair et griffe le long de ma jambe, le sang coule à flot. Je retiens un cri qui reste dans ma gorge.
Layla : qu’est que tu fais ? Ne croit pas que tu vas t’en tirer.
Elle tira sur ma jambe et je vole et atterrit contre les escaliers. J’entendis un crac venant de mes côtes, je crie de douleur. Ma mère revient a la charge me prit par le cou et me souleva. Mon souffle fut coupée, je bats des jambes pour m’en sortir mais rien n’y fait je n’arrive pas, je la griffe sur les bras et le visage mais elle ne lâche pas prise. Ses yeux n’expriment rien plus que la mort qui m’attendait, l’oxygène commence à manquer. Le froid envahit la pièce. Mon esprit s’embrouille, mes yeux commencent à ce fermer, je me débats de moins en moins, le peu de raison qu’il me reste me fit voir Natsu . Il faut que je me batte je lui ais fait cette promesse.
Layla : Ne résiste pas les filles mal polies sont punies c’est tout.
Lucy : tu n’es pas réel.
Layla : Comment ? Je vais te montrer si je ne suis pas réel.
Layla folle de rage m’envoya contre un mur, mon crie ne sortit pas quand je percute le mur, le souffle coupé, j’essaye de reprendre ma respiration mais je n’eut pas le temps qu’elle me mit un coup de pied dans les côtes, impuissante je crie. Elle reprit le bout de fer et me l’enfonça dans le bras, je crie de toutes mes forces ma peau prit la forme de la rose. Tout un coup elle disparut. Je put reprendre mon souffle mais une sorte de berceuse angoissante se fit entendre. La même berceuse que ma mère me chantais quand j’étais petite, je ne compris pas les paroles car elle chuchote mais une chose est sûr ce n’est pas les bonnes paroles. Une épée dans la main elle descend vers moi. J’essaye de me relever mais la peur me paralyse. Merde ! Je suis condamnée. Ma mère ne m’aurait jamais fait de mal, alors pourquoi aujourd’hui elle a décidé autrement ?
Lucy : Pourquoi tu veux me faire du mal maman ?
Elle ne répond pas et chante toujours cette berceuse angoissante. A ce moment précis je me rendit compte que la fin était imminente. Je ferme les yeux en priant pour que ça ne fasse pas mal et que ce soit rapide. Les minutes passèrent et rien, je rouvris les yeux et la vit me regarder. Dans un sourire elle passe son doigt sur l’épée remplie de sang. Je me rendit compte avec horreur que c’était l’épée qui était dans le cœur de mon père. Mes larmes coulent, alors que le rire sadique de la jeune femme résonner dans le château. Layla se mit à ma hauteur et caressa ma joue avec sa main pleine de sang.
Layla : Je vais te tuer car c’est de ta faute si je suis morte.
Elle me gifla et se remit debout. Cette phrase me tua déjà. La douleur me brisa de l’intérieur. Elle brandit l’épée au-dessus de moi. Mon cœur bat tellement fort, l’excitation de mourir, la peur de mourir ou le fait qu’elle ait raison ? L’épée tomba sur mon corps. La douleur fut immense et déchirante. Je sombre dans le rire démoniaque de ma mère. Pitié que ce soit terminés. Le vide qui m’est maintenant la seule chose réconfortante refit surface puis plus rien….
PDV GENERALE
Natsu c’était endormi. Tout à coup un léger cri le réveilla en sursaut, il regarda inquiet Lucy, il vit avec effroi une nouvelle blessure sur son corps, une rose se dessinée sur la peau mutilée de Lucy, des cloques se formèrent autour. Levy apparut car Gajil lui as dit qu’il avait entendu Lucy. Elle s’approcha d’elle et vit la marque. La jeune fille fondit en larme.
Natsu : Levy qu’est qu’il se passe ?
Levy : Elle a échoué au deuxième cauchemar.
Natsu : comment ça explique moi !
Levy (essayant d’arrêter de pleurer) : Ce sort est de la magie noire, qui nous fait découvrir nos plus grandes peur dans des cauchemars que Lucy croit réel car tout ce qu’on ressent est totalement vrai. Tout paraît vrai les odeurs, les émotions, le toucher, le goût et l’ouie. Elle souffre, on la tourmente, je ne sais pas ce que c’est ses cauchemars mais si elle ne découvre pas que c’est un sort elle va tout simplement mourir.
Natsu : encore combien de rêve ?
Levy : c’est le dernier. Et le dernier est tout simplement sa plus grande peur.
Natsu : elle te l’a déjà dit ?
Levy : Oui.
Natsu : c’est quoi ?
Levy : que Fairy Tail disparaisse.
Natsu : Merde ! Aller Lucy ne croit pas à tout ça et revient moi….
Le regard inquiet et le cœur battant, Natsu jura que si Lucy ne parvient pas à réussir, il tuera le mage qui avait osé faire du mal à Lucy.