Festival à Magnolia
Chapitre 11 : Chapitre 10 - Baignade, désir et frustration
Catégorie: M
Dernière mise à jour 09/11/2016 21:47
Coucou ! Me revoilà enfin avec un nouveau chapitre pour cette fic. Voici un chapitre plus long que d’habitude pour me faire pardonner de cette longue attente !
Bonne lecture !
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Chapitre 10 - Baignade, désir et frustration.
Une fois au bungalow, Levy fila dans la chambre. Elle sortit sa serviette de plage et son bikini blanc de son sac, puis se rendit à la salle de bain pour le mettre, pendant que le mage mettait son short de bain noir dans la chambre. Elle sortit ensuite de la salle de bain et se rendit sur la terrasse. Elle déposa sa serviette sur un des transats puis, descendit sur le ponton.
Alors qu’elle était au bout de ce dernier, elle entendit quelqu’un courir derrière elle, puis, il y eut un gros splash et elle fut éclaboussée.
- Gajeel !! s’écria-t-elle.
- Oups…, fit-il avec un sourire moqueur en émergeant.
Elle lui lança un regard noir puis s’exclama :
- Ah ouais ! Tu veux jouer à ça ?
- Ghi hi ! Qu’est-ce que tu comptes me faire crevette ? Tu n’arriveras qu’à me chatouiller de toute façon…, dit-il en se retournant.
Elle sauta alors sans prévenir sur son dos et essaya de le noyer, en vain. Elle se débattît afin de le couler, tout en riant aux éclats, mais il ne bougea même pas d’un pouce. Au bout d’un petit moment, il la décrocha de son dos sans efforts et l’attira dans ses bras avec douceur mais fermeté.
Lorsque leurs regards se croisèrent, le cœur de la jeune femme loupa un battement pour recommencer à cogner férocement dans sa poitrine, elle arrêta de respirer et de bouger. Après quelques secondes intenses, elle relâcha son souffle et recommença à respirer fortement. Ensuite, la jeune femme approcha lentement son visage de celui de Gajeel et posa délicatement ses douces lèvres sur les siennes. Il la serra plus fort contre lui et elle remonta lentement ses mains sur son torse musclé, avant de passer ses bras autour de son cou. Elle se sentait bien dans ses bras forts, contre son corps chaud et puissant. Le baiser se fit soudain plus intense. Gajeel passa doucement sa langue sur la lèvre de Levy, demandant l’accès à sa bouche qu’elle s’empressa de lui accorder. Leurs langues se rencontrèrent alors et entèrent dans une lutte acharnée pour le plaisir. A bout de souffle, ils se séparèrent. Gajeel posa un baiser sur le front de Levy avant de la repousser, à contre cœur. Elle était si pure, si innocente…Il ne voulait pas abuser d’elle, l’obliger à s’offrir à lui. C’était surement trop tôt pour elle. Il devait y aller doucement, ne pas la presser, lui montrer tout le respect qu’elle mérite. Il avait envie de faire les choses bien.
- Hum… Je crois que… Euh…, balbutia Gajeel. On ferait mieux d’arrêter. Je vais aller me mettre au soleil.
- Oh… Oui. Tu as raison.
La mage aux cheveux bleus fut un peu déçue et frustrée. Elle était si bien dans ses bras ! Pourquoi l’avait-il repoussée ? Il n’avait pas envie d’elle ? Ou étais-ce autre chose ?
Le reste de l’après-midi se déroula tranquillement et lentement aussi. Ils se baignèrent, bronzèrent et Levy entama la lecture d’un nouveau livre. Mais même s’ils parlèrent beaucoup de choses et d’autres, ils ne se rapprochèrent et ne se touchèrent plus. Un début de tension commença à se crée entre eux.
Le soir venu, ils préférèrent appeler la réception afin de commander et de se faire livrer le dîner, même si une cuisine était à leur disposition et qu’ils pouvaient aussi aller au restaurant de l’hôtel. Ils mangèrent sur la terrasse, éclairée par le coucher du soleil et par les lampes huiles disposées ici et là.
Quand ils eurent terminé leur repas, un jeune homme vint débarrasser la table et Gajeel remarqua avec les points serrés l’intérêt de celui-ci pour la jeune femme. Il se retint difficilement de le jeter dehors à coup de pieds dans le derrière. Levy lui dit ensuite bonsoir, lui souhaita une bonne nuit et partit directement se coucher.
Une fois dans la chambre, elle enfila la nuisette noire que lui avait offerte Mirajane, avec un soupir de déception. Elle aurait voulu la porter pour Gajeel… Elle se sentait ridicule comme ça.
Elle se rendit alors compte qu’elle devait aller à la salle de bain mais elle n’avait rien à mettre par-dessus la nuisette. Elle entrebâilla alors doucement la porte et passa la tête dans l’ouverture. Elle ne voulait pas que Gajeel la voit comme ça. Elle se serait ridiculisée. Elle vit qu’il était allongé sur le fauteuil. Il ne pouvait donc pas la voir. Elle ouvrit alors un peu plus la porte et fila sur la pointe des pieds dans la salle de bain, où elle se brossa les cheveux et se lava les dents. Malheureusement pour elle, ce qu’elle ne savait pas, c’était que le dragon slayer, qui avait une ouïe fine, avait entendu la porte de la chambre s’ouvrir et il avait aperçut son reflet dans la baie-vitrée alors qu’elle se rendait discrètement jusqu’à la salle de bain. Il s’était alors statufié et sa mâchoire c’était décrochée. Son cœur s’était emballé faisant circuler son sang comme un torrent dans ses veines. Il avait du lutter de toutes ses forces contre son désir et la pulsion d’aller la rejoindre dans la salle de bain pour lui arracher sa jolie petite nuisette et lui faire l’amour comme un dingue.
« Putain ! », s’exclama-t-il intérieurement. « Je déteste ça ! Je déteste être faible comme ça, ne pas avoir le contrôle de moi-même ! ».
Elle était ressortie quelques minutes plus tard vêtue d’un des peignoirs mis à leur disposition par l’hôtel. Il n’est pas nécessaire de dire qu’il fut déçu. Une fois qu’elle fut de retour dans sa chambre, la jeune femme retira le peignoir et se coucha, ne se doutant aucunement de l’état dans lequel se trouvait le Gajeel.
De son coté, le mage d’acier se leva et sortit sur la terrasse pour prendre l’air. Cela lui fit du bien mais n’éteignit pas le feu qui embrasait son corps. Il se rendit ensuite à la salle de bain pour prendre une douche froide. Une fois que ce fut fait il se rallongea sur le canapé. La nuit allait être longue, très longue.
Le lendemain…
Malheureusement, la nuit n’avait pas réussi à effacer la frustration de la vielle, au contraire, elle l’avait même exacerbée. Ils avaient tous les deux rêvé de l’autre, et pas d’une manière très catholique…
Levy se leva avec un soupir. La nuit n’avait pas été de tout repos. Elle rougit en repensant à son rêve. Ça avait été torride ! Elle enfila le peignoir par-dessus sa nuisette, se rendit ensuite au salon avec l’intention de passer un coup de fil à la réception pour commander le petit déjeuner. Cependant, lorsqu’elle pénétra dans le salon sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller Gajeel, ce dernier n’était pas sur le fauteuil, les rideaux étaient tirés et la grande baie-vitrée ouverte. Elle sortit alors sur la terrasse et vit le mage attablé avec le petit déjeuner servi. Lorsqu’il leva les yeux vers elle et que leurs regards se croisèrent, ils rougirent tous les deux, la vision de l’autre leur rappelant leurs rêves.
- Euh… Bonjour, le salua la jeune femme, encore gênée.
- Salut…, répondit-il, lui aussi mal à l’aise.
Comment pouvait-elle être aussi belle au réveille ? Le dragon slayer d’acier se demanda alors ce qu’elle pouvait bien porter sous son peignoir. Etait-elle en pyjama ? Portait-elle la nuisette sexy de la veille ? Etait-elle nue ? Il sentit son désir se réveiller à cette idée. Il n’avait pratiquement pas fermé l’œil de la nuit à cause ça. Elle était si désirable que s’en était douloureux. Se retenir de la prendre dans ses bras, de l’embrasser à n’en plus pouvoir, de caresser son corps de déesse, lui demandait une volonté et une force colossale.
La veille, après s’être recouché sur le canapé, le sommeil n’était pas venu. Il s’était tourné et tourné encore sur ce maudit canapé. Déjà qu’il n’était pas confortable, le trouble que lui procurait Levy l’avait définitivement rendu insomniaque. Et lorsqu’il avait enfin réussi à s’endormir, il avait fallu qu’il rêve d’elle et de ce qu’il mourrait d’envie de lui faire.
Ils prirent leur petit déjeuner en silence, sur la terrasse et décidèrent ensuite, d’un commun accord, d’aller faire une randonnée. Cela leur permettrait peut-être d’évacuer leur frustration. Gajeel aurait bien voulu se battre. Rien de tel qu’une bonne bagarre pour se vider la tête et évacuer les tensions, mais malheureusement, il n’y avait aucun humain ou mage mal intentionné dans le coin.
L’effort de la marche leur permit de se vider un peu la tête et d’évacuer les tensions. Cependant, dès que Levy proposa de se baigner dans une cascade et qu’ils se dévêtirent pour se mettre en maillot de bain, le désir revint au galop et la tension sexuelle devint presque électrique. Levy décida de remédier à cela dès qu’ils seraient rentrés au bungalow.
La cadre était magique : la cascade, la transparence de l’eau et sa couleur bleue-verte, les reflets du soleil faisant scintiller l’eau, le vert des végétaux, la brise tiède qui soufflait en ce bel après-midi ensoleillé… Le tumulte de la cascade n’empêchait pas un certain apaisement. Ils étaient seuls et tout dans cet endroit transpirait le calme et la sérénité. Ils y restèrent deux heures, se baignant et lézardant au soleil. Levy aurait pu y passer encore plusieurs heures si Gajeel n’avait pas écourté leur baignade, se sentant sur le point de craquer. Il devait bouger au sinon il ne respecterait pas ses résolutions. Ils reprirent donc leur chemin et retournèrent au bungalow en fin d’après-midi.
Lorsqu’ils arrivèrent au bungalow, le soleil était entrain de se coucher. Ils prirent une douche chacun leur tour puis dînèrent comme la veille, sur la terrasse. Un silence pesant s’installa. Grâce à la marche ils avaient pu se concentrer sur autre chose que leur envie l’un de l’autre et discuter de tout et de rien. Mais, maintenant qu’ils étaient seuls, face à face, sans aucune distraction, ce n’était plus pareil. Gajeel fit semblant de se concentrer sur son assiette. Quand ils eurent finis, quelqu’un vint débarrasser la table et les laissa seuls.
- Je vais me coucher. Bonne nuit Gajeel.
- Euh… Bonne nuit Levy.
La jeune femme eut un pincement au cœur. Il ne l’appelait même plus crevette. Elle n’avait pas pensé qu’un jour ça lui manquerait. Pourquoi mettait-il cette distance entre eux ? Tout se passait pourtant bien au début.
Une fois dans sa chambre elle se déshabilla et enfila sa nuisette. Elle se glissa ensuite dans les draps de satin blanc. Elle se sentait seule et toute petite dans ce grand lit. Une légère brise entrait dans la pièce par la baie-vitrée ouverte, faisant voleter les rideaux blancs. On entendait le clapotis de l’eau. Elle jeta un coup d’œil dehors. La lune transparaissait derrière un voile de brume et un nombre incalculable d’étoile scintillaient dans un ciel d’un noir d’encre.
Ne trouvant pas le sommeil, elle poussa un soupir, se leva et se rendit dans le salon. Elle n’en pouvait plus de cette distance. Ça ne pouvait pas durer !
- Gajeel ? l’appela-t-elle en pénétrant dans le salon.
- Hum… Quoi ? s’enquit-il.
- Viens… Le lit est assez grand pour nous deux… Et puis tu t’es assez cassé le dos là-dessus la nuit dernière.
Il hésita mais ne résista pas longtemps. Poussant un soupir, il se leva.
- Ok, mais faudra pas te plaindre si… Enfin… Je ne répondrais plus de rien si…
- Peut-être que je ne veux pas que tu te retiennes, le coupa-t-elle.
- Que… Qu’est-ce que tu dis ?…
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- Fais-moi l’amour Gajeel…
- Que… Quoi ?
- Tu as très bien entendu. Aime-moi. Aime-moi avec ton corps. Fais de moi une femme.
A ces mots, le désir fit alors bouillir le sang du mage. Il le sentait couler avec force dans ses veines.
Levy s’approcha lentement de lui. Arrivée en face de l’élu de son cœur, elle lui sourit et il vit dans ce sourire et dans ses yeux tout l’amour qu’elle lui portait. Il lui sourit à son tour.
Fascinée par son visage, elle passa délicatement son indexe sur les clous qui l’ornaient, sur ses sourcils, son nez, son menton, puis elle suivit le même chemin avec ses lèvres. Elle posa ensuite ces dernières sur les siennes et l’embrassa tendrement. Tremblante d’excitation elle lui retira son haut. Elle frôla du bout de ses doigts ses abdominaux, puis ses pectoraux avant de poser une main sur son cœur, dont elle sentit les battements rapides et irréguliers sous sa main.
- J’ai envie de toi, lui murmura-t-elle avec conviction, lisant dans ses yeux la lutte qu’il menait contre son propre désir.
- Moi aussi, capitula-t-il, la voix rauque.
Il attrapa alors la main de la jeune femme, toujours posée sur son cœur, et déposa un baiser sur ses doigts avant de l’attirer vers le lit. Elle s’y allongea tout en retirant sa nuisette. Elle se retrouva donc en culotte noire. Le jeune homme la contempla quelques instants, gravant cette image dans sa tête. Elle était si belle ainsi offerte à lui. Il se positionna ensuite au dessus d’elle, entre ses jambes, avant de lui donner un fougueux baiser. La jeune femme sentit son cœur s’emballer et une douce chaleur se répandit en elle.
Il entreprit ensuite de caresser tout son corps, partant à sa découverte et déclenchant des frissons incontrôlables.
Lorsqu’il cessa de la caresser et la regarda à nouveau. La lueur de la lune se reflétant sur sa peau blanche lui donnait un éclat céleste. Oui, c’était sa déesse, rien qu’à lui.
- Tu es si belle, souffla-t-il, le cœur gonflé d’amour et les yeux brillants d’admiration.
- Tu n’es pas mal non plus, rigola-t-elle.
Levy fit alors remonter lentement ses mains sur son torse puis les passa dans son dos, lui prodiguant de tendres caresses à son tour. Elle les passa ensuite dans ses longs cheveux noirs et l’attira à elle. Ils échangèrent un autre baiser plein de passion, ne se séparant que lorsque le besoin d’air se fit sentir. Il semblait si maitre de lui en apparence mais à l’intérieur il était deux doigt de perdre la raison, de perdre tout contrôle.
Gajeel déposa ensuite toute une série de baiser sur son corps, partant de son front puis passant par son nez, son menton, sa joue, son lobe d’oreille qu’il mordilla, la faisant frémir. Il posa ensuite ses lèvres sur sa gorge et le petit soupir de plaisir qu’elle laissa échapper le bouleversa. Il poursuivit son chemin par sa clavicule, son épaule et la naissance de ses seins, sur lesquels il s’attarda. Il cajola ses deux dômes de chair, mordillant, léchant, suçant tour à tour leurs pointes durcies, la faisant gémir. Lorsqu’il s’occupait d’un, l’autre n’était pas en reste, se faisant malaxer, presser, tendrement par sa main. La jeune femme se sentait partir dans un monde où la raison n’existait plus, le plaisir prenant le pas sur celle-ci.
Ensuite, l’homme qui faisait battre son cœur, reprit lentement son exploration, embrassant son ventre. Arrivé au bas ventre de la jeune femme, il se redressa et entreprit de lui retirer le dernier rempart avant d’accéder à sa féminité. Doucement, avec délicatesse, il la dévêtit. Il voulait la savourer toute entière. Elle se souleva afin de l’aider à enlever son sous-vêtement. Quand se fut fait, il retira les derniers vêtements qu’il portait, c'est-à-dire son pantalon et son caleçon. Ne le quittant pas des yeux, Levy aperçut alors son membre tendu et son cœur rata un battement avant tambouriner à un rythme effréné dans sa poitrine. Plusieurs sentiments bataillèrent alors en elle. D’un côté elle ressentait de la fierté et de l’excitation en voyant l’effet qu’elle produisait sur lui. Elle était contente du pouvoir qu’elle avait sur lui. D’un autre côté, elle avait peur, peur de la douleur, peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas le satisfaire vu son inexpérience dans ce domaine.
Après l’avoir admiré, il revint au-dessus d’elle et l’embrassa jusqu’à ce que la tête lui tourne et qu’elle s’échappe de son étreinte afin de reprendre son souffle. Il caressa ensuite la peau blanche et crémeuse de ses cuisses, avant de passer deux doigts sur sa fente déjà humide. Il en fit alors pénétrer un en elle. Elle gémit sous cette intrusion et lui aussi. Elle était si chaude et si humide rien que pour lui. Il en fit pénétrer un deuxième, essayant de la préparer à l’accueillir en elle. Il voulait qu’elle souffre le moins possible.
- Prête ? lui demanda-t-il.
Elle hocha la tête.
- Ça fera mal au-début. Détend-toi.
Il lia alors ses mains aux siennes, entremêlant leurs doigts, puis riva son regard au sien avant de pénétrer doucement dans sa chair encore vierge pour ne faire plus qu’un avec elle. Enfin elle était sienne et il était sien. Il plongea lentement de plus en plus profondément en elle. Elle ferma les yeux sous la douleur, lorsqu’il brisa la preuve de sa pureté. Une larme perla sur joue, qu’il essuya tendrement avec son pousse. Il stoppa son mouvement, la laissant s’adapter à sa présence.
- Je suis désolé mon amour. Je t’aime, lui murmura-t-il, avant de l’embrasser, cherchant à la soulagée.
Elle lui sourit.
- Moi aussi. Je t’aime plus que tout, répondit-elle.
Elle crocheta ses lèvres aux siennes. Cette fois le baiser fut tendre, montrant tout l’amour qui les unissait.
- Vas s’y, lui dit-elle lorsque la douleur se fut un peu apaisée.
Il esquissa doucement un mouvement de retrait, puis revint un peu plus fort, un peu plus profondément, lui arrachant un cri où se mêlaient douleur et plaisir. Ses va et vient se firent plus pressants au fil des minutes, les laissant tous deux haletants et en sueur. Leurs corps et leurs esprits ne faisaient plus qu’un, s’unissant en harmonie. Ils étaient faits l’un pour l’autre. On aurait dit qu’ils avaient été crées pour être ensemble.
Ils s’embrassèrent à en perdre haleine. Gajeel mordilla ensuite son cou et laissa reposer sa tête contre son épaule, respirant l’odeur fleurie de ses cheveux. Levy ne ressentait désormais que du plaisir. Il lui soufflait des mots doux au creux de l’oreille, des je t’aime tels des promesses éternelles. Il susurrait son nom comme si sa vie en dépendait, comme si elle était tout pour lui, comme s’il ne voyait et ne sentait plus qu’elle ; ce qui était le cas. Et elle lui répondait avec ardeur.
Elle fit descendre ses mains le long de son dos et pressa ses fesses, lui intimant ainsi d’accélérer. Alors que le rythme des coups de reins de son amant augmentaient, la chaleur s’intensifia et elle sentit son orgasme se former dans son ventre. Ses parois se resserrèrent alors autour de lui, la faisant atteindre l’extase dans un cri. Il la rejoignit dans la jouissance une poussée plus tard, se répandant en elle dans un grognement. Vidé de toute énergie, il s’effondra sur elle, laissant reposer sa tête sur son sein. Il entendait les battements effrénés de son cœur. Elle l’entoura de ses bras et ses mains allèrent caresser ses cheveux. Lorsqu’il reprit ses esprits, il se retira et se décala un peu sur le côté pour ne pas l’écraser, mais il garda la tête posée sur sa poitrine et passa son bras gauche en travers de son ventre pour la serrer contre lui. Elle resserra aussi sa prise.
- Merci. C’était merveilleux, lui dit-elle.
- Merci à toi.
- Je t’aime, chuchota-t-elle, en déposant un baiser sur sa joue.
- Moi aussi je t’aime, murmura-t-il en fermant les yeux.
Il se blottit un peu plus contre elle, commençant à sombrer dans le sommeil.
- Merde ! s’exclama-t-il tout à coup en s’asseyant sur lit.
Elle sursauta, surprise par son exclamation soudaine, puis le regarda, perplexe.
- On… Je… Je n’ai pas mis de préservatif, expliqua-t-il. Je ne nous ais pas protégés. Je suis désolé…
- Ne t’inquiète pas, le coupa-t-elle. Je prendrais quelque chose.
- Ok.
______________ ♥ Fin lemon ♥ ______________________________
Soulagé, il se rallongea sur le dos et l’attira contre lui, un bras enserrant sa taille. Elle poussa un soupir de contentement en promenant ses doigts sur son torse. Il embrassa tendrement son front tout en lui caressant les cheveux. Au bout d’un moment ils finirent par s’endormir, heureux. Toutes les tensions s’étaient enfin envolées.
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Alors qu’en pensez-vous ? Vous avez aimé le lemon ? C’est mon deuxième et je dois dire que j’ai pas mal de doutes le concernant.
A + ! XO