L'amour sous toutes ses formes.

Chapitre 2 : Le tonnerre gronde

3591 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour il y a plus de 4 ans

Hey,

Comme annoncé précédemment dans le chapitre 1,

Voici la partie écrite par YumeByKira,

qui concerne Laxus et Fried.

N'hésitez pas à donner votre avis !

Bonne lecture !

Bye.



Chapitre 2 : Le tonnerre gronde


Laxus x Fried.


L’aube pointa le bout de son nez, et les chatoyant rayons du soleil venait me tirer de mon court sommeil. C’est donc déjà passablement agacé que j’ouvris les yeux à une heure aussi matinale. Même si je n’étais du genre à me lever tard dans la matinée, je n’aimais pas non plus me réveiller au levé du soleil. Et c’est l’esprit encore dans les vapes que mes yeux roulèrent sur la petite forme qui était blottie contre moi. Sa respiration était régulière, signe qu’il était encore sous l’emprise de Morphée, mais je ne parvenais pas à voir son délicat visage qui était encore camouflée sous ses longs cheveux émeraude. Pour le moment, j’avais décidé de ne pas bouger, car je voulais profiter encore de quelques instants de tranquillité. Pas que Freid soit particulièrement bruyant ou autre, contrairement à d’autres gars de la guilde comme Natsu ou encore Grey, mais c’est sa façon de me regarder. Il me fixe toujours avec des étoiles dans les yeux, et me regarde toujours comme si j’étais la personne la plus importante de sa vie. Il me considère comme un héros, un mentor… Et bien plus encore. Des titres et des éloges que je suis pourtant bien loin de mériter.


Agacé par des réflexions matinales bien trop profondes à mon goût, je décidais de me lever pour aller prendre une douche. Après la nuit mouvementée que nous venions de passer, j’avais le corps recouvert de sueur et autres fluides corporels en tout genre. Il était de temps de faire peau neuve. Et c’est donc sans la moindre précaution que je me redressais avant de regagner la salle de bain dont la porte donnait sur la chambre. Cela eut pour effet de faire grimacer le mage aux runes qui ne tarda pas à se réveiller à son tour. Mais cela m’était égal, et pour ma part, j’entrais dans la douche et je fis couler l’eau chaude sur mon corps. Et tandis que je profitais de cet instant pour me délasser un peu, j’entendis quelqu’un toquer timidement à ma porte :

  • Laxus ? Me demanda-t-il intimidé
  • Quoi ? Grognais-je.
  • Je peux vous rejoindre ? Me questionna-t-il avec la même timidité.

Ce qu’il pouvait m’agacer à me vouvoyer et à me poser des questions avec un air aussi niais sur le visage. Je ne sais pas si je lui inspire de la crainte ou une admiration sans borne, mais une chose est sûre, je n’aime pas qu’il me traite de la sorte. Certes, je suis plus fort physiquement et magiquement que lui, mais je ne suis en rien supérieur à lui.

  • Non, me contentais-je de répondre sans surenchérir.
  • Dommage, on aurait pu poursuivre notre nuit… S’exclama-t-il avec un air un peu plus entreprenant.
  • J’ai dit non.

Il n’insista pas. Il savait qu’il ne devait pas le faire de toute façon le résultat serait resté le même. De tout façon, Freid n’était pas trop pénible. Il n’était pas du genre à poser cent fois les mêmes questions en espérant obtenir une réponse différente. Au contraire, il était plutôt posé et modéré. Et pour le moment, cela me convient.


Je sortis de la cabine pour me poser devant le miroir. Mon regard se perdit dans le vide un instant. Je fixais le reflet de moi dont les couleurs étaient vivement atténuées par la buée de la douche. Mes yeux chocolat se perdirent sur mon visage qui semblait toujours dur. Je ne sais pas si c’était lié à l’immense cicatrice qui parcourait ma figure, ou si c’était à cause de mes sourcils froncés et en bataille. Dans tous les cas, je n’avais pas un visage particulièrement avenant. Après, j’ai conscience que je ne suis pas quelqu’un de laid, j’ai un charme qui fonctionne plutôt bien auprès des femmes lorsqu’elles aiment les mauvais garçons… Et visiblement, aussi, auprès de certains hommes. Du moins, auprès d’un en particulier. En parlant de lui, je ne l’entendais plus. Sans doute était-il reparti. Et c’est probablement mieux comme ça.

Je m’habillais rapidement en enfilant une chemise mauve et un pantalon en cuir noir. Et comme toujours, je posais mon large mentaux avec de la fourrure avant de regagner la pièce principale de mon appartement. Une douce odeur de bacon envahi les lieux, et lorsque j’arrivais dans la cuisine, Freid était là en train de me préparer un petit-déjeuner copieux. Du jus d’orange fraîchement pressé était déjà servi dans un verre, des viennoiseries trônaient sur la table, et mon assiette vide n’attendait que le bacon grillé et les œufs fraîchement préparé.

  • Encore là ? Lui demandais-je sans réellement prêter attention à ce genre d’attention.
  • Je vous ai préparé un bon petit-déjeuner ! S’exclama-t-il avec joie en ne prêtant absolument pas attention à ce que je venais de dire.
  • Merci, grommelais-je.

Il me servit et s’installa à mes côtés avec sa propre assiette. Je ne pus retenir un soupir en le voyant se poser ainsi à mes côtés, comme s’il était chez lui. Je ne sais pas depuis quand il est devenu aussi familier en ces murs. Mais, une chose est sûre, il commence de plus en plus à prendre ses aises ici. Et cela ne me plait guère. J’avais l’impression qu’il était en train de prendre trop de place dans mon espace vital et que nous étions en train de devenir un couple. Or, il n’en est pas question, je refuse d’être en couple avec qui que ce soit. Encore moins un homme. Et surtout pas Freid… Sincèrement, je pense qu’il mérite bien mieux qu’un individu comme moi.

Réfléchir à toutes ces inepties me coupa l’appétit. Et c’est en ayant à peine touché mon assiette que je me redressais avant de partir sans un mot sous les yeux surpris de mon ami.

  • Laxus ? Demanda-t-il tandis que la porte se refermait sur lui.


J’avais besoin de partir et de m’éloigner. Aussi, je décidais de rejoindre la guilde et contrairement à d’habitude c’était plutôt clame. Cela s’explique en grande partie parce que le groupe de Natsu n’est pas là. Je crois qu’ils sont partis pour une mission, et le moins que l’on puisse dire, c’est que cela nous fait des vacances. Je me dirigeais, comme à mon habitude, vers le bar qui était tenue par Lisanna.

  • Bonjour Laxus ! S’exclama-t-elle avec son air joyeux habituel.
  • Lisanna, dis-je en guise de salut. Ta sœur n’est pas là ?
  • Non, pas encore ! Elle ne devrait pas tarder… Tu voulais la voir ?
  • Pas spécialement.

Je n’avais pas spécialement envie de voir Mirajane, même si c’est probablement le membre de la guilde avec lequel je m’entends le mieux à l’exception de l’équipe des Rajin bien entendu. C’est une femme douce et gentille, même si elle cache une part sombre en elle notamment dû à ses take-over, qui prend soin de ses amis. Son seul défaut ? C’est qu’elle est probablement trop proche de Freid, et je la soupçonne d’être au courant de nos activités nocturnes. M’enfin, ça m’est égal. Je sais qu’elle n’ira pas le crier sur tous les toits.


Evergreen vient me rejoindre et s’installa à mes côtés. Comme toujours, son premier réflexe fut de me demander si sa tenue lui allait à ravir. Et comme toujours, pour ne pas la vexer, je répondis que oui. Personnellement, je trouve qu’elle s’habille toujours très bien, et cela m’étonne qu’elle n’ait jamais trouvé personne jusqu’à aujourd’hui. Elle est jolie, puissante et elle a du tempérament. Peut-être un peu trop à bien y réfléchir. C’est peut-être ce qui fait fuir les hommes. Puis notre conversation dévia sur des choses futiles jusqu’à ce que Freid arrive en compagnie de Bixslow. Comme nous étions tous réunis, je leur proposais de prendre une mission tous ensemble. Une initiative qu’ils acceptèrent avec joie.


Une fois celle-ci enregistrée auprès de Mira, nous partions en direction de la gare. Celle que nous avions sélectionnée était simple. Il s’agissait d’abattre un monstre qui rôde à proximité d’un village. La mission de rang S était, évidemment, bien payée et en plus nous pouvions profiter d’un séjour dans les sources d’eau chaude du village. A condition que celle-ci ne soit pas détruite durant l’altercation avec la créature bien entendu.

On grimpa dans le train et je restais silencieux pendant tout le trajet. Comme toujours, dès que je monte dans un véhicule, j’ai la tête qui tourne, et j’ai des nausées effroyables. Mais, contrairement à l’autre imbécile de dragon slayer, je suis capable de prendre sur moi-même sans Troia. Aussi, pendant une bonne demi-heure, je fermais les yeux et personne ne vient me déranger. Mon équipe étant au courant de cette faiblesse, ils ont la gentillesse de ne pas me déranger pendant ces moments plus que pénible. Aussi le voyage ne dura qu’une demi-heure, mais il me parut une éternité. Et c’est avec soulagement que je posais à nouveau un pied au sol. Ah ! La terre ferme, il n’y a que ça de vrai ! Et plus j’avançais, et plus je retrouvais mes sens, et cette horrible sensation qui m’étreignait jusque-là s’envolait.

  • Ça va Laxus ? Me demanda Freid.

Je ne lui répondis pas et je continuais de marcher droit devant. J’ai horreur quand il me traite comme un enfant, et malgré le fait que je lui ai fait remarquer maintes et maintes fois, il continue. Mais pour l’heure, je préférais l’ignorer que de déclencher une dispute. Ce n’était ni le lieu, ni le moment. Nous devions nous concentrer sur la mission. C’était tout ce qui importait. Et c’est d’ailleurs après un bref entretient avec le maire de la ville que nous nous rendions en forêt. Une fois à proximité de la tanière de la bête, et comme il s’agit d’un animal nocturne, nous profitions du reste de la journée pour élaborer une stratégie pendant que Freid place des runes afin de protéger le village des éventuels contre coup. Une fois cela fait, et avant le coucher du soleil, je m’avançais en premier vers la grotte et je lançais un puissant éclair à l’intérieur. La réaction ne se fit pas attendre, et un terrible hurlement vient briser l’atmosphère paisible qui régnait jusqu’à alors. Au bout de quelques secondes, un sorte d’énorme félin au pelage noir et aux yeux rouges sortit de sa tanière. De là où nous étions, nous ne pouvions que distinguer les immenses canines blanches qu’il nous montrait en guise d’avertissement. Une menace qui ne nous fit même pas tressaillir, et en guise de réponse, je décidais de lui lancer directement un hurlement du dragon de foudre. Mais, la bestiole, agile bondit par-dessus et atterrit derrière moi. Elle voulut me porter un coup dans le dos, mais je parviens à esquiver avant de lancer une violente riposte en duo avec Bixslow qui ordonna à ses marionnettes d’agir. Déjà affaibli, la créature ne fixa d’un air mauvais avant de pousser un hurlement si puissant que nous furent tous sonnés pendant quelques secondes. Un moment d’inattention que saisit la créature pour envoyer valser Evergreen et Bixslow. Quant à Freid, il se tenait à une distance respectable car son intervention dans ce cadre n’était pas utile. De plus, il avait déjà utilisé pas mal de magie pour créer les runes qui protège la cité. Pour ma part, je parviens de justesse à échapper à l’assaut brutal de la créature. Furieux que ce monstre ait réussi à blesser mes camardes, le ciel s’assombrit pour former une masse de nuage noir au-dessus du félin. Soudain, un énorme éclair déchira les cieux pour s’abattre sur le félin noir qui se laissa retomber sur le sol inanimé.

  • Félicitations Laxus ! S’exclama Freid.
  • Merci, souffla Evergreen en époussetant sa robe.
  • Ça c’est bien notre Laxus ! Approuva Bixslow.
  • On y va, dis-je sans plus de cérémonie que ça.

Nous récupérions un trophée sur la créature pour prouver la réussite de notre mission. Puis nous regagnions le village. Évidemment, lorsque nous arrivons, le soleil s’était déjà couché. Pourtant, il y avait encore foule dans les rues, et tout le monde semblait sur ses aguets. Et pour cause, la créature était censée dormir la journée et attaquer la nuit. Le maire nous avait confiés qu’elle venait les attaquer toutes les nuits et que cela faisait fuir tous les touristes. Ce qui était extrêmement néfaste pour la ville qui comptait beaucoup là-dessus pour vivre, car avec les sources, c’est leur principale source de revenu. Ce fut donc en héros que nous furent accueilli, et le maire hurla sur tous les toits que Fairy Tail était la meilleure guilde du monde et qu’il ne passerait que par nous désormais. Sincèrement, je n’avais pas l’impression de mériter toutes ces éloges. Après tout, ce gros chat n’avait été particulièrement difficile à vaincre. Mais s’il était heureux, et qu’il nous payait bien c’était le principal.


Après un repas bien garni offert par le maire dans le meilleur restaurant de la ville, on rejoignit les chambres qui nous avaient été réservées dans l’hôtel. Nous avions la possibilité de rejoindre les grands bains collectifs, mais le maire nous ayant réservés des petits chalets tout en bois avec des sources privatives, nous regagnions chacun notre propre dortoir. Je rentrais dans mon logement dont l’ambiance et la décoration était zen puisqu’il y avait beaucoup d’élément en bois, en bambou, et tous les tissus et draps étaient blanc. Je me rendis dans la chambre pour retirer mes vêtements que je jetais négligemment sur le lit. Une fois déshabillé, je rejoignais le jardin pour me glisser dans les eaux chaudes du bain. Je sentis tous mes muscles contractés se détendre pour la première fois de la journée. Je pouvais enfin me reposer pour la première fois depuis longtemps et je finis par fermer les yeux pour profiter de cet instant. Et tandis que le sommeil était en train de me gagner, j’entendis quelqu’un toquer contre un mur. Un peu désorienté, j’ouvris les yeux et je cherchais l’individu à l’origine de cette intrusion. Mon regard fini par se poser sur mon amant, dont les cheveux était relevé et attaché en chignon, et son corps frêle était recouvert d’un fin kimono noir et blanc.

  • Freid… Soufflais-je en le regardant de la tête au pied.
  • Laxus… ça vous dérange si je vous rejoins ? Demanda-t-il de sa petite voix timide.
  • Tu peux…

Souriant, il laissa tomber sensuellement par terre, dénudant d’abord ses épaules, puis son corps entier. Il marcha lentement avant de me rejoindre et se glisser contre mon corps. Freid se rapprocha de moi avant de venir plaquer ses lèvres contre les miens tout en saisissant mon intimité pour commencer à jouer avec. La réaction ne se fit pas attendre, et je répondis à son baiser avec toute la fougue qui m’animait. Les caresses se succédaient pour faire monter le désir et bientôt je fus chaud bouillant. Et je pouvais sentir qu’il en était de même pour mon partenaire, alors je le soulevais d’un geste afin de pouvoir entrer en lui. Il enroula ses jambes autour de ma taille tandis que je pénétrais en lui. Il poussa un petit soupire de plaisir et je pouvais sentir son corps se contracter. Je débutais les vas-et-viens en douceur, pour lui laisser le temps de s’habituer à ma présence, puis j’accélérais le mouvement. Freid glissa ses mains dans mon large dos avant de s’agripper à moi. Il lâchait de temps à autre des gémissements, mais tentait du mieux qu’il le pouvait de les retenir. Je n’ai jamais apprécié les gens qui en faisaient trop pendant les ébats, et je préfère rester discret. Surtout avec un homme.

Plus je continuais mes assauts, et plus je pouvais sentir le désir s’emparer de moi. Jusqu’à atteindre le paroxysme du plaisir de façon parfaitement synchronisée avec mon partenaire. A ce moment-là, j’ai pu sentir ses mains se crisper dans mon dos avant de relâcher leur prise dans un râle de plaisir. Je me retirais de mon partenaire avant de le déposer en douceur dans le bain. Puis, je m’installais à ses côtés, satisfait.


Confortablement installé dans les bains, et profitant de l’eau chaude qui détendait nos muscles qui avaient bien travaillé, nous profitions de ce moment de quiétude. Cependant, Freid brisa le silence qui s’était installé pour déclarer :

  • Laxus… Il a quelque chose que je voulais vous dire depuis longtemps…

Mon corps se crispa à ces mots et mon estomac se serra. Je pouvais deviner sans peine ce qu’il allait me dire et, à vrai dire, cela m’effrayait… Je n’étais pas prêt à changer la relation que nous avions… Ce n’est pas ce qui était convenu…

  • Je vous aime… Dit-il en cachant son visage dans ses longs cheveux qui étaient à présent défaits.

Que pouvais-je lui répondre ? Nous n’étions pas faits pour être ensemble. Freid est quelqu’un de gentil et de sensible, il mérite quelqu’un qui prenne soin de lui. Je sais que je serais incapable de le rendre heureux. Je suis bien trop égoïste, et… après ce que j’ai fait je ne pense pas avoir le droit de vivre une idylle avec quelqu’un. Encore moins avec un homme… Je ne pourrais jamais le rendre heureux… Quand tout ceci à commencer, j’avais été clair avec lui sur le type de relation que nous étions en train d’entreprendre… Jamais…

  • Qu’est-ce que tu racontes ? Déclarais-je avec agressivité.
  • Je voudrais que notre relation évolue… Dit-il sans se démonter.
  • Ce n’est pas ce qu’on s’était dit, répondis-je avec fermeté.
  • Je sais bien, avoua-t-il. Mais depuis… Notre relation elle a évoluée ! Nous nous voyons régulièrement… Et… qu’on ne va pas voire ailleurs… C’est la définition d’un couple, non ?

Il n’avait pas tort… Cela fait des mois que je n’ai pas eu d’autres conquêtes que lui, que ce soit homme ou femme, et que nous passions de plus en plus de temps ensemble. Des journées comme celles-ci où on se levait ensemble, et où nous finissions par nous rendormir ensemble, après un moment torride, n’étaient pas rares. C’était, effectivement, la définition d’un couple… Mais… Je ne peux pas… Il faut mettre un terme à tout ça avant que cela ne devienne trop douloureux pour lui…

  • Ah ! Parce que tu crois que je ne vois que toi ? Me moquais-je.
  • Laxus…
  • Aller, dégage d’ici, lui ordonnais-je.
  • On pourrait quand même tenter quelque chose, non ? Cela ne vous coûterais rien…
  • Tu sais ce qu’on va tenter ? Lui demandais-je avec ironie. Que tu dégages d’ici et qu’on arrête ce petit jeu à la con si ça t’convient pas !
  • Mais ce n’est pas ce que je voulais ! Se plaignit le mage aux runes.
  • Dégage, c’est fini.

Je me redressais et j’attrapais une serviette que je glissais autour de ma taille avant de retourner dans ma chambre. Je refermais la porte pour que mon amant reparte d’où il vient. De là où j’étais, je pouvais l’entendre pleurer… Et même si cela me fend le cœur… Je me dis qu’il vaut mieux qu’il pleure un peu maintenant que de partager une vie de souffrance à mes côtés…



A suivre ...

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