L'Histoire de Sirana King

Chapitre 3 : Le changement

3447 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 05/09/2014 21:11

J'étais dans mon manoir, assise sur un fauteuil rouge vif, vêtue de mon pyjama: Un Tee-Shirt à manches déchirrés (c'est fait exprès) gris et noir qui arrive jusqu'au milieu du ventre, un short de sport gris, mes cheveux attachés en queue de cheval, portant des tong noirs aux pieds. Je prenais le thé seule, ma mère était parti travailler dans le village (elle s'occupait des ventes des terres). Franck et Marc (qui avaient pris plusieurs rides depuis tout ce temps) me servirent tranquillement mes biscuits au blè préférés. J'étais dans la grande salle (le salon). J'eus l'idée d'aller me balader dans la forêt. Je montai dans ma chambre et ferma la porte derrière moi. J'ouvris ma grande garde-robe, je décidai de prendre une robe sans manches blanche de neige, légère, flamboyante, qui m'arrive jusqu'aux chevilles. Alors, je me regardai dans le miroir et décidai de rester naturel, cette fois. Même si on me disait que j'étais belle même sans maquillage, J'ADORAIS le maquillage. Donc, j'ouvris la grande fenêtre droite de ma chambre et sautait par la fenêtre. Je n'étais pas agile, et ma chambre se trouvait au 7ème étage. Donc, je souriais. J'adorais le danger. Vu que je contrôlais les éléments, je crée une brise de vent fraîche qui m'emportait doucement dans le ciel. Je fermais les yeux en souriant, ma robe longue taille empire blanche et légère voler un peu dans la brise de vent. Puis, une fois être à 2m du sol, j'annulais la brise de vent et tombait. Je me roulais sur les feuilles en souriant et en riant. J'entendais de loin Franck et Marc crier mon nom, mais je faisant comme si je n'entendais rien. Je roulais dans les feuilles, porter par la vitesse du vent et descendit la pente en roulant sur moi même. Je n'arrêtais pas de rire. Comme une petite fille. Puis, je me relevais, ma robe n'était pas tachée. Je vis Marc et Franck venirent dans ma direction. Je courus en riant, je les voyais essoufflés, exténuer... En sueur ! Dégoutant. Je continuais de rire en riant et me cachait derrière un arbre en leur donnant quelques fois des indices de là où je me trouvais, en jetant des cailloux, en bougeant, en leur frappant la tête.... C'était assez comique. Puis, une fois que je fus assez éloigné, je m'installais au bord du lac des King (un lac au nom de mon grand père). Je sentis une présence. Je me retournais en fermant les yeux et en souriant.

-Vous ne m'attraperez jamais Marc et Franck !!!!!! :P

J'ouvris mes yeux bleu océan. Malheureusement, ce n'était pas mes serviteurs. La silhouette qui me suivait depuis mon enfance. Je courus de toutes mes forces, m'écorchaient à cause des branches, me tordais les chevilles à cause des longues racines... Mais malgrès mes blessures, je résistais. La silhouette ne voulait pas courir, elle savait qu'elle me rattraperais. Je ne le savais pas, mais elle attendait que je ne me doute pas qu'elle est dans les parages pour me sauter dessus. Vu qu'à cette époque, j'étais naïve, je m'arrêtais. J'étais essoufflée. Je regardais autour de moi, rien. Mais je n'avais pas pensé à regarder au dessus de ma tête. Je relevais doucement ma tête. Trop Tard. Tout ce que je puis distinguer, c'est sa silhouette sautant de l'arbre, me satant dessus et me mordre la gorge.

Quand je fus réveiller, j'étais au même endroit où la créature plus vieille que moi m'avait laissé. Un miroir était placé en face de moi. Je me relevais doucement, puis, dans le miroir, je distinguais alors une silhouette magnifique, une déesse. Les cheveux blonds ors flamboyants légèrement ondulés et resplendissants, des yeux rouges sang si profonds que l'on avait envit d'y plonger, la pupille d'un noir d'encre, la peau blanche plus que la neige, aucune imperfection sur le visage, sans bouton. La silhouette dans le miroir faisait les même gestes que moi. Elle portait ma robe blanche de neige, légère et arrivant jusqu'au chevilles. Sans tâches. Parfaite. Au bout d'un moment, je découvris que cette silhouette de déesse, c'était moi. Cette perfection, était moi. Quel choque ! Je souriais doucement. Mon sourire s'élargis encore plus. Quand soudain, je découvris que ma groge me brûlait intérieurement. Une faim... Une soif. Je venais de comprendre ce que j'étais devenu. Mon sourire s'agrandit. Je me vis de nouveau dans le miroir... Une déesse.. Il n'y avait pas de mot !! J'étais.... epoustoufflante. J'étais gracieuse, élancée, majestueuse... 

Marc et Franck s'approchèrent de moi. Je réussis à les sentir, même si j'étais de dos. Je souris avec malices en dévoilant mes canines blanches et tranchantes de vampires. J'attendis.

-Mademoiselle ! Enfin nous vous trouvons ! dis Marc, éssoufflée.

Je me retournais lentement vers eux, mon sourire diabolique toujours aux lèvres. Ils me fixèrent, puis, devinrent pâles comme la mort. Je vis dans leur yeux un mélange de peur, inquiètude et pressentimant de mort. Ma gorge s'enflamma encore plus de l'intérieur. Je savais, que j'avai soif. Soudain, une brise de vent fraîche traversa toute la forêt. Je fermais les yeux et sentait l'odeur appétissante, qui me donner envie de sauter... Vous avez devnié, n'est-ce-pas ? Cette odeur, était l'odeur délicieuse du sang humain. Une aura rouge m'entoura entièrement, je m'élevais dans le ciel et me transformais. Ma robe blanche fut transformée en une robe rouge sang, déchirée arrivant jusqu'aux chevilles, sans manches. Des mèches de mes cheveux cachaient mon visage. Je n'avais pas de chaussures, et marchaient comme un félin, prête à bondir à tout instant. Un silence de mort s'installa. Marc et Franck palîrent encore plus, et, avant qu'ils ne puissent dire un mot, je bondis. Mon instinct prit le dessus sur ma confiance. J'étais aussi rapide que la lumière, que tout. Mon agilité était telle, que même les mouvements les plus brusques, étaient agiles et gracieux. Je pris le cou de Marc dans mes mains, et je plentai alors mes canines de vampires dans son cou, Une fois avoir fini, je retirais mes canines et fit la même chose pour Franck. Ils moururent en moins de 5 minutes. Je me relevais alors aussi gracieusement que le ferait n'importe quel être, et essuyait le sang de ma bouche. Je vis les corps de Marc et Franck se désintégrer. C'est fini. Je savais ce que j'étais devenu. Quel serait mon avenir. Malheureusement, j'étais loin de me douter toutes les aventures et périples que j'allais vivre tout au long de mes années d'immortalité.

Soudain, des traces dorés apparurent juste devant moi, en continuant leur chemin dans le petit bois. Les pieds nus, je suivais les traces dorés. Les racines craquaient sous mes pieds, et je constatais, avec étonnement, que mes pieds n'étaient pas sales, et n'avait pas d'égratinures ou de rougeurs. "Invinsible" pensai-je. A cette idée, mon sourire s'élargit. Les traces scintillait encore plus, comme si elles voulaient me détacher de mes rêveries, et me forcer à les suivre. Ce que je fit sans hésiter. Les crépitements des feu de camps venant de 55kilomètres me parvenaient. Je pouvais entendre leurs discussions. Je me retournais et ma vision zooma sur près de 1000kilomètres. Je réussis à distinguer l'égypte, les pyramides. Mon instinct me dicta de faire un bref geste avec ma main, puis, soudain, la neige de l'Himalaya s'écroula en avalanche. Je reposais alors mon regard sur les traces et continuais à les suivre. Au bout de 3h de marches, je débouchais à une falaise. Sans fond. Une voix résonna alors dans ma tête... Une voix d'enfant... Elle ne m'était pas familière pourtant. Elle me dit de sa voix mélodieuse:

-Fais le vide dans ton esprit, princesse. Regarde au plus profond de toi même, tu trouveras la clef pour passer la porte ds 101 galaxies. Franchis là. Trouve le moyen, à tout pris. Ils t'attendent... Ils ont besoins de toi... Viens nous aidé, ô princesse Sirana King !

Je sentis une énergie en moi. Un frisson parcoura mon corps, des racines des cheveux jusqu'au bout de mes ongles des doigts de pieds. Imaginez, un mélange de force, de puissance, de froid, de glace et de vie, tout ça mélangé dans un seul sentiment. Une énergie. Je sus désormais comment passer le portail imaginare. Je fermais les yeux, écartais un tout petit peu les jambes, me mit face au soleil qui poudroyais, puis, les paroles sortirent toutes seules de ma bouche:i 

-Ô portail des Galaxies, Des Mondes ! Je suis l'Incarnation de Spectra, la déesse de l'univers ! Moi, La Clef du passage ! Je te demande de t'ouvrir ! Au nom des 80 Guerriers envoyés par la déesse pour te protéger, mort il y a 100 ans ! Je viens en paix ! Que les Portes de L'Univers s'ouvrent ! Moi, Princesse des Galaxies réunit, Je te demande, avec la Permission de la déesse, De Me Laisser passer ! Suivre mon Destin ! Ô Porte des Galaxies, OUVRE TOI ! dis-je de ma voix forte et sonnant comme une mélodie rapide et dure et intense. Aussitôt, je vis des étoiles déscendrent du ciel pour former un grand cercle lumineux, juste devant moi. Il était sans fond, sans fin. Magnifique, chamarré, brillant, avec une aura bleu univers. Trois gardes en étoiles apparurent devant le vortex. Ils me prirent par le bras et me jettèrent dans le vortex. Avant de tomber, je me vengeais. Je pris une dague en or ornée de diamant qui sortais de je-ne-sais-où et leur trancha la gorge en étoile. Ils se désintégrèrent. Je tombais dans le vortex. J'atterris soudain dans un sofa bleu océan, confortable. Je rebondis plusieurs fois dessus, avant de ralentir et je pus enfin distinguer le lieu où j'étais. J'étais dans une grande salle, tout en cristal. De toutes les couleurs. Les cabinets (les meubles) étaient en bois blancs, les tables en bois marron de noisetier, les sofas étaient d'un tel style qu'on pouvait y dormir sans aucun encombre. Le plafond et le sol étaient en cristal. A travers le plancher, nous pouvions voir la mer d'un rouge sang magnifique. Du sang. Une mer de sang. Je souris. Une fois avoir scruter la salle, je réussis à voir 300 centaine de personne, les yeux semblables aux miens et avec une beauté inhumaine me sourire, dévoilant leurs canines tranchantes et scintillantes de vampires. 

-Bienvenue dans le Royaume des Vampires, Reine Spectra, dit un homme d'environ la vingtaine, les yeux rouges sangs et les cheveux bruns lisses coupés courts, la peau pâle, je suis Démétri Noverlian. Votre conseiller.

-Euh... D'accord, j'en suis forte aise, mais malheureusement mon brave gentilhomme, je ne vois pas de quoi vous parlez.

Il m'expliqua tout. J'étais, apparemment, la descendante du roi et de la reine du Royaume Vampire. Une Prophétie disait qu'un jour viendra, une belle blonde aux yeux bleu océan se fera mordre par le roi, qui la reconnaîtra aussitôt. Il lui injectera le sang royal. Démétri me fit visiter le château. Plus on changeait de pièces, plus elles étaient resplendissante. Je fus étonnée, mais pas émerveillée. Tout ceci m'importait peu. Je suivis Démétri à la trace, il remarqua que je ne reportais pas mon intension sur la splendeur du château, mais plutôt sur le sol. La mer de sang qui se reflétait sur le cristal du sol. Il me sourit avant que l'on arrive dans une grande salle, remplit de plusieurs milliers d'étagères garnies de gros grimoire et de parchemins. Je souris. J'adorais lire. Démétri se retourna vers moi en me fixant:

-Vous devez lire ces livres. Ils parlent de toutes les légendes de tous les peuples de l'univers et au delà. 

J'hôche la tête en courant vers la première rangée. Que de légendes fantastiques ! Les Kigno, Les Dyphion, Les Sylphors, Les Huntikes, Les Erixes, Les Chasseurs d'Ombres, les Merliniens, les Murmureurs, les Alter, Les Tueurs de Cadavres, Les Guerriers Des Anciens Mondes, Les Chevaliers de La Lune, Les Demi Dieux de la Planète Z.P, les Vampires, Les Elfes, Les Mages Noires, Les Sorciers, Les Chasseurs d'Esprit, Les Guerriers des enfers d'Ibis, Les Combattants de L'Univers, Les Elementeurs, Les Doubles-Faces, Les KiriLoPi, Les Anges, Les Gardiens des Etoiles, ... Tous ceci, j'eus le temps de les apprendre en 10 ans. J'avais toujours l'aspect d'une jeune fille de 17 à 18 ans. 

Je rentrais de ma balade, vêtue d'une longue robe verte et argent, ainsi que des pantouffles de verres à talons. J'entre dans le château. Puis, je trouve Démétri, affoler ainsi qu'avec les autres gardes. Je fronce les sourcils et remarque en regardant la fenêtre que des flèches de feu s'abattent sur le monde des Vampires. Je me retourne vers Démétri, dans tous mes états et questionna:

-Que ce passe-t-il Démétri ?!

-Princesse Sirana ! Le roi et la reine sont morts, tués par les Kigno ! (Des Kigno: Personnages avec troi bras velus, des yeux gris , la peau noir et des antennes sur la têtes, contrôlant l'esprit des personnes faibles, point faible: Les Elements.) dis Démétri en faisant les 100 pas.

J'hôchais la tête et courut vers ma garde-robe encore plus grande que celle de mon ancien manoir. Je cherche alors des vêtements de guerres, et soudain, une tenue magnifique arrive vers moi, entourée d'une aura verte. Une veste en cuire noir, un débardeur noir, un legging en cuire noir, une ceinture argenté avec plusieurs portes-armes et des chaussures à talons compensés noirs de 8cm. Je la pris et l'enfilais. Je me vis dans le miroir, l'air aussi sérieux que la statut de Kineffli (grand elfe gardien du portail des eaux). Mes yeux devinrent noirs d'encres, je lachais mes cheveux et ouvris une armoire. Il y avait plusieurs armes déposés soigneusement sur des étagères d'or. J'en choisis quelques-unes. Je pris une épée fantôme (Epée Fantôme: Tranche tout comme si c'était du beurre, connu pour sa lame bleutée. On dit que les âmes des braves 80 Guerriers de Spectra, morts pour protéger la galaxie seraient dans ses lâmes pour montrer leurs courages et aider les guerriers qui prenaient ces lames) qui mesuraient 1m, une dague fantôme, des injecteurs acidus (Injecteurs Acidus: Flacon contenant de la brume grise claire permettant de brouiller la vue de ceux qui la respirait) que je plaçais dans les attaches-injecteurs. Je mis la dague et l'épée dans ma ceinture, je les attachais solidement et courut vers la cour du château. Je fus arrivée en moins d'une fraction de seconde.  Aussitôt, tous les regards se posèrent sur moi, les petits enfants en pleurent, me regardaient avec espoir et me serrèrent dans leur bras. Je me baissais pour être à leur hauteur et les rassurais. Les parents me regardaient d'un air suppliant, désespérés. J'hôchais la tête, comme si je lisais dans leurs pensées. En effet, j'avais ce don. Les enfants continuèrent de me serrer dans leurs bras, j'ordonnais alors à Démétri de rentrer tout le peuple du Royaume des Vampires dans le château (il était assez grand pour retenir 8milliards de personnes). Ce qu'il fit sans discuter. Je me relevais gracieusement et majestueusement, le regard froid et dure envers les Kigno. Ils rirent en coeur:

-Comment une FEMME pourrait battre une armée d'Hommes de 500 personnes ? s'exclama l'un en se pliant de rire avec ses congénères.

-Sachez, dis-je en continuant de les fixer de mes yeux noirs d'encre, mes braves gens, que la force des femmes n'a pas de limites. Je suis l'incarnation de Spectra, La Reine des Vampires et aussi, La Protectrice de mon peuple, et sachez que JAMAIS, au grand JAMAIS je n'abandonnerais ma patrie ! Alors, apprêtez vous à recevoir la colère de Sirana Itrissa Trissa Cordia King ! 

Des flammes se reflétèrent dans mes yeux noirs, je sentis un frisson parcourir le corps de chaque Kigno présents. Je déguainais alors mon épée fantôme et en trente secondes, je détruis tous les Kigno. Je vis leur sang gris salirent mes chaussures, je pris la tête du roi des Kigno, le roi Kabe, et me retournais vers mon peuple qui avait tout observer depuis les balcons du château. Tous avaient les yeux écarquillés, ils étaient en total admiration devant moi. Je brandis ma main qui tenait la tête du roi Kabe devant le peuple en criant:

-TOUT CEUX QUI OSENT S'APPROCHER DE CE ROYAUME, RECEVRONT LE MEME SORT QUE CETTE ARMEE ! N'AYEZ PLUS AUCUNES PEURS ! JE VOUS PROTEGERAIS, MEME SI IL M'EN COUTE LA VIE ! JAMAIS JE N'ABANDONNERAIS MON PEUPLE ! QUE LES CANINES TRANCHES LES TETES DES ENNEMIS !

Après ces mots, ils crièrent tous de joie et applaudirent. Je souris avec malice. Je sentis une cicatrice se former sur mon front. Ma première cicatrice de guerre. C'est ici que commence ma vraie histoire. Les vrais exploits. LA PROPHETIE.

 

 

 

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