Dragon Ball The Demon's Legacy

Chapitre 8 : Les Pillards de Fer.

1535 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour il y a 14 jours

Note de l’auteur : Notre procédé d’écriture sortant de l’ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d’éviter toute confusion dans la lecture. 

Pour rappel : 

Paragraphes en italique : Le narrateur est l’un des personnages.

Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S’applique aussi dans les dialogues. 

Dans les dialogues : 

Phrase entre des astérisque : exemple * J’ai l’impression qu’on m’observe * : Le personnage réfléchit ou pense. 

Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé. 

Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Serviteur (téléphone) : Donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, le Serviteur parle au téléphone. 

Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons dès à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.  

Leakee/Skymailleur. 

Dragon Ball The Demon's Legacy.

Chapitre 8 : Les Pillards De Fer.


Janvier 753 – Temple enfoui du Désert des Mille Morts 

Lute, les muscles encore tendus par l’effort, se hissa hors du gouffre grâce à ses bras extensibles et se laissa retomber sur le sable brûlant, reprenant son souffle. 

À peine eut-il levé les yeux qu’il se figea. 

Devant lui, deux silhouettes imposantes l’attendaient. Drapés dans de longues tuniques beiges et brunes, leurs visages étaient à demi-couverts par des foulards usés, ne laissant voir que leurs yeux perçants. Ils tenaient chacun une lance rudimentaire, mais robuste, forgée pour survivre aux conditions hostiles du désert. 

L’un des bandits afficha un sourire carnassier en abaissant légèrement son arme vers Lute. 

Bandit 1 : Et regarde ce qu’on a là ! 

Son complice, plus méfiant, plissa les yeux en détaillant Lute des pieds à la tête. 

Bandit 2 : Il ne ressemble pas à un explorateur… C’est… c’est un gamin de douze ans… Tu as vu sa peau ? Il est bizarre, non ? Tu en penses quoi ? 

Lute leva doucement les mains, sentant déjà que la situation n’allait pas en s’arrangeant. 

Lute : Ah… euh… bonjour messieurs… 

Loin d’être impressionnés par sa tentative de paraître amical, les deux pillards échangèrent un regard entendu. 

Bandit 1 : Le chef en tirera sûrement quelque chose… Allez gamin, rentre dans cette cage sans faire d’histoire ! 

Lute tourna légèrement la tête et plissa les yeux. Derrière eux, une dizaine d’autres silhouettes se découpaient dans le paysage désertique. Ils étaient bien plus nombreux qu’il ne l’avait d’abord cru. Tous portaient des vêtements adaptés à l’enfer du désert et étaient armés de lances, d’épées ou d’arcs rudimentaires. 

Lute : « Soupira. » Ils sont bien armés… et nombreux, en réalité. « Murmura-t-il pour lui-même. » 

Relevant la tête, il afficha un sourire innocent et haussa les épaules. 

Lute : Très bien, je me rends ! « Il leva ses bras en l’air. » 

Les pillards le saisirent fermement et le menèrent vers une immense créature quadrupède à la peau cuirassée, tirant une cage en bois et en métal bringuebalante. Un animal massif, proche d’un croisement entre un rhinocéros et un bœuf géant, respirait lourdement sous le poids de la charge. 

La cage était déjà occupée par plusieurs prisonniers, tous l’air épuisé et vêtus de haillons. Un des bandits ouvrit la porte et jeta Lute à l’intérieur sans ménagement avant de refermer la serrure avec un large cadenas de fer. 

Bandit 3 : Nous sommes les Pillards de Fer. Maintenant, ferme-la durant le trajet vers notre base. 

Sans un mot de plus, il tourna les talons et grimpa à l’arrière de la créature de trait. 

Lute se redressa et jeta un regard circulaire aux autres prisonniers. Certains avaient des bandages sales autour des bras ou du torse, d’autres affichaient des expressions résignées. 

Un vieil homme au regard sévère le toisa, avant de murmurer. 

Vieil homme : Un gosse… Voilà que ces bandits capturent même les enfants, maintenant. 

Lute : « Se gratta l’arrière de la tête. » Euh, je suis pas vraiment un enfant… Enfin, pas comme vous l’entendez. 

Une femme à la peau sombre et aux cheveux en bataille le scruta avec intérêt. 

Femme : D’où tu viens ? T’es pas un marchand, ni un voyageur… alors c’est quoi ton histoire ? 

Lute hésita. Il ne savait pas exactement comment expliquer son cas sans soulever trop de questions. 

Lute : Disons que je faisais du tourisme dans le coin. 

Vieil homme : « Renifla, peu convaincu. » Ce temple est un piège mortel. Aucun touriste sain d’esprit ne mettrait les pieds ici. 

Lute haussa les épaules avec un sourire espiègle. 

Le convoi avança lentement dans les dunes brûlantes du désert. Le soleil était impitoyable, et la chaleur rendait l’air presque irrespirable. 

Lute s’appuya contre les barreaux, observant les pillards autour du convoi. Il compta rapidement une quinzaine d’individus. Certains marchaient aux côtés de la bête, d’autres montaient de petits lézards rapides utilisés comme montures. 

Il se concentra sur la serrure de la cage. Simple, mais robuste.  

Femme : Ne pense même pas à t’évader maintenant. 

Lute : Hein ? Quoi ? 

Femme : « Le regarda droit dans les yeux. » Je t’ai vu analyser la serrure. Mauvaise idée. Ils sont bien trop nombreux. Tu veux te faire transpercer avant même d’avoir mis un pied hors de cette cage ? 

Lute : « Soupira. » Alors quoi ? On attend gentiment d’être vendus comme esclaves ? J’en fait qu’une bouchée de ces pillards !  

Le vieil homme cracha sur le sol sablonneux. 

Vieil homme : Un gamin comme toi en faire une bouchée… Alors pourquoi te laisser faire alors ? 

Lute : Je ne sais pas vraiment… je veux tester ma force. 

Femme : Hahaha, tu es un drôle de petit bonhomme toi ! 

Pillard de Fer 1 : Fermé la ! « Tape sa lance sur les barreaux. »  

Camp des pillards de fer. Désert des Mille Morts. 

Après des heures de marche, le convoi atteignit un camp de tentes éparpillées entre les dunes. Les prisonniers furent traînés hors de la cage et emmenés devant un homme imposant assis sur un trône de bois sculpté. 

C’était Khal Sorrak, le chef des Pillards de Fer. Un colosse à la barbe noire et aux yeux perçants. 

Pillards de Fer 1 : Voilà les prisonniers pour vous chef. 

Sorrak balaya du regard les captifs… jusqu’à ce que son regard se pose sur Lute. 

Khal Sorrak : Hum… Toi, tu es bien loin de chez toi, gamin. C’est quoi cette tenue… Elle me rappel quelque chose… 

Un pillard s’approcha et lui tendit un sac en toile 

Pillard de fer 3 : Il avait seulement ça sur lui.  

Khal Sorrak : « Ouvre le sac, son expression changea lorsqu’il en sortit un objet sphérique scintillant. » Nom d’un… 

Il leva l’objet à hauteur de ses yeux. Une boule de cristal à trois étoiles. 

Khal Sorrak : Je ne pensais pas tomber sur un trésor pareil aujourd’hui… et encore moins entre les mains d’un gosse. 

Lute : Elle est à moi. Et je vais la récupérer.  

Les rires éclatèrent parmi les pillards. 

Pillard de Fer 1 : Il est sérieux ce gamin ?!  

Pillard de Fer 2 : J’aime bien son audace, mais il ne tiendra pas une seconde face au chef. 

Khal, amusé, se leva de son trône. Sa stature massive imposait le respect et la crainte. Il s’approcha de Lute, dominant de toute sa hauteur. 

Khal Sorrak : Tu proposes un duel ? Très bien. Mais chez nous, un duel, c’est un combat à mort. Tu es toujours partant ?  

Lute : Je suis partant. Mais je te préviens… tu risques d’être surpris.  

Khal Sorrak éclata de rire et fit signe à ses hommes de couper les liens de Lute. 

Khal Sorrak : Très bien, que l’arène soit préparée ! Ce gamin va nous divertir avant le dîner !  

Les pillards s’agitèrent immédiatement. L’espace central fut déblayé, des torches furent allumées, et les spectateurs se rassemblèrent en cercle autour de la future zone de combat. 

Lute roula des épaules, étira ses jambes. Il n’avait encore jamais affronté un adversaire comme Khal Sorrak, mise à part son maître Tao Pai Pai. 

Fin du chapitre 8 : Les Pillards De Fer. 

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