[Giyu x Shinobu] FANFIC : L'amour n'a pas de frontières.

Chapitre 2 : Chapitre 1

1538 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 03/08/2020 19:37

Shinobu n'en pouvais plus. Elle n'aimer pas particulièrement les cours de Japonais, mais elle les détester lorsqu'ils avais un examen dessus. Cela faisait déjà une demi heure qu'elle était pencher sur sa copie lorsqu'elle entendit un bruit de siffler. Curieuse, elle jeta un œil à l'extérieure en étant juste à coter de la vitre. Elle aperçut alors le jeune professeur de sport, Mr Giyu Tomioka. Il n'avais rien de spécial appart qu'il était maître dans plusieurs arts martiaux, qu'il était à peine plus âgée qu'eux et qu'il était beau comme un dieu mais surtout qu'il était idolâtrée de toute les filles en chaleur de l'école. Ce qui avais dont d'énerver la lycéenne qui ne comprenait pas ce ressentie. Elle détester ce genre de mec, qui avais tout pour eux et qui était froid comme la glace mais qui arriver à être aimer de tous sans lever le petit doigt. Non franchement il n'avais rien d'extraordinaire alors pourquoi son cœur se serrait-il à la vue de toute ses filles lui tournent autour ? La jeune femme soupira d'énervement avant d'être rappeler à l'ordre par son professeur. 


_Mademoiselle Kocho, veuillez vous concentrer sur votre copie et non sur ce qui se passe à l'extérieure je vous prie. 


La jeune femme rougit de honte en comprenant qu'elle s'était fait prendre dans sa contemplation. Elle baissa la tête, rouge.


_Ou-Oui Mr Sabito-san.. 


Ses camarades rigolèrent légèrement, habituer à ce que leur camarade soit dans la lune. L'heure se finit et chacun rendirent leurs copies avant de sortir de la salle. La petite Shinobu fut l'une des dernières à sortir, alors que son amie de toujours Makomo la rejoignit. 


_Encore prise à rêvasser après notre cher Tomioka-san ? Sourit la jeune femme.

_N-N'importe quoi ! Rougit-elle. C'est juste qu'il était entrain de donner un cours à une classe cent pour cent féminine. Bouda Shinobu en gonflent les joues.

_Donc tu l'observer pour ne pas qu'il fassent de bêtises ne ? Sourit Makomo en s'éloignant de son amie avant qu'elle ne se reçoit un coup de sac. 

_Arrête de dire des âneries. Grommela-t-elle. 


Les deux amies partirent en direction de la cafétéria. Elles se connaissez depuis le jardin d'enfance et depuis ne s'était plus quitter. Elles n'avais pas forcément les mêmes goûts mais cela ne les empêcher pas de bien s'amuser ensemble. Makomo soupçonner que son amie et un faible pour leur professeur de sport, sauf que la concerner ne le savais pas encore. Y avais qu'à regarder la façon dont elle le dévorer du regard.. Bien que Shinobu nier tout en bloc, la jeune femme était convaincu du contraire. Mais leur professeur de sport était une personne froide, antipathique, impassible. Certaines filles c'était déjà confesser à lui, mais il n'avais jamais réagis, allant même jusqu'à ignorer les filles en face de lui et faire demi-tour. Il refuser tout les ans les chocolats que les filles déposer dans son casier dans la salle des professeurs, ainsi que tout c'eux quelles lui remettais directement. Il ne bavarder pas non plus, plus que nécessaire avec ses élèves lors que ses cours. Ne leurs expliquant que les consignes, plus les moments ou le cours s'arrêter. Certains penser même qu'il n'avais pas de cœur et qu'il ferais partie d'un gang pour être aussi froid. D'autres raconter toute sortes d'histoires plus absurdes les une que les autres, ce qui n'intéresser pas Shinobu. 

Elle, elle savais qu'il y avais un cœur la-dessous. Alors qu'elle rentrer de sa journée de classe, elle avais vue son professeur protéger un pauvre petit chiot qui se faisait maltraité par un groupe de petits garçons. Il avais fait barrage entre les projectiles et le chiot, toujours avec son air de marbre. D'un regard noir, il les avais fait fuir. Comprenant qu'ils ne reviendrais pas et que le chiot était hors de danger, il avais prit l'animal blesser dans ses bras, l'enveloppent dans son sweet bleue de sport pour le protéger du froid. Elle l'avais vue l'emmener et supposer donc que soit il l'avais adopter, soit il l'avais déposer chez un vétérinaire. 

Depuis ce fameux jour, elle le voyait sous un autre angle, mais ne pouvais s'empêcher de le détester pour cet facette dur comme une porte de prison qu'il afficher. Après peut-être qu'il avais une bonne raison d'être ce qu'il était aujourd'hui, un homme sans scrupule. Alors que la jeune femme rêvasser en tenant son plateau de nourriture, elle ne vie pas quelqu'un tendre son pied à son passage et elle bascula en avant. 


Encore.. Pensa tristement la jeune femme en ferment les yeux, s'attendent à rencontrer le sol.


Rien ne vint, elle se sentez même légère. Bizarre, normalement elle devrais être allonger sur le sol dur et froid de la cafétéria. Elle ouvrit prudemment ses yeux violets pour constater qu'elle était bien dans les bras de quelqu'un. Tout ce qu'elle distingua était un tissue bleu. Bleu.. Sans s'en rendre compte elle agrippa sa petite main à ce vêtement en sentent une main assez large lui enserrer la taille. Puis une voix gronda dans le silence soudain du réfectoire. 


_Si je vous reprend à blesser une camarade, vous aurais affaire à moi. Tonna la voix masculine pleine de reproche. 

_Ou-Oui Mr Tomioka-san.. Répondit apeurée une étudiante.

_Bien. 


Comment ça ? Tomioka-san m'aurais sauver ?.. Pensa Shinobu, rouge comme une pivoine. N-Non ça ne peut pas être vrai..


_Vous allez bien mademoiselle ? Demanda le professeur en baissant son regard d'un bleu profond dans les prunelles violettes de la jeune femme qui avais relever la tête abasourdie.


A travers son regard, elle cru apercevoir une once... D'inquiétude ? Non ma vieille ta surement rêver. Encore sous le choc que son professeur de sport soit venue la sauver, elle ne pu aligner deux mots dans la même phrase, ne faisant que bégayer à chaque tentative. Comprenant que ça n'allais pas, le jeune homme ne lâcha pas l'étudiante, l'informent qu'il l'emmener à l'infirmerie. Rouge comme une tomate, elle acquiesça doucement, alors qu'ils quitter ensemble le réfectoire sous l'œil choquée des élèves présent et haineux du fan club de leur professeur adoré. La petite Makomo prit le sac de son amie, inquiète de son état. Elle fusilla du regard l'étudiante qui avais donner le croche pied à son amie.


_Je peux savoir pourquoi tu as fait ça ? ! Grogna-t-elle, serrent la poignet du sac de Shinobu.

_Arrête de faire comme si tu savais pas. Pourquoi se serais la seule à recevoir ses faveurs ?! S'emporta la fille. 

_Comment ça, elle ne reçoit les faveurs de personne.

_Oh bien sur que si. Mr Tomioka-senpai n'arrête pas de la regarder quand mademoiselle Kocho pendant son cours ! Répliqua l'étudiante exaspérer. 

_Heu normale car c'est notre prof ? S'enquit Makomo, effarer. 

_Et puis comme par hasard il était la alors que d'habitude il mange avec les autres professeurs ? Non il la suis ! Dédussie la fille, sur d'elle.

_Non mais ça tourne vraiment pas rond chez toi, fais toi soigner. Déclara Makomo en s'éloignent avec son plateau. 

_Tu verra que j'ai raison ! Cria-t-elle à travers la cafétéria pour se faire entendre. 


Shinobu elle, était dans les couloirs du lycée, son professeur de sport la soutenant d'une main sur sa hanche. Elle n'arrêter pas de rougir de la proximité qu'elle avais avec le jeune homme et essaya d'entamer la conversation.


_V-Vous savais que je peux marcher sans votre soutient ? Sourit faussement la violette.

_Vous pourriez tomber. Trancha-t-il ne la regardent toujours pas. 

_Ara~ ? S'enquit timidement la jeune femme ne comprenant pas.


Bizarrement le silence qui retomba entre eux, le na dérangea pas plus que ça. Elle profita de la proximité avec son professeur pour mieux ressentir sa main sur sa hanche. Elle était si large et protectrice. Alors qu'ils marcher toujours, Shinobu prit conscience qu'elle était entrain de penser à son cher professeur de sport. Son cœur s'emballa dans sa poitrine alors qu'elle s'imagina sentir sa main sur sa joue rougie par la chaleur.


 Non mais qu'est-ce qui tourne pas rond chez moi ?! Pensa-t-elle étourdie. 


Soudain, ses yeux se fermèrent instantanément alors que son corps tomba en avant. Tomioka eu juste le temps de la rattraper entre ses bras qu'elle perdit connaissance en murmurent le nom du jeune homme.


_Tomioka-san.. 


Le jeune professeur fut surprit par la douceur avec laquelle elle l'avais appeler. Son masque se fissura une fraction de seconde avant de retrouver son air impassible. Il porta Shinobu comme une princesse, se dirigent d'un pas rapide vers l'infirmerie.


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Hello les poussins ! J'espère que ce chapitre vous aura plus ! 

A la prochaine ! 


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