Demain nous appartient, la LOVING FICTION
Chapitre 64 : Chapitre 64 de la Loving Fiction
733 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour 31/03/2020 01:26
Chapitre 64 :
{Dans la tête de Leïla.}
*Les contractions devenaient de plus en plus fortes alors, quand fut venu le moment de l'atterissage l'équipe de l'avion appela directement un médecin sur le tarmac pour la prendre en charge. L'atterissage qui avait été très douloureux pour la jeune femme ne devenait plus qu'un mauvais souvenir .*
Samuel : Ça va mieux mon coeur ?
Leïla : Ça se passe.
Médecin : Vous êtes stressé madame ?
Leïla : Pas plus que d'habitude non.
Médecin : Vous êtes enceinte de combien de semaines ?
Samuel : 20 semaines environ.
Médecin : C'est votre premier enfant
Leïla : Non (qui serrait la main de Samuel un peu plus fort à cause d'une contraction qui arrivait.) c'est ... des triplets.
Samuel : C'est sa 4ème grossesse et des triplets. Qu'est-ce que vous attendez pour l'emmener à l'hôpital ? Il faut lui faire passer des examens en urgence.
Médecin : Bon monsieur laissait faire les professionnels.
Samuel : Ça tombe bien je suis gynécologue.
Médecin : Ah ... Euh excusez-moi ! Je... (parlant à son collègue qui venait d'arriver en renfort) appelle les pompiers.
{J'avais mal, très mal, à vrai dire j'avais oublié le mal que pouvaient provoquer les contractions. Mais j'avais surtout peur, ce qui n'aidait pas la chose. Je savais que ce voyage était une mauvaise idée mais j'avais besoin malgré tout de passer du temps avec l'homme que j'aime, ce temps que l'on a si peu finalement.
Samuel avait peur, je le voyais dans ses yeux, ils étaient remplis de panique, de culpabilité mais il ne parlait pas. Je décida alors de lui caresser sa main que je tenais depuis un moment.}
Leïla : (peu convaincu) Ne t'inquiète pas chéri on est fort.
Samuel : (les yeux embués.) C'est de ma faute.
Leïla : Mais non pourquoi tu dis ça !?
Samuel : C'est moi qui t'ai forcé à le faire ce voyage.
Leïla : Mais non chéri on l'a tous les deux voulus arrête.
Samuel : (se levant d'un coup) (face aux pompiers qui venaient d'arriver.)
Pompier : Bonjour... (marquant un temps d'arrêt.) Samuel ??
Samuel : Thibault ?
Thibault : Mais qu'est-ce que tu fais là ?
Samuel : Ce n'est pas le problème du jour. Ma femme a des contractions elle est enceinte de 5 mois c'est des triplets.
Thibault : Madame, comment vous sentez vous ?
Samuel : (méchamment) Ba pas bien puisqu'on vous a appelés.
Leïla : Samuel s'il te plaît fait un effort là.
Thibault : Ok, vous avez des contractions depuis longtemps, avec combien de temps intervalle !?
Leïla : Environ 5 minutes mais ça se calme doucement.
Thibault : D'accord, on va quand même se diriger vers l'hôpital Saint Clair pour passer des examens. (À ses collègues.) Vous allez me chercher la civière s'il vous plaît, on l'embarque.)
(Durant le trajet qui fût très long dû au silence pesant qui s'était installé, Leïla ne cessait de se demander comment aurait pu se connaître Samuel et le prénommé Thibault, au travail peut-être, ou bien à un autre moment. Dans tous les cas, ce n'était pas le grand amour entre ces deux hommes. Mais peu importe, plus le temps de réfléchir car ils étaient arrivés à l'hôpital.)
Victoire : (qui venait les accueillir, sachant bien que les contractions s'étaient quelque peu calmées et voyant une mine assez stressée de Leïla, elle profita pour faire une petite blague à son amie.) Ba alors on te manquait trop ?
Leïla : (Qui sourit un tant soit peu.) J'aurais aimé revenir plus tard.
Victoire : (tirant le brancardier aidé du Docteur Combles, gynéco de Leïla.) On va t'emmener faire des examens.
Docteur Combles : Désolé Samuel tu vas devoir rester là.
Samuel : Non je viens avec elle.
Dr Combles : Samuel, complique pas les choses.
Victoire : Je reste avec elle et je te préviens dès que c'est fini.
Samuel : Non je vous dis que c'est ma femme j'ai le droit de rester avec elle.
Dr Combles : Stop on y va et tu attends là.
Leïla : (Avant que Samuel n'est le temps de répliquer.) Samuel c'est bon, prends toi un café et attends-moi là !
(Samuel s'abdiqua devant la détermination de sa femme. Il décida d'aller se chercher un café lorsque des têtes qu'il connaissait apparues.)
Samuel : (pas très content) Qu'est-ce que vous faites là ?
....
Suite bientôt...