Demain nous appartient, la LOVING FICTION
Chapitre 58 : Chapitre 58 de la Loving Fiction
921 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour 07/02/2020 10:59
Chapitre 58 :
[Dans la tête de Soraya.]
(Quelques jours c'était passés depuis le repas avec Monique et Claude. La tension entre Leïla et Samuel était toujours palpable, il ne s'était plus beaucoup parlé. Samuel savait pertinemment qu'il fallait renouer avec Leïla car le départ pour la Polynésie Française approché, c'était le lendemain. Alors que Leïla allait partir faire les courses, Samuel l'interpella.)
Samuel : Chérie, je pense que ça serait bien qu'on parle non ?
Leïla : Je veux bien mais je dois aller faire les courses, elles ne se feront pas toutes seules.
Samuel : Je viendrais t'aider, ce n'est pas à toi d'y aller.
Leïla : (Sourriant et s'approchant de Samuel alors que cela faisait bien longtemps.) On va faire comment demain pour partir, il faut bien un pique-nique, non ? A moins que tu ne comptes pas partir avec moi.
Samuel : Si bien sur que si ! J'ai cru que tu voudrais pas partir.
Leïla : Je pense que ça va me faire du bien de partir, de m'éloigner de tout cela. Ça me prend trop la tête et du coup on se dispute, je déteste ça.
Samuel (Qui embrasse sa bien aimée.) : J'ai cru qu'on partirait jamais.
Leïla : Bien sûr que si ! J'avais tellement hâte même si je ne te l'ai pas trop montré ces derniers temps ! Et puis il est temps de partir avant que ces loulous ne me pompent toute mon énergie.
Samuel : Mais ils vont quand même faire attention pour préserver leur maman. Et je serais là de toute façon, je vais prendre soin de toi.
Leïla : C'est mignon, bon on y va parce que on partira pas, il faut encore préparer les valises et tout ça, faire les courses.
Samuel : Allez c'est partit !
(Après avoir fait les courses, Samuel et Leïla rentrèrent chez eux.)
Leïla : Et bah, j'ai cru qu'on en aurais pour 10 ans.
Samuel : Va t'allonger chérie, je range tout et j'arrive.
(Après avoir tout rangé, Samuel arriva et s'allonga près de Leïla, torse contre torse ils prennèrent un petit peu de temps avant de faire leurs valises.)
Samuel : Je suis contente de partir en avancés avec toi, c'est la première fois que je prend l'avion tu sais ?
Leïla : Ah bon ? Et ca te fais quoi ?
Samuel : Rien, je sais que rien ne peut arriver quand je suis avec toi.
Leïla : T'es un amour.
(Ils s'embrassèrent avant de sortir de leur lit et préparer leurs valises pour le lendemain.)
{De leur côté Noor et Soraya s'était donné rendez-vous pour parler de la demande de Rémy, Soraya avait eu le temps d'en parler 2mn avec sa soeur au téléphone mais pas assez pour qu'elle soir au courrant de tout.}
Soraya : Coucou Nounouche, désolé je suis en retard.
Noor : Coucou ! Tu es étais ou ?
Soraya : Au travail, il y en a qui bosse hein !
Noor : Haha, j'ai étais en cours aussi hein.
Soraya : C'est vrai ça ! D'ailleur ça va mieu avec Timothée.
Noor : Te défille pas, c'est pas de ça qu'on était venu parler.
Soraya : Je veux quand même savoir si ca va mieu après !
Noor : Bon vas-y raconte.
Soraya : En gros Rémy m'a avoué vouloir un enfant de moi, mais j'ai essayé de lui faire comprendre que je n'en voulais pas, en tout cas pas maintenant.
Noor : Mais pourquoi ? Ça serait top, vous avez tous les 2 un travail et puis vous êtes amoureux non ? Tu ne l'aimes plus ?
Soraya : Si ! Bien sûr que si. Mais c'est pas ça.
Noor : C'est pour quoi alors ?
Soraya : Ba je sais pas trop, en plus maman est enceinte je nous vois pas être enceinte toutes les 2 en même temps.
Noor : Mais on s'en fou et puis j'espère qu'elle aura accoucher d'ici là, moi je trouve que ce n'est pas une si mauvaise idée, et puis, il faut que je sois tata un de ses jours.
Soraya : Oui après, enfin peut être mais pas maintenant, on a même pas de maison ni rien, pas de très gros salaires enfin je nous vois pas parents si jeune, pas maintenant.
Noor : Si ce n'est qu'une question d'argent, Papa et maman peuvent vous en prêter.
Soraya : Nounouche, maman est déjà enceinte de triplets, je pense que c'est plutôt elle qui aura besoin d'aide.
Noor : Ba non elle fait des gosses, alors elle les assume.
Soraya : Exactement comme tu dis, je ne suis pas prête a assumé alors je dois attendre, c'est comme ça.
Noor : C'est dommage, je vous voyez bien porter et élever ce petit bébé... Rémy doit être triste.
Soraya : Je ne sais pas trop, on s'en est pas reparlé.
Noor : Tu lui as dit tout ce que tu m'as dit ?
Soraya : Pas exactement !
Noor : Ba fonce lui dire !
Soraya : Oui mais avant tu me parles de toi et Timothée.
Noor : C'est compliqué, il m'en veut toujours.
Soraya : Pour la claque ?
Noor : Oui et puis y a pas que ça mais je dois y aller, je suis précée. Bisous grande soeur.
Soraya : Je vais pas te retenir plus longtemps car Rémy m'attend mais on la finira cette discution !
Noor : Promis, bisous.
Soraya : Bisous, bonne fin de journée et embrasse papa de ma part.
Noor : Je n'y manquerais pas !