Demain nous appartient, la LOVING FICTION

Chapitre 50 :

[Dans la tête de Soraya.]

[Il était temps d'aller au Spoon, j'avais dit à ma mère et Samuel de m'attendre devant le spoon car je risquais d'être en retard à cause d'une audience.

Il était 11h36 quand j'arriva au spoon, Timothée y était déjà.]

Timothée : Bonjour Soraya, vous êtes en retard. Oui. Vous avez exactement 6 minutes de retard.

Soraya : Désolé Thimothé je travaillais. Ma mère et Samuel ne sont pas là ?

Timothée : Non, ils ont maintenant 10mn de retard. Oui. 10 minutes, c'est beaucoup. Il ne faut pas qu'ils soient en retard ce n'est pas bien.

Soraya : Tu sais Timothée, ils travaillent beaucoup, ils ont peut être eu une urgence mais ils ne vont pas tarder. Tu veux que je les appelle ?

Timothée : Oui, il faut les appeller. Oui.

Soraya : Je vais le faire.

(Après que 3 sonneries aient retenties, une voie apparue.)

Soraya : Oui maman ?

Leïla : Chérie ? Tu es au Spoon ?

Soraya : Oui oui, c'est pas toi au voulant j'éspère.

Leïla : Non ne t'inquiète pas c'est Samuel qui conduit.

Soraya : C'est cool ça, toi qui n'aimes pas conduire ! Vous êtes où sinon ?

Leïla : Il ne veut pas que je conduise. On arrive dans 2mn, on se dépêche.

Soraya : (tout en rigolant.) Il a peur pour sa voiture ?

Leïla : (Répliquant du même ton que sa fille.) Non, pour moi.

Soraya : C'est mignon.

Leïla : Bon je te laisse, on se gare et on arrive.

(Une fois que tout le monde fut arrivé, ils avaient pris une table et commandés de quoi boire.)

Leïla (à Timothée) : Tu peux nous dire pourquoi Noor se drogue ?

Timothée : Je... alors, Noor m'a donné une claque. Oui une claque. Un étude scientifique a prouvé que quand on se droguer, on devenait violent.

Samuel : Ça on sait ! Mais va droit au bute, on ira plus vite et tu vois ça nous évitera de rester planté là 20 ans.

Leïla (faisant de gros yeux à Samuel.) : Vas y Timothée tu peux nous dire tu sais.

Timothée : C'est car vous attendez des enfants. Oui. Vous attendez des enfants du Docteur Chardeau. Non. Noor ne veut pas que vous soyez enceinte.

(A partir de ce moment un monde s'écroula pour Leïla. Même si elle savait pertinemment que sa fille n'était pas forcément pour qu'elle des enfants qui plus est des triplets avec Samuel, elle ne s'imaginait pas qu'elle réagirait ainsi.)

Timothée : Je n'aurai pas du dire la vérité, ça vous fait mal. Oui. Je le vois, quand on est triste on ne peut pas retenir les larmes aux yeux. Et vous une larme coule de votre oeil, soit vous êtes triste soit vous êtes en colère. Oui.

Samuel : Bon n'en rajoute pas, tu vois bien qu'elle est triste pas là peine de... De t'exprimer là !

(Leïla n'eut pas le temps de répondre car Noor était la, en face d'eux...)

Noor : Timothée c'est toi qui leur a dit de venir ici !

Soraya : Non Noor c'est nous qui avons demandé, on s'inquiète pour toi !

Noor ( Sur le départ.) : Comme vous voyez tout va bien alors vous pouvez y aller !

Leïla : Chérie reste là on voudrait te parler... je sais pourquoi tu fais ça et je suis désolé que tu sois aussi affecté par ça mais...

Noor : Mais quoi ? Tu croyais que j'allais te laisser faire. Que tu nous remplacé comme ça, sans que je ne dise rien. Je suis pas comme Soraya moi. Je ne suis pas comme Soraya moi, je n'accepte pas que tu nous remplaces, par ces...

(Samuel ne laissant pas le temps à Noor de finir sa phrase et la coupa.)

Samuel : Stop Noor. Maintenant tu arrêtes, que tu t'appitois sur ton sort qui n'en n'est pas un plus d'une journée c'est bon ! Tu te rends compte que tu fais souffrir tout le monde ! Tu n'es pas seule. Ta soeur, Rémy, ta mère... Tout le monde s'inquiète pour toi et tu es encore en train de te plaindre. Alors réjouis toi, je te promets que ça te changera, toi qui te plaint tout le temps.

Noor (qui cria de toutes ses forces.) : Mais tu ne sais pas ce que ça fait de se sentir abandonné.

(Leïla qui savait que cette phrase allait pertinemment touché Samuel malgrès qu'il ne montrerais rien coupa la conversation.)

Leïla : Stop ! Vous voyez pas que tout le monde nous regarde là, et regarde dans quel état est Timothée.

(Pendant le temps où Noor avait parler très fortement, Timothée avait le temps de prendre son casque et de le mettre sur ses oreilles. Noor s'approcha alors de Timothée et s'assit à côté de lui...)

Noor : Vous pouvez nous laisser s'il vous plait, je pense que l'on à plus rien à se dire.

Leïla : Venait, Noor j'aimerais qu'on se parle calmement rien qu'à deux je t'en supplie.

Noor : Je verrais mais c'est pas ma priorité la.

(Leïla prit la décision de partir, sans savoir quand elle reverrait Noor, ni si elle la pardonnerait bientôt. Elle avait du mal à comprendre ce que Noor avait contre Samuel au point d'haïr ce qui faisait le bonheur de sa mère.)

[Cela me faisait du mal, pour Noor et pour ma mère. Ça se voyait, dans ses yeux il manquait quelque chose, malgrès l'amour incontestable de Samuel et le soutien que nous lui apporton avec Rémy, on voit dans ses yeux que ça ne vas pas, sa fille, sa fille va mal...]