Demain nous appartient, la LOVING FICTION
Chapitre 12 : Chapitre 12 de la Loving Fiction
1358 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour 04/02/2020 14:56
Chapitre 12 :
{Dans la tête de Leïla}
*Il était tôt, 8h33, je vennais de me réveiller à cause de mes nausées matinales, tout les matins j'avais ces nausées, bien sûr je n'en avais pas parlé à Samuel, j'avais trop peur qu'il s'inquiète. Lui, il dormait encore, il était tellement beau, j'adorais le regarder dormir. J'avais ma tête sur son torse encore nu de la vieille et lui une main qui passait au-dessus de moi, comme pour me protéger, et une main sur son futur bébé, cela lui allait tellement bien. J'esseya de me dégager pour pouvoir me lever et puis car mes nausées devenait forte d'un coup mais Samuel se réveilla.*
Leïla : Désolé chéri, je voulais pas te réveiller.
Samuel : Coucou toi, c'est pas grave ne t'inquiète pas. Tu es toute pâle, ça va ?
Leïla : [J'essayais de cacher mes nausées] Euh oui oui, rendors toi ne t'inquiète pas.
Samuel : Leïla, dit-moi je vois bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas et ça m'inquiète encore plus, tu as mal quelque part ?
Leïla : Ça fait plusieurs fois que j'ai des nausées la matin mais c'est normal chéri.
Samuel : Pourquoi tu ne me l'as pas dit, il faut que tu me parles sinon ça ne va pas aller.
Leïla : C'est rien Samuel. Bon je vais préparer le petit déjeuner.
Samuel : Non laisse, j'y vais ça me fait plaisir et puis si tu ne te sens pas très bien, je préfère.
Leïla : Comme tu veux, je vais m'habiller alors.
(Elle partit non sans un bisous tendre qui durait assez longtemps pour la faire rebasculer dans le lit mais qu'elle stopa vite.
Samuel partit faire griller des tartines, car il savait que Leïla adorait ça, lorsqu'il entendu du bruit dehors, il sortit immédiatement)
Samuel : Il y a quelqu'un ?
(C'est à ce moment qu'il trouve une lettre par terre, il se décida à la lire car il savait que Leïla n'était pas là pour l'instant, c'était horrible, encore une lettre d'insulte, de menace, qui le poussait à douter, il commençait même à regreter son choix. Il décida de rentrer tout en faisant l'air de rien.)
Samuel : (Se forcant à sourrir, il avait pourtant les larmes aux yeux) Mais tu as était vite.
Leïla : (Tout en se rapprochant pour trouver le contact avec Samuel) Oui, tu as vu ça. Ça va pas chéri ? Tu as les larmes aux yeux.
Samuel : Si si ca va.
Leïla : Samuel, tu dis de moi mais tu es pire.
(Voyant que Samuel avait une lettre dans sa main)
C'est une lettre c'est ça ? Samuel, je t'ai dit de me le dire !
[Je ne comprenais pas pourquoi Samuel ne me disait jamais pour les lettres, je savais que ça lui fesait du mal, ça me fesait aussi du mal mais il ne pouvait pas garder ça pour lui seul. Je pris la décision de lui prend la lettre des mains.]
Samuel : Non fait pas ça ! Leïla, tu vas le regretter.
Leïla : Samuel tu ne peux pas vivre ça tout seul on est un couple, bientôt des parents on doit tout se dire ça peut pas continuer comme ça, on ne se dit plus rien...
Samuel : Justement tu es sûr de ton choix ?
Leïla : Attend attend attend ! Il a quoi s'écrit dans cette lettre pour te faire douter à ce point ? Samuel tu me donnes ça tout de suite !
(Samuel lui donna, Leïla commença à lire, tout haut)
"Sal con, égoïstes, comment oses-tu ? Tu es absurde, il faut que Leïla avorte, tu lui as déjà fait assez de mal comme ça avec tout tes problèmes, espèce de drogué ! Tu seras incapable d'élever cet enfant, c'est dur ! Et Leila a déjà souffert, elle a déjà accouché 3 fois, elle était heureuse avec Bilel mais toi tu as tout gâché! Elle en était même à vouloir tué son bébé à cause toi ! Et en plus tu l'obliges à le garder elle n'en a pas envie je le sais ! Elle a peur de tes réactions incontrôlés et de tes sauts d'humeur. Mais tu penses qu'un bébé pourra vivre avec ça, non. Il a besoin d'un père stable, qui l'aime et tu n'en es pas capable, parce que tu as jamais aimé personnes et que tu penses qu'a ton plaisir égoïste ! Meur en enfère et va chercher ailleur, tu as profité de Leïla alors qu'elle était faible mais tu es qu'un abruti, je te déteste, tu ne feras jamais un bon père car tu n'as pas de coeur, comme tes parents !"
[Cela en était trop pour lui, celui que j'aimais, celui qui ne laissait jamais paraitre ses émotions s'écroula sur la canapé, il était en pleure, il tremblait, cela me faisait mal au coeur de le voir comme ça, il n'était pas bien, mais comment pouvait-il douter de lui ?]
Leïla : (Au bord des larmes elle aussi) Et chéri, tu ne crois pas à ça quand même ! C'est horrible ce qu'on te dit mais c'est faux, c'est quelqu'un qui cherche à te faire changer d'avis mais il ne faut pas que tu craques sinon il aura gagné. Chéri, je sais que c'est dure mais il ne faut pas que tu craques, pour moi, pour notre bébé, on sait que tu feras le plus merveilleux des papa.
Samuel : Non c'est faux, quelqu'un de drogué, d'incapable et qui n'a jamais vraiment aimer quelqu'un à par toi ne fait jamais une bonne personne et je ne prendrais pas le risque de pouvoir faire du mal à mon enfant.
Leïla : (Se mettant à pleurer elle aussi) Justement... c'est ... parce que tu m'aimes et que tu veux avoir ce petit bou de chou que tu sera un bon papa chéri, j'ai confiance en toi et je suis là personne qui te connais le mieux, je sais que tu seras un bon papa.
Samuel : J'en ... suis pas sur
Leïla : De toute facon il est trop tard pour faire demi-tour et puis regarde comment tu étais heureux en allant chercher les affaires du bébé c'était sincère ça.
Samuel : Oui j'en ai très envi, mais je n'en suis pas capable.
(A ce moment, la porte s'ouvrit)
Soraya : Salut ! (Voyant que sa mère et Samuel pleurait) Et! Mais qu'est ce qu'il se passe ? Il y a un problème avec le bébé ?
[Je n'avais pas la force de lui expliquer donc je lui tendis la lettre, il y eût alors un grand moment de silence, Samuel était toujours sa tête entre mes bras, une main dans mon dos et une main sur mon ventre, j'aimais tellement ça.]
Soraya : (Après avoir lue la lettre) Mais c'est horrible ! Vous savez qui c'est qui écrit ces lettres ? Je ne m'imaginais pas que ce serait à ce point méchant. Je trouve que ce n'est pas vrai. Samuel, je n'ai pas toujours était tendre avec toi, car je n'acceptais pas que ce soit fini entre ma mère et mon père, pourtant je vous ai toujours trouvé très attentionné envers ma mère et ça se voit que vous l'aimez. En plus je n'avais jamais vu ce sourrir permanent que ma mèra en ta compagnie, surtout depuis qu'elle sait que vous allez être parents. Tu as aussi ce sourrir que tu n'avais pas et je suis sur que tu ferais un bon père.
(Sur ces mots Soraya alla s'assoir près de sa mère et mit sa tête sur son épaule, Leïla prit alors les amours de sa vie dans ses bras)
[J'étais tellement heureuse que Soraya avait dit tout ça, je savais qu'elle avait fait un effort pour nous et je lui en était reconnaissante. Je voyais que ça avait fais du bien à Samuel, il avait un fin sourrir aux lèvres...]