Demain nous appartient, la LOVING FICTION
Chapitre 10 : Chapitre 10 de la Loving Fiction
1666 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour 04/02/2020 14:46
Chapitre 10 :
{Dans la tête de Samuel}
*Cette terrible épreuve était passé. L'annoncer aux filles de Leïla. Je pense que Leïla était tellement comblée qu'elle commençait à croire que ses filles allaient avoir la même réaction et je voyais que ça l'avait profondément touché de voir que Noor la détestait désormais alors que Leïla je ne l'avais jamais vu aussi heureuse.
Ce matin il est encore tôt et Leïla dort encore, je vais en profiter pour lui faire un bon déjeuner et le lui rapporter.
Elle était en train de se réveiller quand je suis revenu, elle avait le sourrir, ce sourrir que j'aime tant. Elle n'avait pas encore vu que je lui avais préparé ce petit déjeuné.*
Samuel : (Avec ce grand sourrir) Bien dormis futur maman ?
Leïla :(Tout en lui rendant ce sourrir) Oui, et toi futur papa ?
Samuel : Je n'ai fais que pensé à toi et à notre petit bou de chou qui va nous rejoindre.
Leïla : Stresse pas chéri, tout va bien se passer je suis sûr que tu sera un super papa mon amour.
Samuel : En tout cas je ferai tout pour. Et en plus de peut être, être un super futur papa, je suis un super mari, je t'ai amené le petit déjeuné au lit chérie.
Leïla : Mais t'es un amour !
Samuel : Bon appétit (En l'embrassant)
(Après ce bisous tendre, on déjeuna au lit pour la première fois. Mais j'avais quelque chose à proposer à Leïla pour profiter de ces derniers moments qu'à 2.)
Samuel : Chérie ?
Leïla : quoiii? (Tout en sourriant et se rapprochant de son torse, nu)
Samuel : Puisque dans presque 8 mois maintenant on sera 3, j'avais pensé, on pourrait partir en vacances, qu'a 2, enfin à 3 mais profiter d'un moment une dernière fois tant que ce petit bou de chou est toujours dans ton ventre.
Leïla : Mais quelle bonne idée ! J'en reviens pas que dans 8 mois cette petite beauté nous rejoindra. Mais c'est vrai qu'il faut profiter. Je te laisse le choix de la destination chérie.
Samuel : J'ai déjà ma petite idée alors ...
Leïla : Vas-y dis moi !
Samuel : Surprise...
Leïla : Tu es pas drôle.
Mais attend je pense à ça, je peux pas laisser mes filles toutes seules pendant 2 semaines...
Samuel : Soraya sait vivre toute seule déjà et puis elle a Rémy et Noor elle a son père.
Leïla : Samuel, je suis désolé mais j'ai promis à mes filles que je les laisserais pas tomber.
Samuel : (D'une triste voix) Tu les laisses pas tomber, tu auras pleins de temps pour profiter d'elles si tu veux je garderais même le bébé pour que tu fasses des sorties. Et puis si tu ne vas pas à ses vacances, c'est moi que tu laisses tombé.
Leïla : Samuel arrête, ne m'oblige pas à choisir entre mes filles et toi !
(J'étais bléssé par ce que Leïla venait de me dire, j'étais très triste. Je ne comprennais pas pourquoi Leïla se privait de choses qu'elle avait envie, je voulais lui en parler, mais j'avait peur de la blesser surtout qu'avec la grossesse, elle réagissait au quart de tour.)
Samuel : Chérie j'aimerais te parler mais ne réagis pas mal !
(Leïla fin un signe de tête qui me permeta de commencer)
Je sais que tu adores tes filles, que pour rien monde tu les laisserais tomber et je suis entièrement d'accord avec toi car j'aimerais et j'espère que tu seras la même avec notre enfant. Mais tu es enceinte, dans quelques mois on ne pourra plus se déplacer comme on le fait normalement, il faut faire attention je veux qu'il ne t'arrive rien, ni à toi, ni au bébé. Et si on part après la naissance, il faudra le confié à quelqu'un mais tu laisserais toujours tes filles le temps du voyage. Je sais que tu en as envie, elles ont pas le droit de te priver de ça...
Leïla : Ça me fait plaisir que tu ouvres ton coeur comme ça. En plus tu as totalement raison je laisserai pas notre bébé seul pour que l'on parte, je suis d'accord on va partir mais laisse moi le temps de l'annoncer à mes filles.
Samuel : Pas de problème mon amour.
[Après avoir fini de déjeuner nous allions nous préparer]
Samuel : Tu es prêtes ?
Leïla : Bientôt pourquoi ?
Samuel : Et ba dis donc c'est long une femme.
Leïla : (Tout en rigolant et en se blotissant dans les bras du futur papa) C'est toi qui dit ça ?
Samuel : (Essayant d'embrasser Leïla) Je rigolais. Dis chérie j'ai une idée mais dis moi si c'est trop tôt !
Leïla : Oula tu me fais peur !
Samuel : Je m'était dis vu qu'on est tout les 2 off aujourd'hui, et qu'on a pris la meilleure décision de garder cette enfant, on pourrait commencer à acheter quelques trucs non ? Avant que tu me dises que c'est trop tôt, oui j'en ai conscience mais je suis tellement heureux !
Leïla : Te projette pas trop quand même, je suis que à 4 semaines, on a toujours pas passer le cap des 3 mois, loin de là.
Samuel : (j'essayais de ne pas montrer ma peur et donc de passer ce sujet) S'il te plait, rien qu'aller voir et on en profitera pour dîner dehors, je t'invite !
Leïla : Si tu m'invites alors !
Samuel : Mais ne t'inquiète pas on ne marchera pas trop !
Leïla : Samuel... Je ne suis pas en sucre, mon ventre est à peine arrondis je risque rien tu le sais toi même arrête de stresser chéri !
Samuel : Je peux pas m'empêcher d'y penser ! On y va ?
Leïla : C'est parti !
[Une fois dans la voiture, Leïla était pensive]
Samuel : (Tout en posant sa main sur sa jambe) Ça va chérie ? Tu as l'air pensive !
Leïla : Oui je pensais à ça, j'aurais jamais imaginer qu'on en serait là !
Samuel : Jamais de ma vie j'aurais penser avoir un gosse !
Leïla : Et ba tu vois que quand on trouve la bonne personne on est prêt à tout.
Samuel : (D'un air charmeur) Oui enfin la bonne personne euh...
Leïla : Non mais dis donc toi.
Samuel : Ça va je ris, n'empêche que c'est la première fois que je suis aussi heureux.
Leïla : C'est vrai que je ne t'ai jamais vu sourrir comme ça !
Samuel : Toi par contre y a quelque chose qui ne vas pas ! Tu fais comme si tout allait bien mais je vois qu'il y a quelque chose ! C'est moi ? C'est parce que je m'emballe ? Tu sais si c'est ça il faut me le dire hein chérie.
Leïla : Non pas du tout chéri justement je vois que tu t'impliques et ça me fais tellement plaisir, car je vois que tu as changé en mieu et c'était pas gagné.
Samuel : (Après lui avoir sourri) C'est quoi alors ?
Leïla : Je préfère pas gâcher l'ambiance on est bien là.
Samuel : Non, toi tu es pas bien dis moi chérie. C'est tes filles c'est ça ?
Leïla : Oui...
Samuel : Soraya était surprise mais elle avait l'air assez contente pour toi non ?
Leïla : Oui elle m'a même envoyé un petit message après pour s'excuser de l'altitude de Noor et dire qu'elle était contente ! Mais c'est Noor le problème.
Samuel : Elle finira bien par se calmer. Et puis elle ne peut pas rester sans te parler plus d'une semaine, elle t'adore ça se voit.
Leïla : Depuis quand tu vois ça toi ?
Samuel : Parce que je l'ai bien vu, sous ses airs de fille méchante elle t'aime et elle en a pas contre toi, mais contre moi.
Leïla : C'est ça le problème, je veux pas qu'elle te déteste, ni toi, ni notre enfant. Parce que je veux pas vivre entre mes filles et toi et le bébé.
Samuel : Laisse la digèrer la nouvelle et se calmer et puis ensuite tu verras pour aller lui parler ensuite.
Leïla : Oui tu as raison, bon on change de conversation je veux pas plomber cette bonne ambiance et puis ça sera les premières affaires du bébé quand même.
[Une fois dans le magasin pour bébé qui se trouvé à la sortie de la ville de Sète]
Samuel : Regarde cette peluche elle est trop belle !
Leïla : C'est vrai qu'elle est belle mais elle est trop chère Samuel.
Samuel : Eh, ne t'inquiète pas pour ça, ça va aller.
Leïla : On a encore le lit, la poussette, la table à langer et ...
(Samuel lui coupa la parole)
Samuel : Calme toi chérie, on a encore le temps et puis c'est pas une peluche qui va nous ruiner.
Leïla : C'est vrai mais il faut faire attention !
(J'étais tellement content que Leïla s'impliquer désormais)
[Une fois leur achat fini]
Leïla : Bon c'est bien déjà non ? On a un beau biberon, des bavoirs et sa première peluche.
Samuel : Ah les premiers affaires de bébé !
(A ce moment j'avais envie de mettre ma main sur le ventre encore plat de Leïla, jusque maintenant elle ne m'avait jamais laissé l'occasion, tampis il fallait essayé. Je mis alors ma main sur son ventre, à ma grande surprise elle metta également la sienne sur ma main pour que je ne l'enlève pas. Ce moment magique, la première fois que je mettais ma main sur son ventre, Leïla en profita pour se rapproché et se niché dans mes bras, je sentais qu'elle était rassuré maintenant. Tout comme moi, on était enfin tranquille, loin du stresse et de l'agitation que l'on a déjà pu avoir. Je l'aimais tellement)