Demain nous appartient, la LOVING FICTION
Chapitre 4 : Chapitre 4 de la Loving Fiction
559 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour 04/02/2020 12:19
Chapitre 4 :
{Dans la tête de Samuel}
*Ce qu'avait dit Leïla auparavant, je ne pouvais pas le croire, elle qui était tellement partante au début, elle le voulait cette enfant j'en étais persuadé mais c'était une fois de plus de ma faute. J'avais mal réagis, je lui avais parler de mes craintes de ne pas être un bon père je lui avait fait peur, il fallait que je lui parle. Elle n'était pas bien, fuyante, distante, triste. *
Samuel : Chérie, j'aimerais bien qu'on parle de ta grossesse, laisse moi parlez s'il te plait. Je voulais te dire que tu ne peux pas faire ça, ce n'est pas possible tu ne peux pas avorter. C'est notre enfant, on l'a fait à 2 et maintenant on ne peux pas faire comme si il n'était rien arrivé. Leïla, écoute moi, je suis sûr que si tu avortes tu t'en voudras toute ta vie.
Leïla : C'est vrai...
Mais en même temps si on le garde il faudra l'assumer toute la vie Samuel, tu ne peux pas être son père pendant quelques années et quand tu en as assez partir parce que tu ne veux plus de moi, où de lui (Tout en mettant ses mains sur son ventre).
Samuel : (S'approchant de Leïla et essayant de mettre ses mains sur son ventre) Je ne ferais pas ça, parce que je t'aime d'un amour inimaginable. Je sais que je n'ai pas était très stable ses derniers temps mais c'est fini...
Leïla : (Repoussant les mains de Samuel )
Arrête s'il te plait, fais pas comme si on allait le garder ...
Samuel : Leïla ...
Leïla : Quoi Samuel, quoi ? Vas-y, dit moi !
Samuel : J'ai changer pour toi, tu peux pas dire que je ne suis pas sincère, je te le dis, ma vie d'avant je l'ai oublié, je t'ai peut être fait peur avec mes doutes la dernière fois mais ce n'était pas mon but.
Leïla : Samuel je ne dis pas que ce n'est que de ta faute. C'est juste que ... C'est juste que l'on a déjà des doutes maintenant et je veux une belle vie pour notre enfant, pas une vie remplie de doutes. Je t'aime et mon plus grand bonheur, ça serait que notre amour soit récompensé par ce petit être mais pas si l'on n'est pas près.
Samuel : Si tu m'aimes, si tu penses ça, c'est que tu es prêtes, que tu n'as pas de doutes, que tu sais que ça nous ferait du bien et qu'il serait bien, j'en suis persuader.
Leïla : Samuel arrête, c'est pas pour moi que je m'inquiète, j'en ai déjà eu des enfants mais c'est pour toi, j'ai peur que tu ne réagisse pas bien... Que tu prennes peur et que tu partes, cet enfant je veux l'élever avec toi et pas toute seul...
Samuel : Ok j'ai compris, tu me fais pas confiance, tu me prends plus au sérieux. Tu ne veux pas d'enfant avec moi c'est bon. Vas-y tues le notre enfant, tu le regretera !
(Sur ces mots Samuel s'en alla en claquant la porte, Leïla resta choquée parce que Samuel venait de lui dire, les larmes commencer à couler et à envahir ses yeux, ses joues, son esprit...)