Une affaire de sciences et d\'expériences
UNE AFFAIRE DE SCIENCES ET D'EXPÉRIENCES
Disclamer:
Yuzu: Bonjour, c'est encore moi, partie sur une nouvelle histoire! Je suis polyvalente: c'est la cinquième fanfic que j'écris, et toutes sont en cours. Moi-même, des fois, je me demande comment je fais pour ne pas me mélanger les pinceaux. Je crois que je le dois en partie à ma béta-lectrice, qui m'aide énormément: merci Kaila007! Et voilà, je fais de la pub pour quelqu'un d'autre que moi. Bon, après moultes tergiversations, voici le prologue de ma nouvelle fanfiction! Ah, aussi, dans cette fic, je fais passer Sarah pour une véritable idiote et lui en fais voir de toutes les couleurs, donc fans de Sarah Siddle, passez votre chemin!
Crossover: Les experts CSI/ Naruto. Avec un clin d'oeil à Tôkyô Underground.
Couples: rappel GregXXNaruto; GissomXXGreg; NickXXCatherine; KakashiXXNaruto; ItachiXXGaara; ShikamaruXXNeiji; ect... Je vais quand même pas tout révéler, déjà que j'en ai beaucoup dit.
Prologue:
C'était par un lundi matin, de bonne heure, que, en allant au bureau, Gill Grissom découvrit un corps inanimé gisant sur les marches de l'entrée. En expert, il mit immédiatement ses gants en latex, et prit le pouls d'apparemment un garçon torse nu. Il n'y en avait pas. Il avait plein de plaies sur le dos et les bras. Il appela alors son équipe. C'est en cinq minutes que Catherine Willows, Nick Stockes et le médecin légiste arrivèrent sur les lieux. Nick eut un sourire:
- C'est la première fois qu'on a à baliser l'entrée de nos labos. Au moins, ça sera pas long à l'amener en autopsie.
Catherine demanda:
- On a une identité?
Le légiste donna à Grissom l'autorisation de toucher le cadavre, et il fouilla ses poches. Il y en avait en tout six: deux devant, deux derrière et deux sur les cotés au niveau des genoux. Grissom sortit de ces deux dernières poches des sortes de lames, de couteaux, plein d'armes blanches bizarres qu'on voit dans des films de ninjas; des shurikens et des kunais.
- Comment pouvait-il se ballader dans les rues avec tout ça dans ses poches?
Catherine s'étonnait en mettant les armes dans les sacs de preuves. Nick bombardait de photos, et demanda:
- Sinon, il n'y a rien qui puisse nous donner son nom?
Grissom répondit:
- Rien. Pas de carte d'identité, pas de permis de conduire, pas de passeport... Il n'a pas l'air d'être d'origine américaine... Tout ce que j'ai trouvé dans ses autres poches, ce sont ces rouleaux bizarres.
- On va pouvoir l'emmener en salle d'autopsie.
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Quelques minutes plus tard, le corps était amené en autopsie. L'assistant du légiste le lava et prit des photos, puis il fut prêt pour l'autopsie. Grissom descendit au moment où le légiste prenait un scalpel. Grissom regarda le scalpel approcher de la peau du torse, et commencer à glisser, quand le légiste s'arrêta. Il n'y avait qu'une petite coupure, mais elle saignait.
- Appelez les urgences, il n'est pas mort!
Grissom s'exécuta dans la seconde pendant que le légiste calmait l'effusion de sang, et parvenait à refermer la plaie. Catherine et Nick descendirent à cet instant. Grissom reçut l'accueil de l'hôpital au téléphone:
- Allo, ici Gill Grissom, de la police scientifique. Il nous faut un brancard immédiatement!
«- Nous envoyons une ambulance sur le champs.»
Grissom raccrocha, et Catherine demanda:
- Qu'est ce qui ce passe?
Grissom pointa son doigt vers le corps, sur la table:
- Ce garçon n'est pas mort. Heureusement que doc l'a comprit, sans ça, il allait vraiment mourir.
Cinq minutes plus tard, l'ambulance était là, et les brancardiers transportaient le corps. Grissom dit:
- Carherine, vous venez avec moi, on va attendre qu'il se réveille et l'interroger. Nick, vous annalysez ces armes et ces rouleaux, et essayez de trouver une quelconque information.
- Ok.
À l'hôpital, Catherine et Grissom attendaient le médecin. Celui-ci arriva vers eux, et dit:
- Son état est stationnaire. Vous pouvez aller le voir, normalement, il devrait se réveiller d'ici peu.
- Merci.
Après avoir éteint leurs portables, Grissom et Catherine entrèrent dans la chambre. Le garçon avait été intubé, et il avait l'air de dormir. Il avait des traits harmonieux et un visage fin, encadré par des cheveux d'or long jusqu'environ le creux du dos, avec quelques mèches plus courtes en bataille, de la couleur de Black dahlia, un rouge presque noir. Les plaies sur ses bras, visibles, avaient été suturées, et ses équimoses enduies de baume et de glace. Catherine, en l'observant, fut intriguée par un détail, sur son visage. Elle se pencha sur lui, et vit sur ses joues, de chaque coté, telles des moustaches, trois marques du même rouge que ses mèches. Grissom remarqua aussi, et dit:
- Prennez ses empruntes. Les marques ont l'air en relief, et elles m'intriguent. Je vais voir si je peux en prendre un "échantillon".
- C'est vrai que c'est intrigant. Aussi, avec de telles blessures, je me demande comment il a put parcourir la ville jusqu'au labo. Et avec ces armes, alorsqu'il est étranger, il n'aurait pas pu entrer aux États-Unis.
Catherine prenait les empruntes du garçon, qui avait apparemment entre 15 et 16 ans. Grissom, lui, sortait sa pince, et mit ses gants. Il prit un petit pot à preuve, et s'approcha du visage du jeune homme. Il s'apprêtait à prendre un peu de cette marque avec la pince, quand l'adolescent ouvrit brusquement les yeux et attrapa le bras de Grissom qui tenait la pince. Catherine sursauta, la pince et le pot tombèrent au sol tandis que, lentement, le garçon gardait son regard bleu océan plongé dans les yeux de Grissom, et retirait le tube de sa gorge de sa main libre. Il le jeta, et demanda en regardant Catherine, cette fois, sans lâcher Grissom pour autant:
- Où est ce que j'suis?
- À l'hôpital...
- Qu'est ce que j'fous ici?
Catherine resta un instant silencieuse, étonnée par l'autorité présente dans les question du garçon.
- Tu étais inconscient devant nos bureaux, nous t'avons prit pour mort, et nous avons faillit t'autopsier. Alors tu as été emmené d'urgence à l'hôpital, où les médecins ont pu suturer tes blessures.
- Et qui êtes-vous?
- Je suis Catherine Willows, et voici mon superviseur, Gill Grissom. Nous sommes de la police scientifique.
Le garçon resta silencieux, puis marmona comme s'il réfléchissait:
- Scientifique... Ce sont eux qui risquent le moins de me croire, mais d'après mes sources, "il" travail aussi là-bas... Bon, allons-y, y a rien à perdre de toute façon.
Catherine s'interrogea intérieurement, puis remarqua:
- Je crois... Que tu peux lâcher Grissom, il ne va rien te faire.
Le garçon regarda sa main, qui tenait toujours le bras de Grissom:
- Oh, c'est vrai, excusez moi.
Il lâcha Grissom, et se leva, cherchant ses affaires. Catherine lui montra un fauteuil, sur lequel était posé un sac, et sur le dossier, son pantalon.
- Tu ne devrais tout de même pas te lever si brusquement...
- Oh, vous inquiétez pas, je vais beaucoup mieux. J'étais à la recherche de quelqu'un, mais "l'autre" m'a trouvé et m'a passé à tabac.
L'adolescent prit son pantalon et sourit en le mettant et en entendant Grissom demander:
- Qui t'a fait ça?
- Je crois que vous avez gardé ce que j'avais dans les poches... Vous allez donc me garder. Tant mieux. Je vous le dirais là-bas. Je vous expliquerais tout. Une fois que je l'aurais trouvé.
- Qui ça?
- La personne que je cherche. Et qui travaille au même endroit que vous.
Grissom commença à s'énerver un peu:
- Dis-nous au moins d'où tu viens. Et qui tu es, toi.
Le garçon fouilla dans le sac, entendant Catherine dire qu'elle avait acheté des hauts, pour qu'il s'habille correctement. Il opta pour le débardeur rouge presque noir moulant. Avec son pantalon noir et ses bottes noires, ils rappelaient les teintes dans ses cheveux, et de ce fait, rendait son visage déjà beau, d'un éclat digne d'un Apollon. Il se retourna ensuite vers Catherine et Grissom, et annonça avec un sourire d'une grande assurance:
- Je viens du village de Konoha, c'est quelque part au Japon, et je suis un ninja de ce village. Je m'appelle Naruto Uzumaki.
Fin du prologue:
Yuzu: Bon ben, je crois qu'y a pas trop à m'attarder sur le sujet......
Naruto: Si! Continues! J'veux savoir c'que tu me fais faire! Pourquoi j'suis à l'hôpital, d'abord?
Yuzu: T'aurais préféré être à la morgue? Allez, calme toi, ça ne fait que commencer. À très bientôt dans le chapitre 1!!