Une Nouvelle Naissance

Chapitre 1 : Une Nouvelle Naissance

Catégorie: T

Dernière mise à jour 30/09/2008 21:16

Par une belle journée d’été, dans la ville de Tior un heureux évènement se produisait. La femme d’un des plus riches commerçants de la ville se préparait à accoucher. Elle haletait dans sa chambre, avec à ses cotés ses deux servantes habituelles et une sage-femme.

 
La douleur se propageait à intervalles de plus en plus rapprochés et de manières plus intenses au fur et à mesures que les contractions s’accentuaient. Le visage habituellement beau et doux de la femme du riche commerçant Nigel se contorsionnait par la souffrance et l’effort fournit.
 
Dans l’antichambre, le mari faisait les cents pas, inquiet. A ses cotés son frère tentait de le rassurer. Au bout de ce qui parut une éternité au futur père la porte s’ouvrit, malheureusement pas sur ce u’il attendait.
 
Une jeune servante en sortit, couverte de sang et l’expression hagarde. Elle tituba quelques instants, se prit la tête entre les mains puis se précipita dans le couloir sans tenir compte des injectives de son maître et de ses interrogations. Le commerçant et son frère se regardèrent, ils se doutaient tout deux bien que quelque chose d’anormal venait de se dérouler, peut-être quelque chose de terrible.
 
Le mari se précipité vers la prote pour l’ouvrir sans que son frère ne l’en empêche au moment ou il tourna la poignet, la porte s’ouvrit et la sage femme émergea dans un bruit assourdissant correspondant à des pleurs de bébé. Elle arborait une expression étrange, un rictus tenant de la tristesse et également d’un certain soulagement. Elle présenta l’enfant au père et dit simplement :
-         Vous avez une fille monsieur, en bonne santé… malheureusement, votre femme n’a pas survécu à l’accouchement et…
 
Ne l’écoutant plus il se précipita dans la chambre et vit sa femme gisant sur le lit, une flaque de sang entourant le bas de son corps. Il s’avança et l’enlaça en pleurant. De longues minutes plus tard, son frère lui serra l’épaule et le détacha de sa femme.
-         C’est un jour triste, ta femme est morte en donnant naissance mais n’oublie pas, ta fille est née, il faut que tu t’en occupes.
 
Le regard légèrement dans le vague, le père contempla ce que son frère lui montrait. Un morceau de chair bruyant, emmitouflé dans des couvertures, tenue par la sage-femme et qui lui avait pris sa femme. Une bouffé de haine s’alluma en lui mais elle s’éteignit rapidement quand il prit conscience, que c’était sa fille, le bébé résultant de l’amour le liant à sa femme. Il devait s’en occuper et l’aimer…
Il se releva et la prit délicatement des bras de l’accoucheuse.
 
 
Quelques années passèrent, la jeune Freya courait dans la maison. Sa nourrice la poursuivait, elle riait quand elle rencontra une masse qui l fit tomber. Elle vit son père et parut affolé. Celui-ci la gronda, lui disant qu’une jeune fille ne devait pas se comporter comme elle le faisait. Il partit en lui donnant une gifle. Les larmes aux yeux, Freya regagna sa chambre.
 
Son père avait toujours été dur avec elle, la réprimandant et lui disant qu’elle devait bien se conduire. Il lui répétait souvent que sa mère serait très déçut si elle était encore la pour la voir et ses mots la rendaient très tristes. Sa nourrice également ne lui laissait pas faire grand-chose et son oncle qui du peut qu’elle se souvenait de lui l’aimait bien était mort dans sa quatrième année, il y a quatre ans. Elle sourit faiblement en repensant à celui-ci, il lui disait souvent qu’elle était une très belle enfant et que plus le temps allaient passer plus elle allait embellir. D’ailleurs tous la considéraient comme belle, même son père. Il ne lui avait jamais fait aucun reproche sur son physique. Elle s’endormit rapidement, soulagée.
 
Des bruits la réveillèrent, des éclats de voix. Dernièrement depuis deux mois, plusieurs fois de pareilles scènes eurent lieu chez elle, et même dans la ville. Tous les adultes paraissaient tendus et son père, il était encore plus sombre qu’à son habitude. Elle se leva et colla son oreille à la porte pour entendre la conversation. Elle ne put saisir que quelques mots : « claymore, yoma, pas besoin, trop cher, risques imaginaires ». Très vite ils s’éloignèrent et elle n’entendit plus rien.
 
Quelques jours plus tard alors qu’elle dînait dans la salle à manger, une grande salle large et vaste, avec son père, un homme fit irruption dans la maison, il s’agissait de l’un des gardes de la ville.
-         Monsieur Nigel, ils sont la, ils attaquent la ville, il faut fuir. Il y a une dizaines des ses démons.
 
Son père, instantanément se leva pour fuir, sans tenir compte des cris de sa fille ni de ses questions. Arrivé à mis chemin il s’arrêta, le garde venait de se faire transpercer par une de ses servantes, elle paraissait parfaitement humaine, à l’exception  de son bras, long musclé et marron, un bras de yoma.
-         Allons, allons Monsieur, elle mit de l’emphase dans ce mot, vous n’allez pas nous quitter comme cela n’est-ce pas ? Avec mes associés nous nous sommes partagés la tâche, ceux qui attaquent à l’extérieur et les autres qui se sont infiltrés dans la ville, pour pouvoir notamment vous dissuader de faire appel aux claymores.
 
Il lâcha le garde et reprit :
-         Je m’en occuperais plus tard, c’est vous que j’ai envie de manger. Vous n’imaginez pas comme c’était ennuyant de devoir servir un morceau d’entrailles ambulantes. Je vais me délecter des vôtres.
-         Mais vous, vous n’agissez pas comme cela habituellement. Je n’ai jamais entendu parler d’une ville attaquer massivement par des yomas.
-         C’est vrai mais nous obéissions à des ordres. Inutiles d’en dire plus. Passons à table.
 
Le yoma s’avança lentement, avec un petit rire féminin, il avait gardé la voix de la servante, terrible dans ce contexte. Il savourait la peur de l’homme lui faisant face. Celui-ci reculait doucement mais voyait bien que son destin était scellé et que seul la mort l’attendait. A seulement quelques mètres le monstre vit la petite Freya, qui était resté immobile quand il avait tué le garde après s’être avancé à quelques mètres de la table pour suivre son père. Un sourire pervers se forma sur son visage.
-         Monsieur, vous avez une solution pour être sauvé, donnez moi votre fille. La chair et les tripes des jeunes humains son succulentes, spécialement celle d’une belle jeune fille comme elle.
 
La stupeur se lit sur le visage de monsieur Nigel alors que sa fille paraissait trop choquée pour réagir.
-         Je… impossible, de toutes manières vous allez nous dévorez tous les deux.
-         Je vous est dit que votre fille est un met succulent, je mettrais plusieurs minutes à m’en repaître, pendant ce temps libre à vous de fuir.
 
Il se tourna vers sa fille le visage perdu puis du dégoût y apparût lorsqu’il la contempla. A cause d’elle Marianne…, sa douce épouse, il l’avait perdu et à sa place, ça ! Depuis huit ans il devait la supporter montrer à tous qu’il l’aimait alors que… sa vie était un échec et tous était de sa faute.
-         D’accord, allez-y je ne vous en empêcherais pas.
 
Le yoma éclata d’un rire inhumain, alors que Freya se mis à pleurer et à appeler son père. Celui-ci l’ignora, mais suite à ses cris plaintifs se retourna avec fureur, les yeux exorbités.
-         Tout est de ta faute, ta mère… la seule chose que j’ai jamais aimé est morte par ta faute, alors, je veux être débarrassé de toi.
Après avoir crié ça il serra les poings et dit plus doucement mais suffisamment pour que sa fille l’entende :
-         Si seulement tu n’étais jamais né.
 
Ensuite il ne lui accorda même pas un regard et se dirigea vers la sortie pendant que le dévoreur de tripes s’approchait de sa fille. Quand ils se croisèrent le yoma d’un geste rapide lui transperça le torse de ses doigts. Le père s’effondra, une interrogation se lisant dans ses yeux.
-         Je vais évidemment vous tuer tous les deux mais j’avais envie de m’amuser un peu avant, je vais commencer par vous, votre fille sera mon dessert.
 
Il tira le riche commerçant juste devant sa fille et lui intima l’ordre de ne pas bouger. Celle-ci, complètement abrutit par tous ce qu’il venait de se dérouler s’effondra à genou. Sa belle robe blanche fut tacher du sang de son père pendant que le yoma le mangeait devant elle.
 
La scène lui paraissait irréelle et elle n’avait pas la force de se lever ni même de fuir. Elle n’arrivait pas non plus à saisir que son père, indifférent à son sort allait quitter cette pièce, du moins avant que le monstre le trahisse.
 
Le monstre finit son repas et se lécha les babines. Un éclat argenté frappa la vue de Freya avant qu’elle ne contemple une immense lame argenté à quelques centimètres de son visage puis ne sentent le sang du yoma tombé sur elle et se mélanger à celui de son père. Le monstre fut projeté sur le coté et elle vit une femme toute argenté, une de ses sorcières aux yeux d’argent dont les adultes parlaient avec craintes.
 
Elle avait les chevaux courts en batailles, des muscles saillants et des yeux argentés légèrement en amande. Ses vêtements identiques à ceux de son espèce, se composaient d’une tenue grise recouverte de pièces d’armures métalliques, des épaulettes, une jupe et des bottes. Elle essuya sa lame puis tendit sa main à la jeune fille.
-         Tu n’as plus de famille n’est-ce pas viens avec moi.
 
 
Les années suivantes passèrent lentement, la jeune Freya devint une claymore à la suite d’un long et difficile entraînement ponctué par des tortures horrible, dont le summum fut l’incorporation du greffon de yoma qui la rendit monstre : un hybride tueur de yoma, rejeté par les humains.
Elle détesta rapidement les hommes en noirs les dirigeant sans que ceux –ci ne s’en rende d’ailleurs compte et ne parvint pas à se faire d’ami parmi ses pairs. Enfant elle fréquentait peu les autres jeunes de son âge et dans l’organisation, elle suscitait de la jalousie, que ce soit par son immense beauté ou par ses talents à l’épée.
Au bout de quelques années elle devint la meilleure des novices, et se rendit vite compte que en ayant un caractère enjoué et sympathique elle réduisait les inimitiés à son égard. Sa vie se déroulait donc de manière difficile mais routinière, tout ce qui l’attendait était de devenir une claymore et de servir ses maîtres.
 
Aucun but ne lui tenait à cœur, après la trahison de son père et le souvenir qu’elle gardait des gens qu’elle côtoya enfant, elle n’éprouvait pas de désir ardent de protéger les humains. Même la vengeance lui était désormais impossible, elle apprit au bout de deux ans que le monstre dirigeant les yomas qui causèrent la destruction de son monde était mort tué par ses semblables.
 
La véritable chose marquante fut l’attitude des hommes en noirs qui changea vers ses dernières années en tant que novices, ils semblaient attendre beaucoup d’elle et elle compris qu’il espérait qu’elle pourrait surpasser l’actuelle numéro un de l’organisation Kerydwen. Cela ne l’intéressait pas et elle continua son entraînement, de la même manière.
 
Lors de sa seizième année au bout de huit ans passés dans l’organisation, elle devint une claymore. On lui assigna une zone et le numéro neuf. Elle entrait directement dans l’élite, les dix meilleures dernières de l’organisation. Il ne lui fallut que trois ans pour accéder au rang de numéros deux de l’organisation, surpassant toutes ses pairs à l’exception de Kerydwen.
 
Les autres claymores la jalousaient mais elles savaient se faire respecter, elle se rendit vite compte que plus encore que sa force, les claymores jalousaient sa beauté et son apparente joie de vivre. A dix neuf ans elle était magnifique et son humeur contrastait fortement avec celles des autres sorcières aux yeux d’argents. Pour elles, elle n’avait pas de défaut.
 
Pourtant, Freya ne se satisfaisait pas de sa situation, elle se sentait vide. Comme avec les novices elle ne put tisser aucun lien fort avec les claymores en activité. Quand tout le monde la complimentait sur son physique, elle ne se reconnaissait pas. Tout ce qu’elle voyait était une femme pâle et de couleur uniforme, une peau blanche, une tenue blanche, des yeux et des chevaux argentés, cela la dégoûtait. Un monde blanc, gris et noir sans couleur. Elle n’avait pas plus de but dans la vie que durant les dernières années.
 
Pour elle, elle était une morte qui agissait mais sans aucune passion. Seul un ennuie grandissant toujours plus l’envahissait avec un désespoir à sa mesure. La seule personne qui l’intéressait était encore plus solitaire qu’elle mais à sa différence, de manière volontaire. Elle se demandait pourquoi elle était venue et ne trouvait jamais de réponses. De plus en plus souvent elle souhaitait ne jamais être né.
 
Tout changea après son combat contre un éveillé. Une novice s’éveilla et tua dans sa fuite de Staff de nombreuses novices et mêmes quelques hommes en noires. Sa puissance n’avait rien à envier à celle des plus puissants éveillés. L’organisation pensait que son niveau se situait juste en dessous de celui des abyssaux.
 
Ils envoyèrent Freya à la tête d’une équipe de 3 autres claymores à chiffres uniques pour l’affronter, ils ne pouvaient laisser la mort de membre de l’organisation impuni. Elle se souvint que le combat fut une catastrophe, l’éveillé tua les trois membres de son groupe et elle ne pouvait que difficilement lui résisté.
 
Kerydwen apparût et la vainquit sans grande difficulté. Elle ignorait sa présence ni même la raison qui l’avait empêché d’intervenir plus tôt et elle s’en fichait. A ce moment elle compris deux choses, qu’elle ne se trompa pas en s’intéressant à Kerydwen, elle ne pouvait s’empêcher de l’admirer, cette femme qui se distinguait de ses semblables par un regard acéré et pénétrant.
 
Son visage habituellement fermé en accentuait l’impression. Sa peau était extrêmement pâle et son corps fin et musclé. Ses longs cheveux blonds, tirant sur l’argenté, épais et légèrement ondulé lui arrivait aux chevilles. La deuxième chose, que l’éveillé lui avait parut superbe, dans sa brutalité, dans sa passion, dans sa fureur de vivre, il possédait quelque chose qu’elle n’obtiendrait jamais, il vivait la ou elle, elle mourrait. Sa décision fut alors prise.
 
Après le bilan de la mission donné par elle et Kerydwen aux superviseurs de l’organisation, elle s’éloigna et se dirigea vers un ruisseau translucide qui traversait la forêt ou leur combat avait eu lieu. Elle arriva devant et contempla son reflet quelques instants. Puis elle sourit et commença à utiliser son yoki, tout doucement, pour que ce moment dure. Après tout une naissance ne pouvait être immédiate.
 
Quand elle arriva à sa limite, elle sentit très fortement des sensations étranges, une rage et une faim terrible ainsi que du plaisir et de la douleur, des sensations indescriptibles. Elle se concentra et continua de pousser dans on yoki, tout en contrôlant sa faim, elle ne voulait pas devenir un monstre pathétique ne pensant qu’à se nourrir. Enfin elle allait voir de la couleur, cesser d’être une humaine, renaître.
 
A cette pensée elle éclata de rire, la naissance, quelle chose étrange. Elle était né en prenant une vie, de la mort et à nouveau sa nouvelle naissance prenait une vie : son humanité, mais lui redonnait ce que l’organisation lui avait pris : un monde de couleur. Ses deux naissances étaient désirées l’une par sa mère, l’autre par elle-même et les deux allaient tuer leurs conceptrices.
 
Elle se prépara et dans un hurlement de plaisir et de souffrance mêlé elle s’éveilla.
 
Elle se releva et contempla le monstre qu’elle était devenue dans l’eau et soupira de soulagement. Se tenait devant le ruisseau une créature de la même taille que Freya, avec les mêmes traits physiques, la seule différence consistait dans la couleur de sa peau, d’un vert profond.
 
Elle bougea les membres et sentit que son corps était plus dense. Elle se concentra et sa peau se mit à changer de couleur de même que ses sensations. Elle devint bleu clair et sentit son corps léger.
 
Elle fit d’autres expériences et comprit qu’à chaque fois que sa peau changeait, le yoki présent dans son corps s’harmonisait différemment lui donnant des capacités différentes. Quand celle-ci devint noire, elle sentit une présence, et l’appela. De l’orée des bois elle vit Kerydwen sortir.
-         Ainsi tu étais la, tu as tout vu.
-         Oui et je dois te remercier, je ne pensais pas pouvoir être encore surprise mais tu m’as montré quelque chose de nouveau aujourd’hui, une claymore s’éveillant volontairement.
-         Je suis contente que cela te plaise et moi aussi à vrai dire je suis soulagé. Je ressens la faim mais j’arrive à la contrôler et surtout je ne me suis pas transformé en créature hideuse, je ne l’aurais pas supporté.
 
Un petit rire conclut ses paroles. Puis elle se concentra pour reprendre forme humaine. Devant Kerydwen se tenait désormais Freya comme si elle n’avait toujours été qu’une humaine, une jeune femme souriante, avec des longs cheveux blonds raides et des yeux bleus étincelants.
 
Celle-ci fit une pirouette et se contempla dans la rivière.
-         Qu’en dis-tu je suis magnifique non. Enfin j’ai retrouvé mes yeux bleus et mes cheveux blonds. Il n’y a pas à dire, l’argenté ne m’allait pas du tout. Et je ne parle pas de notre horrible cicatrice aux torses.
-         Tu veux me faire croire que tu t’es éveillé à cause d’un point de vue esthétique.
-         Bien sur. En fait je dois te dire si ma formé éveillé aurait été laide, je me serais tué.
 
Kerydwen secoua doucement la tête.
-         Ainsi tu valorises tant ton physique pour te protéger du monde extérieure, bah ça ou autre chose.
 
Freya ne lui répondis pas, elle lui demanda juste ce qu’elle allait faire maintenant.
-         Rien, on ne m’a pas donné l’ordre de t‘éliminer. J’ai pour principe de ne pas faire de combat inutile. Je vais juste rapporter aux superviseurs qu’ils pourront inscrire dans leurs annales Freya, seule claymore à s’être éveillé volontairement. Je dois te dire que j’ai hâte de voir leur réaction, ils s’attendaient à ce que tu me surpasses.
-         Pourtant tu as éliminé le monstre que mon équipe et moi combattions.
-         J’en avais reçu l’ordre, l’organisation voulait te préserver mais se débarrasser des trois autres membres, des éléments gênants.
-         Une mission piège… et que fais-tu des humains. Si tu me laisses partir beaucoup vont mourir.
-         Et alors. Protéger les humains ne m’intéresse pas.
-         Excellent, pourquoi est-ce que tu ne t’éveilles pas alors ?
-         Pourquoi m’éveillerais-je ? Surtout pour devenir un monstre esclave de sa faim. Je dois avouer que j’ai une légère curiosité de savoir à quoi je ressemblerais en éveillé.
-         On se ressemble, c’est sans doute pour ça que tu m’intéresses. Je pars mais on se reverra.
 
Freya se transforma et partit vivre sa vie, celle commencer lors de sa nouvelle naissance.
 
 
 
 
 

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