Red-Bat Terre Prime.
Note de l’auteur : Notre procédé d’écriture sortant de l’ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d’éviter toute confusion dans la lecture.
Pour rappel :
Paragraphes en italique : Le narrateur est l’un des personnages. (Le plus souvent Alex)
Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S’applique aussi dans les dialogues.
Dans les dialogues :
Phrase entre des astérisque : exemple * J’ai l’impression qu’on m’observe * : Le personnage réfléchit ou pense.
Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé.
Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Alfred (téléphone) : Donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, Alfred parle au téléphone.
Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons dès à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.
L’équipe Brotherhood Corp.
Note Auteur @Leakee/Skymailleur : Cette Fanfiction se passe sur Terre Prime (Terre 1). Ce n’est pas une suite de Batboy Rise Of The Devil. ( N’hésité pas à y jeter un œil.) Qui se passe sur Terre 55. Vous allez voir peut-être des personnages de de cette univers (55) dans l’univers (1) Ils n’auront pas forcément la même histoire, le même caractère etc. Bonne lecture.
Costume porter par le Bat : Costume de Terry Mcginnis Batman Beyond prototype. Le costume possède une cape.
Red-Bat. Terre Prime.
Chapitre 1. Le Comte.
Le plan (Purge) a été lancer par Batman. La corruption, tel un virus insidieux, avait franchi les frontières de la cité du Chevalier Noir, se propageant tel un fléau vers d’autres État, à proximité mais loin d’être épargné. La Bat-Family fut mobilisée, ses membres sollicités pour l’endiguer avant qu’il ne dévore totalement les capitales comme la Pennsylvanie.
C’est ainsi que je fus envoyé, en tant que Red-Bat, à Harrisburg.
Un mois s’était écoulé depuis mon arrivée dans les rues tortueuses de Harrisburg, et déjà, je pouvais sentir le pouls de la corruption battre sourdement sous la surface tranquille de la cité. Ce simple rhume de corruption évoluait rapidement en un cancer incurable, gangrénant chaque quartier de la ville.
Vol, kidnapping, trafic en tous genres, et même meurtre ; les crimes se multipliaient à un rythme alarmant, défiant toute tentative de maîtrise.
00H20. Zone business, Bâtiment à louer. Harrisburg, Pennsylvanie.
Homme de main 1 : « Parle à la radio » RAS au rez-de-chaussée, je prends l’ascenseur direction 1ère étage. Terminé.
Homme de Main 2 (Radio) : Bien reçu, on t’attend. Terminé.
L'homme de main appuie sur la touche pour le premier étage, les doigts effleurant la surface lisse du bouton métallique.
Homme de main 1 : Putain, qu'est-ce que j'ai faim et soif. « Regarde sa montre. » Il est 00h22. Ah tiens, c'est l'heure de me faire relever en plus, hahaha, tant mieux.
Soudain, la lumière vacille et quelque chose apparaît dans son dos, une présence imprévue qui fait frémir l'atmosphère.
Homme de Main 1 : Hein, la lumière, qu'est-ce qu'elle a...
1er étage du bâtiment.
Au premier étage, deux gardes sont postés, attendant l’arrivée de leur collègue.
Homme de main 2 : Hey mec, jette un coup d’œil à ce que j’ai appris aujourd’hui. « Il jongle avec un couteau entre ses mains. » Alors, qu’en penses-tu ? C’est impressionnant, non ? « Il continue de faire tourner habilement l’arme tranchante. »
Homme de main 3 : Tss, c’est du grand n’importe quoi. Même ma grand-mère pourrait faire ça !
Homme de Main 2 : Pff, tu n'y connais rien ! C’est de l'art.
Homme de Main 3 : Ouais, ouais, c'est ça, de l'art...
L'ascenseur arrive au premier étage et les portes s'ouvrent devant les deux gardes. Brusquement, le corps inerte de leur collègue s'effondre devant eux, et ils dégainent leurs armes à feu.
Homme de Main 2 : Oh ! Bordel !
Homme de Main 3 : Merde !
Homme de Main 2 : Sors de là !
Homme de Main 3 : Ouais ! Tu as entendu, les mains en l'air, et vite !
Deux batarangs sont projetés de l’ascenseur, désactivant les armes à feu. Dans la foulée, une silhouette sombre émerge de l’obscurité de la caisse d’ascenseur, se précipitant vers l’un des gardes. Avec agilité, elle le surplombe, puis le saisit par la ceinture, le projetant violemment contre le mur.
L’autre garde, armé d’un couteau, tente d’intervenir. La silhouette le repousse contre le mur, désarme sa main gauche d’un coup de poing bien placé, puis enchaîne avec un coup d’avant-bras à la tête du garde. D’un geste rapide, elle le saisit ensuite le cou, l’immobilisant efficacement.
??? : Où il est !
Homme de Main 2 : Tu… tu… es le Bat… je… du mal… respirer…
Le Bat le projette au sol avec force, puis le saisit par le col de sa veste, le soulevant de manière intimidante.
Le Bat : Parle !
Homme de main 2 : Ah, ça va mieux.
L’agresseur le relâche brusquement au sol et attrape son bras, prêt à le briser.
Le Bat : Parle ! Ou je te brise chaque os de ton corps.
Homme de Main 2 : OK, OK, c’est bon… je... Je vais parler Bat ! Celui que tu cherches est au cinquième étages, protégé par des gardes.
Le Bat : Si tu mens, je reviendrais briser les autres.
Homme de Main 2 : Que veux-tu dire par briser les autres ? Moi ou mes collègues ? Parce que franchement, tu n’as aucune chance…
Un moment de calme pesant s’installe à la suite de cette question, chacun se regardant dans un silence tendu. Puis, sans prévenir, Bat saisit fermement le bras du pauvre homme et, d’un mouvement rapide et brutal, la brise nette.
Homme de Main 2 : Aaaaah ! Putin mon bras ! « Se roule au sol de douleur ».
Homme de Main 1 : Plus un geste, Bat ! Aïe, ma tête. « Il saisit sa radio. » Le Bat est ici, chef...
Avec une discrétion calculée, Bat saisit un batarang de sa ceinture multifonction.
Chef des Hommes de Main (Radio) : Mais abruti, tue-le ! Ce type fait des ravages depuis des mois, abats-le !!
Sans prévenir, le justicier lance le batarang, désarme le criminel et le plante dans son épaule.
5èmes étages du bâtiment.
Chef des Hommes de Main : Merde !! Il s’est fait avoir…. Rassemblez-vous ! Le Bat va arriver d’une seconde à l’autres.
Homme de Main 4 : Qu’allons-nous faire s'il se pointe ici ?
Alors que l’ascenseur atteint le cinquième étage, un son strident annonce son arrivée imminente.
Ascenseur : Ding !
Le bruit du mécanisme en mouvement alerte les quatre criminels présents, les incitant à se positionner stratégiquement devant les portes de l’ascenseur.
Chef des Hommes de Main : OK les gars ! Dès que vous le voyez, tuez-le !
Un des hommes de main, pris de nervosité, tremble de tous ses membres.
La porte de l’ascenseur glisse lentement, mais aucun individu n’apparaît à l’intérieur.
Chef des Hommes de Main : Quoi ! C’est une blague ! Il n’y a personne…
Soudain, un objet en forme de capsule tombe de la cage d’ascenseur, provoquant la confusion parmi les criminels.
Homme de Main 5 : Merde… Qu’est-ce que c’est que ça ?
La surprise laisse place à l’horreur lorsque la capsule explose en une bombe flash, aveuglant brutalement les trois hommes en face. Pris au dépourvu, ils se couvrent les yeux et tirent frénétiquement dans la direction de l’ascenseur.
Chef des Hommes de Main : Tiré ! Tiré ! Tiré !
Pendant ce temps, l’un des hommes terrorisés, scrute la fenêtre et aperçoit une ombre se profilés dans l’obscurité. D’un geste rapide, la silhouette brise la vitre, puis attrape violemment la tête de l’homme nerveux de peur, la cogne avec force contre le mur.
Dans un enchaînement de mouvement rapide et précis, le justicier utilisé trois batarangs pour désarmer les trois criminels restants. Il tire ensuite avec son grappin dont la pointe se loge dans l’épaule du chef. Le Bat rembobine rapidement le fil et inflige une droite dévastatrice, la force étant décuplée grâce à l’attraction du grappin.
Homme de main 4 : Tu vas me le payer, Bat !
Il tente une approche au corps à corps en lançant une série de coups de poing. Bat esquive habilement les attaques, anticipant chaque mouvement de son adversaire.
D’un mouvement rapide, il attrape l’un des poings de l’homme, le tordant. Puis, dans un mouvement fluide, il inflige un coup de genou puissant dans l’abdomen de son adversaire, le faisant plier en deux de douleur. Enfin, il achève le combat d’un coup de coude brutal à la base du dos, tel un coup de hache, envoyant l’homme au sol, inconscient sur le champ.
Le dernier homme de main debout se précipite vers son arme abandonnée au sol et tire toutes les balles de son chargeur sur Le Bat, qui reste stoïque malgré le barrage de projectiles.
Homme de main 5 : Laisse-moi tranquille, merde !!! Merde !!! Il n’est pas humain !
Pris dans la panique, le pauvre homme continue de presser frénétiquement la gâchette de son 9mm, mais les balles ne sortent plus depuis un moment. Ses mains tremblantes lâchent finalement l’arme, et il se met à pleurer de terreur, réalisant l’ampleur de la menace qui se tient devant lui.
Le Bat : « Le prend par le col ». Il n’est pas ici… Où est-il ?!
Homme de main 5 : Me…me…merde !! Putin…
Le Bat : * Je n’en tirerai rien de celui-là… je lui fait tellement peur qu’il se pisse dessus…*
Le Bat lui infligé un coup de tête sur le malfrat apeuré qui tombe inconscient.
Le Bat : Hum… « Observe la salle ». Nom de… que font toutes ces personnes ici ?!
Dans cette vaste salle, l'atmosphère est étouffante, alourdie par l'odeur âcre de produits chimiques. Les murs délabrés semblent se refermer peu à peu, conférant à l'endroit un environnement cauchemardesque.
À travers la pénombre de la pièce, le Bat distingue des silhouettes humaines, semblables à des ombres décharnées, la plupart gisant inconscientes, d'autres affalées à même le sol, à côté d'ateliers de chimie rudimentaires. Leurs vêtements sont réduits au strict minimum de simples sous-vêtements.
Chaque individu est coiffé d'un casque, des fils entremêlés dans un réseau complexe, semblant les maintenir sous un contrôle oppressant, les réduisant à de simples marionnettes sans volonté propre.
Le Bat : Ce n'est pas possible....
Le justicier se précipite vers les personnes pour vérifier si elles sont en vie, examinant attentivement quelques corps présents dans la salle.
Le Bat : « Vision détective ». Hum… chaque personne a subi une dose brutale de drogue. Mort par overdose extrême. J’ai besoin d’un échantillon de sang.
Bat fouille dans l’une des poches de sa ceinture multifonction à la recherche d’une seringue pour prélever du sang, mais il est interrompu par une voix faible mais encore vivante, émanant d’une femme. Il se précipite vers elle, retirant son masque avec précaution.
Femme : Aidez… « Elle reprend son souffle » … moi… aidez… moi.
Le Bat : Calmez-vous…
Femme : S’il vous plaît… « Elle reprend son souffle et serre le bras du justicier. »
Il fouille à nouveau dans sa ceinture pour lui administrer les premiers secours et lui donner un antidote universel. Alors qu’il s’apprête à l’administrer, le Bat est interrompu par une voix résonnant dans la salle, provenant d’un ordinateur.
??? : Ton antidote ne servira à rien, Bat, hahaha. Sans la formule, tu ne peux pas la soigner dommage.
Le Bat : « Se dirige vers l’ordinateur. » La fameuse personne que je recherche. Le Comte… la fuite ne te sauvera pas...
Le Comte : Oh, le fameux Bat d’Harrisburg connaît mon nom. Batman t’a finalement lâché, voler de tes propres ailes, comme c’est mignon. Tu es aussi prévisible que lui « Rigole » Bat. Mais je crains que mes talents son sollicités ailleurs.
Le Bat : Tes talents ne sont rien comparés à ce que je vais t’apporter.
Le Comte : « Rires sarcastiques ». Oh, mais tu es si sérieux, Bat. Comme si tu pouvais m’arrêter.
Le Bat : Je te trouverais.
Le Comte : Entends-tu se bruit ?
Les sirènes stridentes du HPD résonnent dans le lointain, signe imminent de l'arrivée des forces de l'ordre.
Le Comte : Tu ferais mieux de partir tant qu’il en est encore temps... Oh, mais j’y pense, il ne te reste que 30 secondes pour quitter cet endroit.
Il coupe abruptement la transmission, laissant le Bat face à une menace imminente.
Un sinistre bip résonne dans la salle.
Le Bat : Une bombe...
Réagissant avec une rapidité, le justicier charge la survivante sur ses épaules et s'élance à toute allure vers une fenêtre, tandis qu'il manipule habilement les commandes de sa ceinture pour appeler son véhicule.
Le bâtiment gronde et tremble, les explosions secouent ses fondations et se pulvérise, juste au moment où le Bat s'envole de ses ruines, échappant de justesse à la destruction totale.
Fin du chapitre 1. Le Comte.