La vie d'un rêve.

Chapitre 4 : Le calme après la tempête.

Ce chapitre est en prélecture...

3618 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 06/11/2018 17:25

Ce chapitre est en prélecture...

Girah dormait, d'un sommeil profond. Faut dire que sa dernière chute avait été particulièrement brutale. De la neige couverte d'une couche de glace...son pauvre dos a souffert. Mais il fallait bien se reveiller au bout d'un moment. Il finit donc par s'éveiller. Mais ses yeux restèrent fermés. Pourquoi donc vous demanderiez vous. Eh bien, il c'est reveillé dans ce monde après un coup supposait être mortel. Et si par la chute et le froid , il était mort de nouveau? Où se trouverait-il quand il ouvrirait les yeux? Dans son monde? Dans celui d'Arendelle? Encore un autre? Dans le fond, il ne voulait pas d'un autre monde. Mais il ne savait pas si il preferait rentrer chez lui voir sa famille ou...continuer cette aventure capilotractée ici, avec des personnages de son univers favoris.

Mais il fallait bien qu'il affronte sa peur en face. C'est donc en serrant les draps dans ses mains qu'il ouvrit lentement les yeux. Il détailla du regard l'endroit où il se trouvait. Non. Il n'avait pas bouger du royaume où il c'est évanouis. Il soupira. Longuement , refermant les yeux. La pensée de sa famille, de ses amis, qui le pensaient mort... La mort l'avait amener ici, mais rien ne dit que cela le ramenera. Et comment retourner chez lui? Dans un sens, il était seul. Le seul humain de son monde. Il subissait l'un des sorts les plus horribles. Celui d'être inconnus de tous alors que tous lui sont connu. Ses yeux se raidirent un peu plus, un autre soupire sacadé sortant de ses lèvres. Une larme au coin de son oeil droit. A quoi bon vivre un rêve si ce rêve n'est remplis que de mauvais évènements pour le moments?

Il renifla et s'essuya rapidement ses yeux avant de se redresser sur son lit, puis de se tourner pour poser pieds au sol. C'est alors qu'il eut une vive douleur à la tête. Il mit sa main droite sur celle ci et y sentit un bandeau. Puis il regarda son corps qui été jusqu'alors, caché par la couverture. Il portait son bas de tissus qu'il avait reçu en arrivant ainsi que plusieurs bandages sur son torse. Ceux ci servant à tenir les compresses dans son dos. Il fut donc bel et bien blessé par cet accident. La venue dans ce monde ne change pas son métabolisme. Il reste un humain parmis tant d'autre. Il tenta de se lever, chancelant légèrement sur le coté, devant retrouvé l'équilibre ayant la tête qui tourne. Il avança vers le pied du lit ou se trouvait son haut. Il le prit et le leva...remarqua des petits trous au niveau du dos. Il en vint à la conclusion que des petits eclats de glace suite à l'impacte des trois corps dans le tas de neige étaient rentrés dans son dos. D'ou la presence des bandages mais aussi de la gêne qu'il ressentait quand il bougeait.

Enfila son haut delabré, il se dirigea ensuite vers les rideaux, les ouvrant pour ainsi laisser entrer la lumière. Il fut un peu éblouie par la lumière du jour, puis une fois qu'il vut de nouveau normalement, il contempla le royaume. La Glace présente par ci et là, sur les maisons, les murs, les rues...mais avec un magnifique ciel bleu et du soleil. Ainsi cette tempête quant à elle, était bel et bien un mauvais souvenir. Et parlant de cette tempête, le livre lui revint en tête. Il le chercha du regard dans la chambre, un peu de manière hative. Il était le seul objet qu'il possédait ici, et surtout...son seul outil de survie. Il finit cependant par le trouvé sur une petite table pres de laporte, ses chaussures ses trouvant sous celle-ci. Il soupira, de soulagement cette fois, et vint mettre ses derniers habits avant de prendre son livre en main, d'ouvrir la porte et de sortir.


Quand il ouvrit la porte, il tomba nez à nez avec une servante du château. Elle lui fit une petite courbette en avant, le saluant avec un joli sourire. Quel accueil dés le réveil, les rouge montant aux joues de notre héro. Il sourit de gêne tandis que sa main droite vint doucement caresser l’arrière de son crâne, un tic qu’il avait quand il était mal à l’aise. La réaction fit rire quelques voix à ses cotés. Il tourna son attention vers elles et il vit des gardes. Postés près de sa porte. Il les salua d’un petit geste de la main, ayant en retour un simple signe de tête et un sourire.

- «  Veuillez me suivre je vous pris. » Dit la demoiselle d’un ton formel et respectueux.

Ne cherchant point les ennuis, il la suivit sans broncher. De plus, il se demandait ce que faisait les gardes devant sa porte. Etait-il ici pour le protéger pendant son sommeil ? Ou...le surveiller dés qu’il se réveil ? Son avis penchait plutôt vers la deuxième réponse. Vu que les gardes les suivait un peu plus loin. Une escorte de vip. Very Important prisonner. Eh oui, même dans ce genre de cas, il ne peut s’empêcher de faire une petite vanne.

La servante l’emmena vers une pièce du château se trouvant prés du trône. Ne sachant ce qu’elle contenait, il resta sagement en retrait. Elle toqua doucement à la porte, une voix à l’intérieur lui dit d’entrer. Ainsi elle ouvrit la porte et se mit dans l’encadrement de celle ci. Il entendit qu’elle remarqua son réveil et sa présence à la personne se trouvant dans la pièce. Puis elle fit un signe de tête et vint se mettre à coté de la porte, présentant celle ci de sa main, invitant ton notre protagoniste à y entrer. Il fixa la porte longuement, puis s’y dirigea d’un pas lent. Une fois près de celle ci, il se pencha en avant, voulant d’abord voir qui s’y trouvé. Il y vit donc Elsa, tête dans des papiers, Olaf jouant dans un coin, ainsi que plusieurs personnes aidant la reine. Il se présenta donc, vu qu’il savait à qui il avait affaire.

Le personnel aller dans tout les sens, déposant et rangeant de multiples papiers. La reine quant à elle, comptait sur l’aide d’un vieille homme pour tout gérer comme il fallait. A vrai dire, on voyait que l’homme dirigeait tout et que la reine ne faisait que suivre les instruction. Puis à la présence de Girah, l’homme se redressa, mains dans le dos, droit. Il s’approcha de lui d’un pas lent et calme. Pour ensuite venir se pencher en avant, tout comme les autres personnes de la pièce, sauf Elsa.

- « Merci de nous avoir tous sauvés Grand Sage. Arendelle vous porte une reconnaissance éternelle. Nous sommes tous soulagés que vous vous portez bien. » dit-il d’un ton solennel.

Girah fut bien plus surprit et gêné par ces remerciements communs de toutes ces personnes, surtout par l’appellation que l’on lui avait donné.. Il ne savait où se mettre. Il se grattait donc, à nouveau, l’arrière de son crâne, avec un léger sourire.

- « Je...n’ai fais que ce que je pensais juste. J’ai bien faillit tout faire capoter à la fin...Je ne suis pas si Sage que ça.» dit-il en posant son regard sur Elsa, s’étant levée de son siège. Mains jointe devant elle. « Et je suis désolé, de vous avoir mise en danger, votre majesté. » Et là ce fut à son tour de se pencher, mais cette fois ci afin de demander pardon.

Elsa eut un sourire qui se dessina sur son jolie visage. Elle avait bien meilleure mine, elle avait retrouvé son joli visage connu de tous. Elle vint se mettre face à lui, posant une main délicate sur son épaule pour qu’il se redresse. Elle leva donc les yeux pour croiser son regard, à une certaine distance d’espace privée entre les deux.



- « Vous m’avez sauvée de ma maladie, vous avez su calmer mes pouvoirs, nous sauver de cette tempête qui a certe causé des dégâts au château et a faillit nous toucher moi et ma sœur...mais vous êtes aussi tôt venu nous sauver. Les gardes m’ont dit que vous vous êtes vous même mis en danger pour ce faire. Nous avons même pu aller sauver les autres malades du royaume. Ainsi comment pourrais-je vous en vouloir...Personne sait qui vous êtes, d’où vous venez, vous êtes un étranger et pourtant vous avez tout fait pour nous aider. Alors ne soyez pas désolé. Je suis désolé de vous avoir entraîner dans cette affaire et d’avoir mis votre vite en danger... » Et suite à ces mots ce fut elle qui se pencha.

- « Votre majesté, s’il vous plaît, ne vous excusez pas. Vous n’avez toujours pas contrôle de vos pouvoirs. De plus, cette tempête n’était plus sous votre contrôle. » Ses mots créèrent une stupéfaction commune dans cette pièce, plus particulièrement chez la reine.

- « Mais...comment savez vous tout cela ? » demanda-t-elle désormais intriguée.

- « Tout simplement car quand vous avez reçu le remède , la pièce dans laquelle vous vous trouviez était devenue calme. Les vent et la glace avaient cessés. Mais uniquement dans le château. Dehors, la tempête faisait rage, et ce de plus en plus. Au point qu’une tornade aller se former sur le château. » Puis il prit son livre dans ses deux mains et le présenta à la reine. « Quand je suis arrivé ici, j’étais inconscient et je n’avais que ceci. Ce livre est...magique. Il était vide de toute encre quand je l’ai ouvert la première fois...Puis il m’a permit de me faire comprendre votre langue, mais aussi de me donner la liste nécessaire pour le remède. C’est lui aussi qui a stoppé la tempête. En l’absorbant. Mais...il a sa volonté propre. On dirait que ce livre est...vivant. Il m’apporte son aide que quand il en juge nécessaire. Je n’ai reçu aucune aide de sa part pour venir jusque ici ou encore pour vous sauver de ma bêtise. »

Le calma planait dans la pièce, tous écoutait son récit attentivement. Et à la fin de celui-ci, la reine demande à prendre le livre en main. Girah n’y voyant aucun inconvénient, le lui donna et la laissa feuilleter. Mais elle ne tomba que sur deux pages possédant des écrits. Le remède, et le glyphe de la tempête. Elle ne comprit cependant aucun des mots qui y étaient inscrit. Elle tendit le livre vers le vieille homme qui fit un signe négatif de la tête, lui même ne comprenant pas. Elle le lui rendit délicatement, sûrement par peur de créer un autre problème par erreur.

- « Nous ne connaissons point ce langage. Ainsi, il semblerait qu’actuellement, seul vous puissiez le lire. Ainsi, vous avez contribuer à notre sauvetage, le livre n’a pas tout fait seul. Le peuple apprécie l’idée qu’un « Grand Sage » soit venu les sauver...cela a même calmer la fureur de certains envers notre reine. Mais celle de beaucoup d’autres» dit le vieille homme.

Et cela il s’en doutait que ça arriverait, que la colère tomberait sur la reine. Il la vit perdre son sourire et baisser la tête, honteuse. Girah regarda son livre, puis elle. Il se tourna, secouant très légèrement son livre de bas en haut, regardant dans le vide, perdu dans sa réflexion. Puis il se tourna vers elle. Avec un grand sourire.

- « Allons les voir. Tout les deux. »

La reine releva la tête surprise, tournant son regard vers le vieille homme, qui lui caresser la pointe de sa moustache en fixant notre héro. En pleine réflexion.

- « Hm et en quoi cela les aiderait ? La reine remplie déjà des papiers pour avoir des matériaux de réparation et de la nourriture. Elle est déjà beaucoup occupée. » Dit il de son ton froid et stricte.

- « Si la reine vient avec moi, le « Grand Sage » comme vous dite, je pourrais ainsi voir le peuple, essayer de les calmer et expliquant ce qu’il c’est passé. Ce n’est pas parce qu’elle a des pouvoirs que cela la protège des maladies. Elle les subit même bien plus violemment que nous tous. De plus, si elle aurait péri de sa maladie, la tempête aurait été encore plus extrême. Inarrêtable. Elle a elle même servie de catalyseur pour éviter cela. Au péril de sa vie. Et c’est pour cela, qu’elle souffrait le martyre. » Dit-il d’un ton très sérieux.

Personne ne se douterait...qu’il mentait. Il n’en savait rien, ce n’était qu’une petite théorie sans grand fondement. Mais est ce que le mensonge allait être si facilement avalé ? Les vieille homme sembla encore réfléchir. Puis il joignit ses mains dans son dos et retourna au bureau.

- « Vous dites ne pas être sage, mais vos paroles contiennent de la sagesse. Soit. Votre majesté, vous devriez le suivre et faire ce qu’il dit. Peut être gagnerez vous à nouveau le cœur et la confiance de votre peuple. » dit-il avant de jeter un regard aux autres personnes qui se remirent à la tâche.

Ayant donc son approbation, Elsa sortit de la pièce gracieusement. Elle prenait effectivement son statut de reine très au sérieux devant cet homme. Girah la suivit, et ce n’est qu’une fois que la porte se ferma qui se détendit et accéléra légèrement le pas pour venir aux cotés de la blonde.

- « Hey, soyez détendu. Si vous gardez cette allure noble ça ne va pas vraiment le faire. Soyez naturel, comme vous l’êtes toujours avec eux. » murmura-t-il avant de lui offrir un sourire.

Un petit teint rosé vint au joues de la reine, qui se détendit donc comme il lui conseilla. Elle suivait donc son rythme, le fixant longuement, tandis que des gardes les encadrèrent pour les escorter jusque dehors.

- « Dites moi Monsieur Hogoki... » dit-elle avec un brin de timidité.

- « S’il vous plaît, appelez moi Girah. Je n’aime pas le termes Monsieur. Je n’ai que un ou deux ans de plus que vous. » dit-il avec un petit rire.

- « Bien Girah. J’ai des questions à vous poser avant d’aller voir le peuple. » Dit-elle calmement.

- « Comment j’en sais autant sur vous ? Ou comment je peux savoir les mots qui vous ont délivré du poids de votre couronne ? Ou ce que j’ai pu dire à votre sœur et votre beau frère ? » Dit-il d’un ton plus sérieux. Sans pour autant le petit sourire habituel qu’il avait au lèvres.

Il avait vu juste puisqu’elle ouvrit un peu plus les yeux avant de hocher lentement la tête. Il pouvait voir dans son regard beaucoup de curiosité, peut être même de la méfiance. Il s’attendait à ce genre de question. Ainsi il sortit son livre et le fixa.

- « Graçe à lui. Avant que je ne sorte de mon inconscience, il m’a montré plusieurs visions, plusieurs bribes du passé. Il m’a permit de vous connaître. Vous. Votre histoire. Ce par quoi vous êtes passés. Ce qu’il c’est passé lors de votre couronnement. Je ne dis pas tout savoir de vous. Je ne vous connais pas personnellement, mais indirectement je sais des choses. Je ne sais pas pourquoi il a voulu me montrer cela, comme je l’ai dis, je ne fais que subir sa volonté.» dit-il avant de ranger son livre.

Et oui, un second mensonge. Vous pensez que cela aurait été plus simples de dire qu’il vient d’un autre monde dans le futur ou elle est juste une histoire inventé ? Il serait juste passé pour un fou. Et il aurait éveiller des soupçons. On pourrait même le prendre pour un espion. Vous le trouvez peut être parano mais avouez qu’il n’a pas tord. Non, pour lui, ce mensonge sera plus facile à gober que la vérité. Et il semblait fonctionner vu qu’elle aquiesca en fixant le livre, puis Girah. Silencieuse. Avant de soupirer et de fixer devant elle, la tête légèrement baissée.

- « Ainsi vous savez beaucoup de choses...Cela doit être utile , vous n’avez pas peur de faire face à des inconnues, vu que le livre vous les fait connaître. » dit elle d’une petite voix.

- « C’est un Fardeau votre Majesté. Tous vous sont connus mais vous leur être inconnus. Imaginez un peu, je vous connais, sûrement mieux que beaucoup de personne ici. Pas autant que votre sœur bien sur… Mais je sais pour vos parents. Et...l’erreur qu’ils ont commis de vous faire cacher. » dit-il en s’arrêtant, vu que ses mots venez de l’arrêter elle aussi. Et elle semblait énervée.

- « Comment osez vous parlez d’eux ainsi ?! » dit-elle alors que ses mains se glacèrent.

- « Ils vous aimez. Il cherchez à vous protéger. Mais vous protégez de vous même n’a fait que vous étouffer. Et vous avez exploser, laisser sortir celle que vous êtes. Donc oui, ils ont fait une erreur. Tout comme Pabbie a fait l’erreur de mal s’exprimer. Certe Anna devait oublier votre magie, mais regardez. Elle le sait. Elle l’accepte. Votre peuple aussi l’accepte. Vous auriez du apprendre à les contrôler. Les utiliser. Les trolls auraient pu un peu vous aider. Mais vous n’êtes pas la seule être magique de ce monde. Alors oui, c’est une erreur, mais qui a eu son côté positif. Cela vous a forgé. Cela vous a aussi protéger des vils personne qui auraient pu exploiter ce pouvoir. Mais en aucun cas cela a été fait sans de lourds sacrifices. Tel que la perte de l’affinité que vous aviez avec votre sœur. Alors réfléchissez-y avant de vous énerver. » dit il avant de reprendre route calmement.

Ses paroles avaient transpercées Elsa en plein cœur. Cette leçon de morale la chamboulait car il n’avait pas tord. Elle resta donc sur place, fixant ses mains redevenues normales. Le doute s’installant dans son esprit comme le trouble s’installant dans celui des gardes. Ils n’avaient vu que le vieille homme faire la morale à leur reine, alors voir un inconnu oser la lui faire… Girah se tourna et la vit ainsi. Il soupira, peut être en avait-il fait un peu trop fait. Il s’avança vers elle, posant une main sur son épaule dénudée par sa robe. Elle releva donc les yeux vers lui, surprise.

« Ne cache plus tes pouvoirs, soit en fier. Ils font ce que tu es. Parle en librement mais ne t’en vante pas. Fait y attention, et ton bonheur survivra. » dit il en souriant, retirant sa main avant de se diriger vers la sortie.

Ses mots la firent rougir très légèrement, il avait sincère, gentil, autant dans sa voix que dans ses yeux. Cette phrase qu’elle c’était répétée sans cesse depuis toute petite venez d’être remplacé par une toute autre phrase bien plus plaisante. Le sourire lui revint, elle remit ses mains jointe devant elle et se remit en marche aux côté de notre héro.

- « Merci Girah. Pour votre sagesse. » dit-elle en le regardant, avec un grand sourire.

- « Je dirais plutôt pour mon franc parler et surtout mon avis plus...ouvert et libre. Voir même rebelle. » dit-il en riant. « Ne prenez pas trop exemple sur moi, ça attire par moment des problèmes. »

- « Je tacherais de m’en souvenir. » Dit elle en riant à son tour.

Les portes s’ouvrirent et Elsa sortie la première, Girah restant un peu en retrait. Ils firent face à une foule de personne à la fois en joie de les voir tout deux aller bien, en attente de réponse pour ce qu’il c’est passé, mais aussi en colère pour ce qui leur est arrivé… Girah se demandait si il ne préférerait pas retourner affronter une tempête à ce moment là.

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