La vie d'un rêve.

Chapitre 3 : De Charybde en Scylla.

Ce chapitre est en prélecture...

2597 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 04/11/2018 02:55

Ce chapitre est en prélecture...

Une pièce avec un feu, un lit , un fauteuil et du calme, d'habitude c'est chaleureux, réconfortant. Mais pas quand le vent risque de briser la fenêtre, que tout un tas de meuble s'entasse devant celui pour nous protéger d'une mort par congelation. Avoir du sang froid deviendrait plus qu'une métaphore. Ce genre de petites vannes avaient pour effet de passer le temps, s'amuser comme on le peut, se rassuré. Tel était l'unique passe temps actuel de notre jeune ami toujours captif. Après tout, que faire dans une pièce vide, les mains lées, sans même quelqu'un avec qui parler?

Notre héro eut un long soupire, il se faisait un peu pitié avec ses vannes du dimanche. Il fixa le plafond longuement, attendant, attendant, attendant... Secondes devinrent minutes, qui elle mêmes devenaient des heures...Puis un petit clic fit ouvrir les yeux de Girah. Il se redressa et tourna son regard vers la source. Il y vit le bonhomme de neige, la main sur la poigné, essayant de la fermer doucement. Il ne voulait pas reveillé le jeune humain, mais c'était trop tard. Ce n'est qu'en se retournant qu'il remarqua enfin son réveil. Il lui offrit donc son grand sourire joyeux, qui fut vite viral vu que notre ami se mit lui aussi à sourire.

Le petit bonhomme de neige approcha en lui faisant unpetit signe. Venant se mettre devant lui , se raclant la gorge avant de joindre ses mains devant lui , au niveau du caillou du millieu, le fixant droit dans les yeux.

- " Je n'ai pas eu le temps de me présenter, je m'appel Olaf! Et j'aime les gros câlins!" Dit-il alors qu'il ouvrit les bras vers son "nouvel ami".

Girah ne pu retenir un petit sourire qui lui échappa de ses lèvres. Il était tenté parcette proposition. Il était de nature affectueuse en tant normal. Puis bon, Avoir une étreinte DU veritable Olaf, comment refuser? Ainsi il leva doucement les bras, faisant passer ses chaines derrière le petit corps neigeux du bonhomme, se penchant en avant. Olaf comprit alors les intentions de ce geste et s'avança pour serrer de ses bras de bois Girah, qui lui le serrait doucement, les mains posées sur son dos. Il avait un peu froid, car après tout, il calinait de la neige vivante, mais laissa le câlin durer le temps que le petit être en choisisse la fin.

Il se recula donc, sortant des bras de Girah pour venir s'asseoir à coté de lui. Il dû sauter et grimper sur le canapé pour y poser son corps de gel. Puis il prit ses pieds dans ses mains, comme à son habitude, et vint de nouveau fixer notre héro avec un large sourire.

- " C'est rare qu'on me donne un câlin directement! D'habitude ce ne sont que des enfants! Tu es trop grand pour être un enfant toi!" Dit-il , la joie toujours dans sa voix.

- " Ahah, en effet, j'ai quitté l'enfance il y a bien longtemps. Mais bon. Qu'est ce qui nous empêche de garder une âme d'enfant ou d'aimer les câlins quand on est adultes?" Repondit Girah, la tête baissé vers Olaf vu sa taille.

- " Oh , en effet, c'est bien ça! Anna et Elsa sont comme toi! Elles aiment aussi les câlins! On devrait en faire un tous ensemble dés qu'Elsa ira mieux!" retorqua-t-il.

Ses parôles firent réflechir Girah. Il regarda dehors. Toujours rien malgrès le temps. La tempête continuait de déferler. Ce qui fit germait une graine d'inquiétude en lui. Il posa son regard dans celui d'Olaf.

- " Elsa va bien? Ses pouvoirs ne la font plus souffrir?" Demande-t-il, une pointe d'inquiétude dans la voix.

Fort heureusement, le bonhomme fit un non de la tête sans perdre son sourire. Rassurant ainsi notre protagoniste.

- " Nop! Elle va mieux! Elle dort encore, Anna veille sur elle. C'est pour ça qu'Anna m'a dit de venir te voir et..."

Il planta sa main dans la partie basse de son corps de neige, semblant chercher dans une sorte de poche. Puis il en sortit une clef. Ce qui donna une forme ronde aux yeux de Girah. Lui qui pensait devoir garder ses chaines durant encore un temps. Une fois ses poignet liberé, il les massa légèrement, et fit un mouvement de remerciement vers Olaf.

- " Merci Olaf, je me sens mieux ainsi Liberé. Et Delivré."

Deux fois qu'il la fait celle la, revois ton registre Girah. Il rit néanmoins, lui ne s'en lassant pas. Olaf rit aussi. Au moinsil avait bon public. Puis leurs rires furent soudainement couper. Un grondement. Un dechirement. Tel fut le bruit sourd qu'ils entendirent. Le chateau vibra sous la violence de ce coup. Tandis qu'un flash blanc passa à travers le petite encadrement libre de la fenêtre. Girah se leva d'un bond. Se ruant vers le tas de meuble. Fixant la vitre. Elle gelait. Il exclama sa colère d'un juron avant de sortir de la pièce en courant. Une fois les portes grandes ouverte, il fut acceuillit par deux gardes, l'un deux tenant le livre. Girah le lui arracha des mains, profitant dela stupeur de celui ci face au bruit de tout à l'heure. Le garde exclama un cri de mécontentement, tentant de rattraper l'ouvrage. Mais Girah était déjà partit.

Il traversa les couloirs à vive allure, ayant retenue la route pour arriver dans la cuisine. Il ouvrit la porte , manquant de se la prendre en pleine figure . Un vent, une rafale, une tempête pris place dans la cuisine. Le Gel prenait peu a peu place dans le batiment. Girah se cacha son visage avec son bras. Le froid ne mordait pas, il lui devorait la peau. Des marque de gelure, du bleu, apparaissant sur sa peau. Mais malgrès cela, il sortit dehors. Fort heureusement, le pouvoir de resistance à la puissance du vent faisait toujours effet. Malgrés cela, il ressentit quelques secousses, manquant de peu de tomber. Le vent n'était clairement plus normal, ce n'était plus nonplus à cause d'Elsa. Elle dormait. Mais qu'est ce qui pouvait provoquer cela?

Il marcha dans les tas de neiges. Ses pieds s'enfonçant si profondement, que ses cuisses étaient couvertes par la neige. Mais Il avançait. Puis il leva les yeux. Les plissants légèrement, il pouvait voir une ombre. Une ombre gigantesque. Elle descendait...et en vue de sa forme. Il comprit. Il en eut des sueurs froides. Une tornarde. Une tornade c'était formée juste au dessus du chateau. Et si elle l'atteignait, toute l'île serait ravagée. Bon sang. La c'était fini. Fini de lui. Fini de ce royaume. Fini des habitants. Même Elsa n'aurait rien pu faire face à cela. Il était tétanisé. Figé. La neige le recouvrant peu à peu. Il n'était qu'un simple homme avec un vieux grimoire dont il ne savait rien...

Puis, il entendit une voix. Ou plutot un echo. Un Echo d'une voix de femme ou d'homme? Il ne pourrait le dire. Ce son était étrange, et pourtant, ce n'était pas des mots mais plutot...une idée. Oui, on lui insuflait une idée. Invoque mon pouvoir. Voici ce qu'on essayer de lui dire. Il sentit ensuite quelque chose de chaud dans sa main. Il leva la source pour voir que son livre brillait. C'est vraiment quand il le veut lui, mais au moins il est à l'heure. Girah l'ouvrit donc, les pages défilèrent rapidement sous ses yeux. Jusqu'à s'arreter net. Une phrase s'y trouva. Il dut, cette fois ci la crier.

- " Oh toi tempête qui se déchaine, soit captive de ce livre pour ta puissance soit mienne!"


Puis le livre scintilla. Des pages s'envolèrent, vers la tornade, vers les cieux. Des dizaines, même des centaines de pages se retrouvèrent dans les air en un rien de temps. Bien plus que le livre ne pouvait contenir. Au point où il en était, cela ne le choqua même pas. Il fixa la tornade. Elle s'aminscit. Elle devenait de plus en plus vide. Mais elle descendait. A vive allure. Vers lui. Oui, c'est avec effroie qu'il remarqua que la tornade lui tombait dessus. En seul reflexe , il se cacha derrière son livre, les yeux fermés.. C'est alors que la tornade entra dans le livre. Ou plutot elle y fut aspirée. Les vents étaient d'une violence intense. Les vitres du chateau qui étaient proches de lui se brisèrent malgrès la glace les recouvrant. Les éclairs s'enchainaient dans cette catastrophe tout bonnement non naturelle. Manquant depeu notre héro tentant tant bien que mal de tenir le livre levè pour y aspirer ce carnage.


Puis tout se calma peu à peu. La violence des vent baissa, tout comme la cadance des éclairs. Puis il ouvrit les yeux. La tornad avait retrécit, devenant minuscule jusqu'a séteindre dans le livre. Il leva les yeux. Le ciel était vide de tout nuage. Le soleil avait fait son grand retour, bien qu'il était bas derrière les montagnes. Il en fut aveuglé et du donc baisser les yeux. Il contempla alors son livre. Un glyphe avait pris place sur une page de celui ci. Il ne comprit la signification de celui ci. Etait-ce un mot ou un symbole? En tout cas cela avait un rapport avec ce qu'il venait de "capturer". Même un idiot s'en douterais.

Il soupira longuement. Enfin. C'était fini. Ou du moins, c'est ce qu'il pensait. Il entendit un bruit lourd derrière lui. Comme quelque chose qui venait de s'ecraser au sol. En se tournant, il vit ...de la pierre? Non. Un mur. Oui c'était un mur. Il dut encore lever les yeux au ciel, ses yeux allaient devenir des ascenseur ou des yoyo à force. Sa "fin de galère" fut de bien courte durée. Ce qu'il venait de faire avait certe sauver le royaume, mais aussi provoquer un autre drame. Le chateau. Une tour était en feu. La plus proche. En vu des marques noir et des trous, des éclairs semblaient l'avour touchée à plusieurs reprises. Quel idiot, il aurait du faire ça plus loin!

Il s'empressa donc de reprendre le chemin qu'il avait former dans la neige en sens inverse. Retournant dans le chateau par les cuisines. Il manqua de glisser dans la cuisine, le sol étant couvert de glace. Il benissa cette table pour s'être trouvée si prés de lui. Il finit par arriver à l'entrée de la tour. Les flammes ayant rapidement envahis la tour. Il monta comme il peu les escaliers en evitant de se bruler et tomba sur Kristoffe ainsi que des gardes. Il essayaient de passer à travers les flammes.

- " Vite bon sang! Eteignez ses flammes ! On doit vite aller sauver la reine et la princesse! " Cria le blond sur les gardes.

Il se sentait coupable. Il venait de les mettre en danger par son manque de reflection. Il chercha du regard un solution. Il pensa bien sûr à son livre mais...la crainte de faire ressortir la tempête était trop grande. Et les flammes ne laissait aucune ouverture. Lui vint alors un idée. Il redescendit très rapidement les marches, retournant sur ses pas. Il prit une marmite et la plongea dans la neige pour en recuperer un maximum. Puis il rejoingnit à nouveau l'entré de l'enfer de flamme. Il jeta le contenue de sa marmite sur une longue distance. Et ne perdit pas de temps pour se ruer en avant. Il sauta sur la fin pour échapper au souffle de flamme.

Il se redressa. Il était desormais derrière le mur de flamme qui lui, bouchait toujours l'entrée pour Kristoffe et les gardes, mais aussi la sortie de Girah, Anna et Elsa.

- "Prenez des marmites et essayer de calmer les flammes! Aller chercher de l'aide ne restez pas la comme des idiots! Je vais les chercher!" hurla-t-il tandis qu'il débuta sa course jusqu'aux appartements de repos de la reine. Esperant qu'ils ne soient pas ses appartements de repos éternel.

Progressant dans les couloirs en flamme, il ne lui fallut pas longtemps pour arriver face aux deux soeurs. Anna essayait de faire Elsa, toujours faible. Quandele vit Girah, elle appela aussi tot à l'aide, toussant fortement à cause de la fumée. Tout commela demoiselle au cheveux platine. Il se rua donc vers elle, de l'autre côté de la reine pour la lever et ainsi aider Anna. Il se tourna pour rebrousser chemin. Mais une poutre sceda. Les bloquant. Le piège de flamme se refermé sur eux. Ils n'avaient plus de sorties valide. La rousse paniqua. Elle pleurait, serrant sa soeur contre elle, pleurant elle aussi, impuissante, ne pouvant utiliser ses pouvoirs dans son etat. Girah les regarda. Les voir ainsi. Faibles. Apeurées. Aux portes de la mort. Eux un fort effet en lui. Il ne le permettrait pas. Même si la raison pour laquelle il se trouvait ici était dû à cette envie de sauver tout le monde quitte à ce mettre en danger, il ne les laisserais pas mourir. Il releva donc Elsa, et regarda Anna.

- " Suis moi! Ne la lâche surtout pas!"

Elle aquiesca, les larmes toujours aux yeux. Dans cette situation, elle ne savait que faire, donc elle suivrait tout ce qu'il dira. Il les ramena dans la pièce d'où elle venait. Il y avait un trou dans le mur. Surement le bout de mur tombé tout à l'heure. Il tourna son regard vers Anna, se mettant en position pour courire vers l'avant. Légèrement flechis, penché, une jambe en arrière pour l'appuie.

- " Ca te rappelera dessouvenirs. A trois on y va! Et surtout! Accroche toi!" lui ordonna-t-il.

La princesse aggrippa donc un peu plus les habits de sa grande soeur mais aussi le bras de Girah qui la tenait. Il respira profondément, fixant droit vers le trou dans le mur. Il debuta le décompte. Un, leurs muscles se raidirent. Deux, Anna se sécha ses larmes et se mise elle aussi en position. Trois, ils se lancèrent. L'adrénaline fit que Girah cria dans sa course. Une fois au bord. Les deux sautèrent le plus loin qui leur était possible. Dans le vide. Tombant dans la cours du chateau. Durant la chute, Girah tira les demoiselles contre lui. Toute deux. Et se tourna dos au vide. Il les serra contre lui, voulant à tout pris les protéger d'une chute mortelle.

Un choc puis le noir. Total. Etait-il mort de nouveau? Allait-il se reveiller et se retrouver chez lui? Car tout ceci n'aurait était qu'un rêve des plus bizarre et realiste qu'il n'ait vécu? Eh bien...non. Car il avait mal. Au dos. Ca le brulait comme ça le gelait. C'était désgréable. Le choc de la chute l'avait sonné, il n'arrivait plus à bouger. Le tas de neige dans lequel il était....la surface avait durcit avec la température de la tornade. Elle était loin de la poudreuse dite "comme un gros coussin" que par chance, Anna et son petit ami y tombèrent lors des évènements passés. Il ne pu se tenir éveillé, il s'évanouit.

(Note de l'auteur: Alors oui ce chapitre est un peu court, mais il sera compensé par le prochain qui lui sera bien plus long !)

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