Is it love ? Sebastian Jones

Chapitre 22 : Révélation et première dispute!

Par melanie_grillon

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Attention ce chapitre contient une scène pouvant heurter la sensibilité du jeune public et sera signifié par la présence d'asterisques.


Alors qu’Alfred demande le silence, tous les regards se dirigent vers nous. L’homme de la cinquantaine, prononce enfin :


-'' Mesdames, Messieurs, vous connaissez tous la raison de votre présence ici ce soir. Cette soirée a pour but de récompenser le meilleur archéologue de sa génération, j’ai nommé Sebastian Jones."


Alors que la foule l’acclame, mon professeur se dirige, accompagné de son mentor, vers une petite estrade pour récupérer son prix et prononcer un petit discours aussi. Je suis tellement fière de lui. De ce qu’il a accompli. Et de l’homme qu’il est. Mon cœur bat à tout rompre quand je le regarde, là, dans cette tenue, si humble et modeste, parfait en tout point. Son ami reprend la parole et félicite Sebastian encore une fois en public.


-'' Mon ami, ce soir , en hommage à tout ce que tu as réalisé, nous te remettons ce prix. Et c’est pour moi un véritable honneur et privilège de pouvoir repartir avec toi, cet été, pour la découverte récente d’un temple indigène en Amérique latine.


- Merci Alfred, et merci à vous tous pour ce prix. En effet cet été nous aurons l’opportunité de faire les premières fouilles de ce temple."


Je n’en reviens pas de ce que j’entends ! Quand comptait-il m’en parler ? Je suis réellement peinée d’apprendre son départ de la bouche de quelqu’un d’autre ! Je sais bien qu’il n’a aucun compte à me rendre et que nous ne sommes ensemble, que depuis quelques jours, mais tout de même, il me semble que j’aurais pu l’apprendre de sa bouche à lui !

Irritée par cette nouvelle, je me dirige vers la sortie afin de prendre l’air frais de cette belle nuit d’automne. Une fois dehors , tout me semble si paisible . La douce brise de saison vient caresser mon visage. La musique est étouffée par les épaisses cloisons du bâtiment, seuls mes questionnements résonnent dans ma tête. Dois-je lui en vouloir ou être ravie pour lui ? De cette chance inouïe qui se présente à lui ? Je sais que cela serait plus que bénéfique pour lui. Mais…. Qu’en adviendrait-il de nous ? Je me mets à regarder le ciel étoilé, comme pour y trouver la réponse. En vain. Soudainement, le bruit de pas derrière me fait sursauter. Alors que la main froide de l’opportun se pose sur mon épaule, je tourne la tête vers celui-ci. Lorsque je vois Drogo la surprise est immense. Drogo ? Ici ? Mais que fait-il là ? Malgré le peu d’éclairage qui nous est offert sur ce parking, je constate, sans mal, aux traits du blondinet qu’il est mal en point. En effet, bien que les vampires n’est pas besoin de sommeil, lui paraît empreint d’une grande fatigue mélangée à de la tristesse. Les cernes sous ses yeux et son regard fébrile m’inquiète au plus haut point. Malgré les péripéties de ces derniers jours, le voir ainsi ne me réjouis tout de même pas. Au contraire !


-'' Drogo ! Mais que fais-tu là ? Qu’est-ce qu’il ne va pas ? Tout le monde va bien ?


- Alex… S’il te plait… Reviens...


- Drogo, que se passe-t-il ? Dis moi ! Tu m’inquiètes ! "


Son regard change instantanément dévoilant une tristesse que je ne lui avais encore jamais vu. Ses yeux humides par les larmes qu’il tente, tant bien que mal, de contenir. Il ouvre et ferme la bouche, semblant chercher ses mots, puis, fuit finalement mon regard. Tant pis, il faut que j’insiste !


-'' Drogo, parles moi ! Dis moi ce qu’il t’arrive !


- J’ai besoin de toi Alex, je t'en pris, reviens !


- Il me faut encore un peu de temps pour digérer…


- Tu ne comprends pas…. J’ai fais… J’ai fais quelque chose… d’atroce…


- Comment ça ?


- Reviens , rentres avec moi … J’ai vraiment besoin de toi !


- Je ne suis pas prête Drogo, désolée…


- Mais pour te pavaner avec ce sale chien , tu es prête…


- Laisse le tranquille il ne t’a rien fait !


- Il n’a rien fait pour toi non plus… Alors que moi…


- Alors que toi quoi ?


- Rien laisse tomber, reste avec ton cabot… Je me suis trompé… Et visiblement, tu ne tiens pas assez à moi pour que je t’en parle… Quel imbécile je fais…"


Je ne comprends strictement rien au charabia du vampire. Ses yeux passent de l'ambre au rouge sang simultanément. Que diable lui arrive-t-il ? Ce changement de couleurs dans ses iris n’est pas normal !


-'' Drogo, depuis quand ne t'es tu pas nourri ?"


Surpris de ma question, il plante son regard dans le mien, puis le détourne embarrassé. Comme s’il se sentait résigné, il prend une profonde inspiration pour se donner du courage.


-'' Depuis que j’ai saigné cette pourriture !


- Depuis que, quoi ? Drogo qu’est-ce que tu as fais ? Quelle pourriture ?


- Loan ! Il ne sera plus un problème pour toi !"


Je peine à comprendre les mots qui sortent de sa bouche, il me semble malheureusement, qu’ils sont très clairs !


[Mon dieu, Drogo, qu’as-tu fais ?]


-" Tu… Tu l'as tué ? Drogo ! Dis moi que tu n’as pas fais ça ?


- Je l’ai entendu se venter de ce qu’il avait tenté de te faire avant que Jones débarque. J’ai attendu qu’il soit seul et éloigné de la ville et je l’ai vidé de son sang. Je l’ai fais pour toi. La simple pensée qu’il est pu te faire du mal m’a rendu fou et je ne me suis pas contrôlé.


-Drogo…


- Je sais… Je suis un monstre…"


Malgré l’atrocité commise par Drogo, je ne peux m’empêcher d’être touchée par ce geste aussi affreux que répréhensible. Je le regarde, le tête baissée par la honte. Je prends son menton de mon index et mon pouce et relève son visage afin de capter son regard. Une larme s’échappe de mon œil , émue de sa révélation. Il a fait ça pour moi ! Je lui dédis un sourire qui se veut rassurant et lui caresse la joue. Le contact de main sur celle-ci, lui fait fermer les yeux. Je le sens s’apaiser doucement grâce à la chaleur de ma peau sur la sienne.


-'' Il faut que tu te nourrisses!


- J’ai besoin de toi petite chose…


- Écoutes je reviendrai, c’est promis ! Il me faut juste un peu de temps. Je tiens quand même à te dire, que malgré ton œuvre dénuée de toute moralité . Et que même si je dois t'en vouloir pour le crime que tu as commis , je ne t’en veux pas.


- Je comprends que ce loup , soit fou de toi. Tu es si… Si extraordinaire."


Je m’empourpre instantanément à ses propos. Je commence à croire que Drogo semble être beaucoup plus attaché à moi qu’il ne le laisse paraître. Si déjà, je me surprenais à avoir conquis le cœur de mon charismatique professeur, je l’étais d’autant plus d’avoir réussi à avoir celui de ce Vampire qui semblait tellement difficile à approcher. Je donne congés à Drogo , pour qu’il aille se nourrir, si possible pas d’humains ! Il accepte, finalement et me laisse contre son gré, mais tout de même légèrement apaisé de s’être libéré de ce lourd secret.


Je rejoins mon beau mâle à l’intérieur. Celui-ci, discutant toujours avec Alfred et deux autres personnes s’étant joints à eux. Je le regarde parler avec cette lueur dans ses magnifiques iris dorées, la même qu’il a en nous enseignant les mythes et légendes. Malgré qu’il n’est pas mentionné ce voyage, je ne peux malheureusement lui en vouloir. L’enthousiasme que je décèle en lui, en sa manière d’échanger avec ces autres personnes, m’en empêche. Non, je ne peux pas lui en vouloir ! Même sil est vrai que j’aurais aimé qu’il me le dise , je ne veux que son bonheur et je sais que c’est grâce à ce voyage qu’il sera entièrement comblé. Je continue de le dévisager lorsqu’il tourne la tête dans ma direction et croise mes prunelles.

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Son regard sur moi, se fait plus insistant. Il me sourit et vient finalement me rejoindre, m’invitant à le suivre à l’étage. Je peux lire dans ses yeux, qu’il est empreint à un désir insoutenable. Ses pas se font plus hâtifs, il nous arrête devant l’une des portes et s’empresse d’en sortir la clé, me faisant rentrer promptement dans la chambre qui se trouve derrière et la fermant vivement à l’aide de son pied. Sebastian se rue sur moi, sur ma bouche la dévorant comme s’il n’avait pas eu l’occasion de la goûter depuis des jours. Ne pouvant contrôler son désire, il me plaque contre le mur, colle son corps contre le mien. Ses baisers me rendent fiévreuse. L’expression débutante, de son désir se frottant contre ma cuisse provoque en moi un brasier incandescent dans le bas de mon ventre. Un gémissement incontrôlable sort de ma bouche tandis qu’il sen éloigne, m’embrassant avidement de ma mâchoire jusqu’à mon cou. Je comprends l’urgence de son désire à la bosse très bien formée dans son pantalon de smoking. Il presse l'une de ses mains sur ma hanche et me caresse la cuisse de l’autre, la fente du tissus lui donne un libre accès à ma jambe. Tandis que les miennes agrippe une poignée de ses cheveux resserrant notre étreinte, il remonte ses doigts, effleurant à peine ma peau, vers mon shorty. Ces caresses ne manquent pas de faire monter mon excitation en flèche. Il continue sa douce torture jusqu’à arriver au tissus recouvrant mon intimité. Plusieurs râles rauque s’échappent de sa gorge lorsqu’il enlève mon sous vêtement pour insinuer un doigts, puis deux , en moi. Je ne parviens pas à contrôler les sons émis par le plaisir indescriptible que m’offre mon amant . Mes mains se dirigent vers son pantalon, le déboutonnant. Tandis que continue mon avancée vers sa virilité fièrement dressée, lui, continue d’entreprendre de lents va et viens dans mon intimité. Je finis par libérer son membre durci par l’envie. À la vue de cet organe dressé pour moi, je ne peux m’empêcher de le caresser, en faisant de lents allers et retours qui ne manquent pas de faire grogner mon loup de plaisir. Celui-ci me souffle à l’oreille :


-'' Alexandra, tu me fais un de ces effets ! Si tu savais comme j’ai envie de toi..


- Moins de blablas et plus d’action mon Amour !"


Ni une, ni deux je me retrouve les jambes encerclant son bassin, son membre remplaçant ses doigts experts dans mon intimité, donnant des coups de reins plus secs, plus sauvages à chaque fois. L’assaut de mon beau loup nous amène rapidement à une jouissance exquise et dans un dernier souffle nos noms s’échappent dans les airs. Sebastian plonge son visage dans ma nuque humant mon parfum tandis que je caresse sa chevelure couleur de jais.

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-'' Je suis un homme comblé, et tu n’y es pas étrangère ma douce. Si tu savais comme je t’aime !


- Au risque de briser cet instant magique , pourquoi ne m’as-tu pas dis que tu partais cet été Sebastian ?"


Mon beau loup se détache paresseusement de moi et plonge son regard dans le mien.


-'' L’occasion ne s’est pas présenté, j’attendais le moment opportun pour te l’annoncer.


- J’aurais tout de même préférer l’apprendre de ta bouche et pas de celle d’Alfred.


- Je ne pensais pas qu’il en parlerai ce soir . M'en veux-tu ?


- Non… Non… Bien évidemment que non, mais…


- Mais ?


- Mais j’aurais voulu l’apprendre par toi et non par quelqu’un d’autre Sebastian.


- Je me trompe, ou... Il ne s’agit pas que de ça ?


- Mais de quoi parles tu ?


- Du fait que je parte sans toi !


- Tu plaisantes ?


- Est-ce que j’en ai l'air ?


- C’est réellement ce que tu penses Sebastian ? Parce qu’il est évident que c’est une super opportunité pour toi, mais le fait est que tu te trompes , si tu penses que c’est parce que je ne serais pas du voyage qui me dérange .


- Honnêtement, je ne sais pas trop quoi penser ! Tu as l’air beaucoup plus contrarié que tu ne le prétends. Du moins beaucoup trop pour que la simple excuse que tu ne l'es pas appris de ma bouche, soit plausible. Donc oui je ne sais pas quoi en penser.


- Alors ne te fatigue pas plus à y réfléchir Sebastian."


Je ne peux pas y croire, le simple fait qu’il doute de moi me brise le cœur. Les larmes me montent, tandis que je quitte la chambre avec pertes et fracas, laissant mon professeur seul avec ses réflexions. Je cours le long du couloir et pars sans me retourner, sans même prendre la peine de récupérer ma veste. Je prends mon téléphone dans ma pochette, que par chance, j’avais gardé avec moi et compose le numéro de Nicolae. J’ai l’espoir qu’il réponde et qu’un des garçons vienne me récupérer. Une fois raccroché, je suis soulagée d’apprendre que c’est Drogo qui sera mon sauveur.

Après une bonne heure à attendre dans la fraîcheur de la nuit, le blondinet arrive enfin à ma rescousse. Voyant l’état dans lequel je me trouve. Les yeux gonflés par l’expression de mon chagrin. Il se précipite vers moi et me prend dans ses bras.


-'' Ma petite chose, qu’est-ce qu’il s’est passé ? Il t’a fait du mal ce sale cabot ?


- Non s’il te plait, je veux juste… Rentrer à la maison.


- Tu es sûre de toi ?


- Drogo, s’il te plait, ramènes moi !"


Les larmes coulent de plus belles, tandis qu’il m’accompagne à la voiture passant son sweat sur mon dos . Je m’y installe frigorifiée, épuisée. Une fois dans l’habitacle , mon vampire démarre en trombe et met le chauffage pour décongeler le glaçon que j’étais devenue . Les perles salées coulent sur mes joues sans que je ne puisse les contrôler ni même les arrêter. Nous arrivons rapidement au manoir , Drogo m’ouvre la portière passager et m’aide à sortir de la voiture. Je reste, cependant, figé , là, à regarder l’immense bâtisse se tenant devant moi. Ai-je bien fais de revenir ici ?


-'' Tu as besoin de te reposer petite chose, montes dans ta chambre, je m’occupe de Nicolae.


- Merci !"


Je monte, rejoindre ma chambre, prenant soin d’éviter tout les autres membres de la fratrie. Par chance avec succès ! Je pense qu’un bon bain chaud m’aiderait à me détendre. Bien que le simple fait de repenser à mon amant, notre soirée, notre union et notre affreuse dispute me brise le cœur en milliers de petits morceaux. Je me plonge dans mon bain, les larmes coulant toujours à flot. Une fois dans l’eau je m’immerge entièrement retenant mon souffle, laissant aller les battements de mon cœur au rythme des remous. Mes palpitations se font plus calme, je sens mon sang pulser jusque dans mes tempes. Mes yeux fermés, je repense à mes parents, à Sebastian et à tout ce qu’il s’est produit depuis que je suis arrivée dans cette ville. J’en viens à me demander si le sort ne s’acharne pas contre moi ! Extirpée violemment de mes pensées par deux bras puissant qui me sortent de la baignoire. Je reprends une grande bouffée d’oxygène et regarde à qui appartiennent ceux-ci . Drogo ! Il m’enroule dans une grande serviette sans même prêter attention à ma nudité. Nous parlons de Drogo, des femmes nues dans son lit, il y en a eu à l’appel, ce n’est donc plus un mystère pour lui, d’autant plus que ce n’est pas la vue de mon corps qui éveillera son désir. Tout du moins c’est ce que je suppose.


-'' Alexandra, ça va pas de faire ça !


- Mais enfin de quoi tu parles ?


- Pourquoi tu ne sortais la tête de l’eau ? Tu n’es pas un poisson tu es au courant rassures moi ? Tu ne respires pas sous l’eau !


- Il ne fallait pas t’inquiéter, je connais mes limites, en revanche, tu n’as pas le droit de rentrer dans ma salle de bain sans mon autorisation, qui plus est lorsque je suis dans mon bain Drogo !


- Désolé j’ai cru que tu te noyais !


- Moui ! C’est cela ! Merci quand même de ton faux sauvetage !


- Dis moi ce qu’il t’arrive à la fin !


- Je n’ai pas envie d’en parler !


- De quoi as-tu envie ?


- Tu veux vraiment le savoir ?


- Bien sûr !


- Eh bien qu’on me laisse seule. J’ai besoin d’être seule s’il te plait."


Toujours dans c’est bras, mon vampire me regarde l’air surpris et fini par me poser sur mon lit . Il acquiesce déçu de ce que je viens de lui annoncer. C’est malheureusement une triste réalité, je veux juste rester seule, tranquille et me plonger sous ma couette. Dormir et ne plus penser à rien. Je me sens tellement vide. Le blondinet quitte ma chambre en me souhaitant bonne nuit. J’enfile un pyjama, et me glisse dans mon lit. Je ferme les yeux et ne tarde pas à m’endormir.


La sonnerie de mon téléphone me sort de ma léthargie, quand je me rends compte qu’il est minuit passé, je décroche sans prendre la peine de vérifier à qui appartient le numéro s’affichant à l’écran.


-'' Allo !


- Alex ? Je te réveille ?


- Qu’est-ce que tu me veux Sarah !?


- Je tenais à m’excuser, pour…


- Ne te donne pas cette peine, je ne veux plus rien avoir à faire avec toi !


- Att…"


Je ne lui donne pas le temps de continuer, que je raccroche. Je ne tarde pas à tomber dans les bras de Morphée. Cependant les cauchemars se succèdent. Entre ceux où mes parents meurent ou bien ceux où Sebastian me quitte . Ma nuit n’a pas été des plus reposante. Je me suis réveillée une dernière fois en sursaut et en pleurant vers quatre heures trente et n'ai pas refermé l’œil de la nuit tant la peur que ça se reproduise était à son apogée.


Aujourd’hui , je vais malheureusement devoir être confronté à mon professeur, avec qui je me suis disputée la veille. J’ai cependant beaucoup de mal à digérer ses paroles blessantes. Je prends une bonne douche chaude, et j’essais de trouver une tenue convenable pour aller à la fac. Une fois là bas je demanderai un nouvel uniforme et me changerai sur place. Pour l’heure, je me dirige vers la chambre de la petite furie aux boucles roses afin de la réveiller. Je lui caresse le visage en empruntant la voix la plus douce qu’il soit et la réveille doucement.


-'' Bonjour Lorie , il est l’heure de se réveiller !


- D’accord, je me lève ! "


La jeune vampire se précipite hors de son avec une grande facilité. Sa nuit a été sans nul doute, moins mouvementée que la mienne. Elle prend la direction de la salle de bain, prendre sa douche, tandis que j’aère sa chambre et refais son lit. Une fois sa toilette terminée, je m’occupe de ranger également la pièce dans laquelle se trouvait la fillette quelques secondes auparavant. Une fois prête, nous descendons toutes les deux. J’évite avec grand soin les frères Bartholy et me dirige vers la porte d’entrée pour me rendre à la fac à pieds. Je suis en avance d'au moins une heure. Je décide donc d’aller à la bibliothèque, afin de m’avancer sur les cours de la semaine. 




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