The Butterfly Shinigami

- Alors Éric, dit moi pourquoi doit-on regarder la lanterne cinématographique ?

- Parce que on est des gros voyeurs ?

Petite hilarité générale dans la classe alors qu'Ayoka leva un regard vers lui. Un éclair y passa, et se saisissant le dossier d'une chaise, elle la soulève avant de l'envoyer droit sur Éric. Le jeune shinigami se trouva assommé et écrasé sous le meuble alors qu'Ayoka s'avança vers la classe, une main sur sa hanche.

- Quelqu'un d'autre à la question ?

Maintenant, plus personne n'osait lui répondre, par peur de finir comme Éric ou bien encastré dans le mur. Certains l'adorait, comme d'autres la détester pour son caractère et de la voir si dure envers eux. Elle restait certes très belle et impressionnante quand elle terrasser les démons, mais cela ne lui donnait pas le droit d'agir ainsi avec eux. D'ailleurs, beaucoup se souvenait de se premier jour de classe, le 21 avril 1509...

- Je suis votre professeur et principale, donc avec moi nous allons étudier le combat, savoir se défendre contre les démons et les lanternes cinématographique. Je vais aussi vous apprendre à vous servir aussi de vos sens et de l'énergie vibrante autour de nous pour vous battre, et comme vous le voyez, on a une mauvaise vue. Et rien n'existe aujourd'hui pour corriger ce problème donc on va faire avec...

Elle marchais entre les rayons, sa longue robe rouge retenue par un corset pourpre, avec de longue manche fait de dentelle. Ses cheveux, d'une couleur si rare, tenue en un chignon tressé ou se trouvait enfoncé deux épingles chinoises noires. Un petit sourire était visible sur ses lèvres, avant de le perdre face à des bavardages discret sur sa droite. Elle se tourna vers le duo, croisant ses mains devant son ventre.

- Je vous dérange ?

- Désolé, ma Dame, mais vous êtes sacrement mignonne pour une professeur, et on vous vois mal nous donné des cours de combat, dit-il en riant avec son ami.

Ayoka ne dit rien, les fixant seulement alors qu'un sourire qui n'a rien de bienveillant apparaît sur son visage. Les deux shinigami insolents sentent soudainement un changement d'atmosphère, et sans crier gare, Ayoka envoya un des deux voler droit vers le plafond d'un coup de poing. Restant un moment encastré dans les pierres du plafonds, il retomba lourdement sur la table, saignant du crâne. Reprenant son sourire d'ange, Ayoka reprend la où elle s'est arrêter dans son cours comme si il ne s'est rien passé.

Elle poussa un soupir et s'assoit sur le bords de son bureau, quand d'un coup les cloches de leur églises gothique sonner. Le couronnement d'Henri VIII à commencé, dans l'abbaye de Westminster. Jetant un regard par la fenêtre, la shinigami se demander quel consanguins allait encore régner sur l'Angleterre. Le cours était fini, les élèves étaient libéré pour la journée. Quittant la salle de classe, Ayoka observait à travers les immenses fenêtres du couloirs la grande cours. En presque cinq cents ans son école à subi énormément de travaux d'aménagement et d'agrandissement, avec l'ajout d'un assez grand internat pour garçons et filles, des bâtiments de salle de classe en plus et des professeurs, des anciens élèves, en plus.

Toute l'architecture est basé sur le mouvement gothique, apparut en France au début de se siècle, avec une touche égyptienne. Dehors, un petit chantier ou des ouvriers s'activait autour d'une fontaine à moitié détruite. Suite à un combat face à un démon, il avait malheureusement percuté par ''accident'' cette fontaine avant de finir décapité.

Rêveuse, elle posa sa main sur son collier qui représente la croix d'ânkh, l'hiéroglyphe voulant dire la "vie". Belle ironie pour sa part. Une main se posa sur sa taille, et elle se retourna pour faire face à son mari, Alexandre. Une vilaine cicatrice était apparente sur son front, qu'il cachait avec ses mèches de cheveux. Il ne l'a pas eu suite à un combat féroce entre lui et un démon. Il a tout simplement glisser sur du carrelage mouillé et s'est méchamment cogné le front contre une colonne en pierre.

Ayoka en rigole encore, et le taquine même à se sujet là.

- Comment ça va, ma chère Reine ?

- Toujours aussi bien, pour vous défendre des méchant carrelage mouillé, dit-elle en rigolant alors qu'Alex poussa en soupir en cachant son visage dans son cou.

- Tu va m'embêter sur ça encore combien de temps...

- Aussi longtemps que tu vivras, c'est à dire pour toujours.

Il l'embrassa tendrement, voilà deux siècles qu'ils se sont marier, et rien n'avez séparé leur bonheur depuis. Ils se séparèrent, avant d'aller prendre l'air en ville pour toute l'après-midi.

Depuis quelques temps, d'autres école un peu partout dans le monde pour shinigami ouvrent, que sa soit en France, en Allemagne ou même au Japon. Mais la plus demandé reste celle d'Ayoka, qui ressent toujours une immense fierté quand elle accueil des élèves en plus chaque jours. Enfin, elle en est fière mais triste à la fois, de voir chaque jours des malheureux tentant d'échapper à la vie en se suicidant.

Les années passent, les démons avaient abandonné l'idée d'attaquer l'école, aucun n'était revenu, aucun n'avait survécu, et le Diable commençait à en avoir marre d'avoir de moins en moins de démons dans ses rangs, donc il avait arrêter d'en envoyer.

Edward Scarlette, béni par absolument tout les shinigami pour la création de branche dur au lunettes, dans les années 1620. Ayoka est ravi de cette nouvelle, mais elle continua son cours sur la perception du monde et de l'énergie lors des combats, car un accident est vite arrivé comme perdre ou cassé les lunettes. La jeune femme décida de ne pas en porter, premièrement elle ne trouve pas ce genre de chose esthétique, et deuxièmement, ceci risquerait d'être un poids pour elle plutôt qu'une aide. Si elle à réussi sans jusqu'à maintenant, elle peut continuer sans lunettes sans aucune difficulté.

Leur école survit même devant le Grand Incendie de Londres de 1666, non sans dégâts. Par la suite, c'est tous les élèves, professeurs et intervenant extérieur qui les aidaient à reconstruire, l'agrandissant encore par la même occasion, changeant des matériaux pour des plus solides comme du marbre. Ses travaux ont pris plus de quarante ans, et c'est dans le siècle des Lumières que l'école peut de nouveau ouvrir ses portes...

Hello ! Oui , je sais, ce chapitre est plus court que les autres, j'espère que ce n'est pas dérangeant.

Alors, qu'est ce que vous en pensez pour le moment du début de ma fanfictions ? Laissez un commentaire pour exprimer votre avis, ne vous inquiétez pas je ne mords pas eheheh.

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