Tout est une question de volonté ! [Castiel x Daiki]

Chapitre 7 : Nouvelle base

5201 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 11/06/2021 18:29

[ PDV Castiel :


C : Démon !


Où est-ce qu’il est parti encore ? C’est la deuxième fois, en 3 jours, qu’il disparaît comme ça. Ça arrive jamais normalement, il reste toujours dans mon champ de vision. Je sais pas c’qui l’a attiré, mais ça l’intéresse assez, pour qu’il s’éloigne de moi. Je le vois, au dessus d’une personne, près d’un arbre. Je panique un peu, mais me détend rapidement, quand je vois qu’il ne fait que des léchouilles.

Alors la, je m’y attendais pas… Lui, qui est sur la réserve sur tout le monde, il est en train de faire la fête à un inconnue. Atten-… ?


C : Maria ?


Qu’est ce qu’elle fait la ? Et surtout, comment ça se fait que mon chien, se soit précipité d’un coup vers elle. On dirait limite, que c’est son deuxième maître, à qui il ferait la fête, après une longue absence.


M : Castiel ? Salut… je vois de l’étonnement dans son regard. qu’est ce que tu fais là ?


Décidément… on se pose les même questions. Je mets mes mains dans les poches et lui répond sur un ton détaché.


C : C’est mon chien.


Elle me fixe, sans rien dire et hoche légèrement la tête.


M : Ah ouais ? Tout l’opposé de son maître donc.


Je tique un peu à sa phrase, sans vraiment comprendre ce qu’elle insinue. Elle siffle en direction de Démon et celui ci, rapplique aussitôt auprès d’elle. Sale traître… c’est moi ton maître.


M : Alors mon gros ? On est plus sociable que son maître ? Elle me jette, un regard furtif, suivi d’un sourire.


Elle prends la tête du chien entre c’est mains et lui ébouriffe son visage, tout en parlant. Démon aboie à sa phrase et la, je la vois partir dans un fou rire.


M : Haha haha ! Il m’a répondu… ! Ptn… j’suis morte… ce rire, mon dieu ce rire… Même ton chien est d’accord avec moi ! La garce. Je me retient autant que j’peux, à cause de son rire contagieux, seulement, un rire sors malgré moi.


Ce chien, ce traître.


Fin PDV Castiel ]



???? : Maria ?


Je me retourne, à la voix de la personne qui m’interpelle et reconnaît Castiel.


M : Castiel ? Salut… qu’est ce que tu fais là ?


Je le voit mettre ses mains dans ses poches et regarder le chien, qui s’était éloigner de moi, après son arriver.


C : C’est mon chien.


Pourquoi ça m’étonne pas ?


M : Ah ouais ? Tout l’opposé de son mettre donc.


Je rigole à ma vanne et rappelle Démon pour le caresser.


M : Alors mon gros ? On est plus sociable que son maître ? Je le regarde furtivement en souriant et prends la tête du chien, en posant cette question, tout en l’ébouriffant.


Le chien aboie un coup et je suis prise d’un fou rire.


M : Haha haha ! Il m’a répondu… ! Ptn… j’suis morte… Je peine à parler à cause de mon hilarité. Même ton chien, est d’accord avec moi ! Je continue dans mon fou rire.


J’essaie de me contrôler, pour ne pas le contrarié mais, un rire lui échappe. Ouf. Je suis contente qu’il le prenne pas mal. J’me voyais vraiment pas, entretenir cette petite guéguerre complètement puérile, comme deux gamins, alors qu’on s’était excusé tout les deux. J’ai l’impression qu’on est un peu moins sur la défensive, autant lui, que moi et c’était apaisant.


C : C’est vraiment rare, qu’il se comporte comme ça, avec un inconnu.


M : Ouais, mais… on est pote lui et moi depuis la dernière fois, hein ?


Je regarde le chien, tout en posant la question et il me répond par une léchouille.


C : La dernière fois ?


M : Oui, samedi. Je l’ai rencontré pour la première fois, ici même.


C : C’était toi aussi ?! T’as de la bouffe sur toi, c’est pas possible.


J’le vois froncer ses sourcils.


M : Je ris non. J’adore les chiens et ils m’adorent. Surtout les races que les gens considère comme étant « dangereux ». Ça m’fait rire moi, les gens qui ont peur d’un chien, juste à cause de sa race… il y a même du « racisme » envers les animaux… Stupide. C’est pas la race d’un chien qui le rend violent, c’est la manière dont le maître l’éduque.


Je vois les épaules et le visage de Castiel, se détendre d’un coup ; comme s’il était tendu depuis le début de notre échange et qu’il se relâché. Son regard change, mais je ne saurais pas vous dire comment.


C : J’suis bien d’accord. J’comprend mieux, pourquoi il a autant de facilité avec toi. Il a du le sentir.


Je lui souris, tout en caressant son chien.


C : Bon écoute... on est adultes et, je le sens nerveux on s’est tout les deux expliqués. Il pose son regard sur moi et me jauge j’te propose quelque choses. Je le vois s’accroupir face à moi et me tendre sa main Salut. Il me fit un sourire craquant Moi c’est Castiel, 24 ans, guitariste incompris il rit et toi ?


Alors là… je suis sur le cul. Je sors de mes pensée et décide de jouer le jeu. On pourra ainsi, partir sur de bonne base. Je lui fait mon plus grand sourire et serre sa main en ricanant.


M : Salut. Maria, 24 ans, jeteuse d’eau professionnelle et amoureuse des chiens.


Il éclate de rire, pris de court et ont passe un moment tout les deux, à discuter. Il m’a raconté pourquoi il a repris les études. Il travaillait dans un club, en tant que Barman, seulement, à chaque fois qu’il voyait un groupe monter sur scène, ça lui rappelait que lui, n’avais jamais tentait sa chance. Du coup le voilà, reprenant ses études, afin de réalisé son rêve. Plus je lui parle et plus je me rend compte, que sans cette « malheureuse » altercation, on se serait (sûrement) entendu sur le champ, à cette fameuse soirée. En tout cas, je le vois différemment de l’autre soir, comme si son attitude avait changer. Il n’est plus aussi froid et sec et c’est un plaisir. Bon, au moins, tout ça est derrière nous. Je le vois jeter des petits coup d’œil à mon étuis.


M : Tu veux essayer ma Fender ?


C : T’as une Fender ?! Ah d’accord… ça s’met bien je vois.


On rigole tout les deux et je lui met ma guitare, qu’il prend dans ses mains. J’le vois caresser du bout des doigts la caisse, comme si c’était la chose la plus précieuse. Il commence doucement à gratter, une à une les cordes, vérifiant si elle est accordé et il se met à jouer une mélodie dynamique. Je bouge la tête en battant la mesure. Il est doué, très doué. Je vois ses doigts, bouger avec habilité, comme s’il faisait ça depuis une éternité. Plus je le regarde et plus j’me rend compte que c’est carrément mon type. (Si on aime le genre musicien, sombre et torturé.) Je me perd un instant dans ses yeux qui, la dernière fois, m’avais envoyé une décharge, dans tout mon corps. Ils sont toujours aussi perçant. Une vague de chaleur commence à se répandre dans mon corps. J’ai l’impression que je pourrais, me noyer dedans et le pire, c’est que ça me dérangerai pas. Je rassemble toute ma volonté et trouve un sujet de discussion, pour taire mes pensées.


M : Du coup ton rêve, se serait de faire connaître ton groupe ? Je lui demande tout en bougeant au rythme de la musique


C : Non. Mon rêve, c’est de devenir pro, solo ou en groupe, je m’en tamponne. J’veux jouer et en vivre. C’est tout c’que j’ai toujours voulu. J’veux qu’en entendant mon nom, on se dise « Lui… c’est le meilleur guitariste que je connaisse » il me dit tout ça, les yeux brillant et change de rythme, devenant plus calme.


M : T’es bien parti. Il pose les yeux sur moi, un sourire aux lèvres J’imagine que tu n’es pas qu’un interprète… tu compose ?


C : Ouais… Il baisse la tête et se concentre sur le morceau.


M : J’arque un sourcil et un rire nerveux m’échappe.T’as pas l’air sûr de toi pourtant.


C : Non c’est juste que… Il s’arrête de jouer et se gratte de la tête, contrarié. J’ai une panne d’inspi en ce moment... Ça me rend fou.


M : Aïe… je comprend. Ça sert à rien de te prendre la tête toute façon, ça viendra au bon moment. L’inspiration est partout. Change un peu ta routine et vois c’que ça donne. Il hoche la tête pensivement et il se remis à gratter les cordes.


* Bip, Bip, Bip *


Je récupère mon téléphone et regarde qui est la personne, qui m’envoie un message. Daiki…


- Daiki à Maria -

Maria… ?


Je soupire lourdement, à la vue de son message.


C : Ça va pas ? Il s’arrête de jouer à nouveau et me regarde intrigué.


M : Non, c’est rien. Je range mon téléphone dans ma poche.


C : T’as pas l’air sûr de toi pourtant. Il me ressors la phrase, que je lui ai faite, plus tôt, un sourire aux lèvres.


Je laisse échapper un rire nerveux et détourne le regard, pour fixer un point dans le vide.


M : C’est pas important. Je baisse les yeux, mal à l’aise, à cause du froid, que je viens de jeter.


Il n’insiste pas, pour mon plus grand soulagement. Il allait pour parler mais, cette fois, c’est ma sonnerie d’appel qui nous interrompt. Je regarde qui c’est et décroche, agacé.


* Appel Téléphonique *


M : Allô. Dis-je sèchement.


D : Maria ?! T’es où bordel ? On est à l’appart et t’es pas là.


M : En quoi ça t’regarde au juste ?


Je vois Castiel me fixé, un peu surpris de mon ton, ce demandant sûrement, à qui je parle comme ça.


D : Maria… je-


M : Te fatigue pas Aomine. J’veux ni te voir, ni t’entendre. Réfléchit à tes acte et reviens me voir après.


D : J’t’en supplie, m’appelle pas comme ça… j’aime pas quand tu fais ça…


M : C’est pas mon problème. Je raccroche immédiatement, à la fin de ma phrase.


* Fin appel Téléphonique *


J’avais réussi à me calmer et me revoilà remonté comme une pendule. Je soupire d’agacement, passe une main dans mes cheveux et me lève pour partir.


C : Si je t’avais pas entendu dire « Aomine » j’me serai ‘jamais’ douté, que tu pouvais lui parler comme ça. Il se lève en rigolant.


M : Seulement, quand il le mérite… Je n’en dis pas plus, range ma guitare et regarde ma montre, 18h30 .


M : J’vais rentrer… merci pour ce moment, c’était agréable. J’suis contente, qu’on ait réussi à réglé notre… « problème ». Je lui dis ça, avec un petit rire taquin.


C : Idem. On va aussi y aller, à la prochaine Miss. Tiens, ce surnom ne me déplaît plus autant d’un coup… au contraire, ça me renvoie ses petites vagues de chaleur, eut plus tôt.


On se fait la bise, ( il sent bon ) je fait une caresse à Démon, qui s’était couchait entre nous le temps qu’on discute et me dirige en direction de l’appart. Je passe le pas de la porte et aperçois Daiki, les yeux rivé sur moi. Je le calcule pas et me dirige vers ma chambre. Je pose toutes mes affaires, attrape mon brassard, pour y fixer mon téléphone et met mon casque sur les oreilles. Je vais aller courir, ça va me détendre. J’ai bien fait de mettre ses fringues ce matin, pas besoin de me changer. J’en profiterai, pour redécouvrir ma ville natale. Je vais dans la cuisine, bois un verre d’eau et retourne dans le salon.


M : Je vais courir Tetsu. Je lui fais un bisous sur la joue et me dirige vers la porte d’entrée en ignorant Daiki. Si je reviens pas dans 30 minutes, mange sans moi. Bisous. Je lui fais un rapide signe de la main et passe la porte.


Je sors de l’appart et me lance, la musique dans les oreilles. Oui, je suis rancunière. Du moins, jusqu’à ce qu’on mérite mon pardon. Je peux compter sur mes doigts d’une main, le nombre de fois, où je me suis disputer avec l’un d’eux. Ça arrive pratiquement jamais. Je n’aime pas du tout être en froid avec l’un d’eux, seulement là, il est allé trop loin. Il me connaît, il connaît mon passé… Je secoue la tête, balaye ses pensées de ma tête et me re concentre sur mon footing. Une bonne heure plus tard, je retourne à l’appart et Daiki n’est plus là. Parfait. Tetsu et sur le canapé, une bière à la main, devant un match de basket.


M : Tu as mangé ? Il tourne sa tête dans ma direction, avant de se re concentré sur le match


T : Oui, on à commander KFC avec Ao. On t’as pris un bucket, c’est dans le four.


Oh j’aime cet homme ! Je m’approche de Tetsu, en sautillant, comme une gamine, et me place derrière lui. Je me penche, passe mes bras autours de son cou et lui fait un énorme bisous sur la joue.


M : Merci t’es un Amour d’homme. Il sourit


T : C’est pas moi que tu devrai remercier… c’est Ao qui te le paye.


Je grimace, retire mes bras et marmonne dans ma barbe (inexistante).


M: Mouais… s’il pense pouvoir m’acheter comme ça… il se fourre, le doigts dans l’œil.


Je vais chercher mon bucket, le réchauffe au four et m’installe à coté de Tetsu. Je mange et regarde le match avec lui et comme, mes parents m’ont appris la politesse, (ce qui ne m’arrange pas pour le coup), j’envoie un message de remerciement à Daiki : Simple, Rapide, Efficace.


- Maria à Daiki -

Merci pour le bucket.


T : Maria… il commence, mal à l’aise.


M : Tetsuya. Je le regarde dans les yeux, mon ton ne laissant place, à aucune discussion. Si c’est pour me parler d’Aomine, c’est non. Je le regarde droit dans les yeux, sérieuse.


Il tique au nom de famille, souffle et reporte son attention sur le match. J’adorais ces petits moments, que j’avais avec eux pendant un match, on faisais les commentateurs du dimanche, commentant et réagissant à chaque actions. Je n’ai surtout pas envie de gâcher ça. Je vois la lumière de mon téléphone clignoté, je le prends et sourit, en voyant l’expéditeur.


- Matt à Maria -

Salut Princesse, comment tu vas ? T’as pu revoir tes amis ? Tu est bien logé ? Ta première journée c’est bien passé ? Tu mange correctement ?


Je lève les yeux au ciel et rigole sous la tonne de question, dont il m’assomme. Je ne lui répond pas et décide directement de l’appeler, en me dirigeant dans la chambre, pour pas gêné Tetsuya. Après seulement deux tonalités, il décroche son téléphone et nous discutons, pendant deux bonne heures. Ça bouille me manque… Daryl aussi.

Sous les coup de 22h, je décide d’aller à la douche, je prends un petit shorty, ainsi qu’un débardeur fin et me dirige vers la salle de bain. En revenant dans la chambre, je suis surprise de voir Daiki, assis sur le bord de mon lit, la tête baissé, n’ayant pas encore senti ma présence. Il a l’air mal à l’aise, triturant c’est mains, croisé devant lui. Quand il capte ma présence, il se lève d’un bon et prend la parole, un peu paniqué.


D : Maria… je sai- Je le coupe, énervé, me dirigeant vers mon placard sans le regarder


M : Je pensais avoir été claire Aomine. j’ai parlé froidement et je le vois tiqué du coin de l’œil, quand il m’attend l’appeler par son nom de famille.


C’est peut être comme ça qu’ils font au Japon, en France par contre, non. Daiki ainsi que Tetsu, ont depuis tout petit, habité en France. Du coup, ils ont toujours eu l’habitude de s’appeler par leur Prénom. Alors depuis que je les connais, à chaque fois que je suis énervé contre eux, je les appelles par leurs nom de famille en entier. Et je vois, que ça fais toujours son petit effet. Ils ont toujours détestés, que je les appelles comme ça.


D : Arrête, son ton est sec et suppliant en même temps je supporte pas ça. Grogne t’il entre ses dents.


M : J’arrêterai, le jour où tu sera moins con. Je reste concentré sur mon placard, fouillant mes affaires.

(pour rien je le rappelle, je suis déjà habillé, mais… hors de question de céder)


D : Il contracte sa mâchoire Maria… il s’approche de moi, se poste à quelques centimètre, me retourne vers lui et me parle d’une voix coupable. Je suis réellement désolé. ses épaules s’affaissent. Je suis vraiment pas fier de c’que j’ai dis… J’le regrette. Il prend mes mains dans les siennes et les serres. J’aurai jamais du dire ça, j’en pensais même pas un mot.


M : Pourquoi alors ?


D : Je… Il sembla réfléchir à ses mots, il ouvrit la bouche puis la referma aussitôt, avant d’ajouter J’ai été con… Je le voix fermer les yeux et froncer ses sourcils, le visage plein de regret.


J’essaie de retirer mes mains et fixe un point sur le mur, par dessus son épaule évitant toujours son regard. Il resserre son emprise et se penche, essayant de capter mon regard.


D : Regarde moi… s’teu plaît… Sa voix est rempli de tristesse. Je cède, face au son de sa voix et pose mes yeux dans les siens et ses prunelles, m’ont envoûtée. Tu veux bien me pardonner ? Il me fait sa moue de chien battu, auquel je peine à résister. Grrr…


Vraiment… j’y résiste jamais. Je soupire et dégage une main, pour la passer dans mes cheveux. J’ai envie de le faire mariner encore un peu, il l’a mérité.


M : Tu le mérite ?


Il baisse les yeux et perd de sa superbe.


D : Je… Je ferais tous c’que tu veux. Gagné… J’te tiens.


M : Ok. Dis-je en haussant les épaules.


D : Quoi ? Il se redresse, surpris de ma réponse.


M : J’ai dis, Ok. T’es pardonné.


Sa surprise est vite remplacé par un regard médusé.


D : Espèce de… il grogna t’attendais que ça, que je sorte cette phrase, avoue.


M : Dans l’mille. Je lui souris victorieuse, un point sur ma hanche.


D : Bien joué, championne. J’l’ai mérité, j’avoue. Il passe son bras, autours de mes épaules et vient embrasser ma tempe.


J’préfère quand même, quand on est comme ça. Son étreinte m’apaise et j’enroule mes bras autour de sa taille pour le serrer contre moi. C’est épuisant de lui faire la tête.


[…]


1 semaine est passé et mes cours sont vraiment intéressant, plus j’en apprends et plus ça me passionne. Mon cursus, se déroule plutôt bien lui aussi, après les quelques tests, qu’ils nous ont fait passé, j’ai été placé dans la section « expérimenté », avec cinq autres personnes, sur une quarantaine. J’ai retrouvé la complicité que j’avais avec Daiki et j’ai recommencer à l’appeler par son prénom, pour son plus grand bonheur. Par contre c’est bizarre, il me colle de plus en plus et il à l’air tendu en ce moment, ça à commencer Mardi et il l’est, seulement à la Fac... Je ne sais pas du tout pourquoi… il n’était pas comme ça avant. J’ai essayais de lui en parler mais… je n’ai jamais trouver le bon moment.

Je me suis beaucoup rapproché de Castiel, on s’entend plutôt bien et on passe notre temps, à se taquiner. J’ai l’étrange sensation que, parfois, il me drague. Mais je n’en suis pas certaine. Je ne saurai même pas quoi faire s’il le faisait. En avais-je envie ? Oui, non… Je sais pas. Je le connais pas. C’est pas parce que je le trouve sexy, que je dois facilement, écarter les jambes.

J’ai appris à mieux connaître Lysandre. Son langage et sa manière de penser, me donne la sensation d’un grand frère, posé et plein de sagesse. ( Alors qu’il n’a que 26 ans ) Du coup, je pense qu’il va vite devenir mon confident d’ici et Matt, sera celui des U.S. Je trouvais la situation plutôt comique.

C’est cette semaine, que je commence mon boulot, j’ai hâte. J’ai refais, qu’un seul cauchemars, depuis la dernière fois. Tetsuya avait fait irruption dans ma chambre, paniqué, quand il m’avait entendu crier et m’avais directement rassuré. Mon changement de vie, à « littéralement » bouleversé, mon état psychologique. J’ai de la chance d’être entouré de personnes, sur qui je pouvais compter.


A l’heure du déjeuner, on décide d’aller au BK avec, Cast’, Lys’ Tetsu et Daiki. On s’installe à la table. Tetsu à ma gauche, Cast à ma droite et Lys et Daiki en face. Nous commençons à manger et je demande à Tetsu.


M : Tetsuya, c’est quand votre prochaine répèt’ ?


C : Demain pourquoi ?


M : Tu t’appelle Tetsuya toi ? Je le regarde en plissant les yeux, l’air faussement agacé.


C : Non. Par contre tu sais ce qui porte mon nom ? Il passe son bras autour de mes épaules, coude droit sur la table, puis sa tête, dans la pomme de sa main et me regarde avec une lueur malicieuse.


M : Non… dis moi ? Je limite, mais avec mon coude gauche, sans me retiré de son étreinte. On se trouvait face à face.


C : Le Bail de mon appart. Il me fais un sourire narquois Tu sais, l’endroit ou se déroule les répèt ?


Je lui mime un bisous avec la main et continue ma conversation, son bras, toujours sur mes épaules.


T : Pourquoi ?


M : J’aimerai que tu me redonne un cour de batterie. Je dois avoir tout perdu,. Tu veux bien ? Je bas des cils, un sourire aux lèvres.


C : Et si, j’ai pas envie que tu vienne, on fait comment ? Il me tire un peu vers lui, captant mon attention et je grogne


M : Toi, on t’as pas sonné, alors boucle la, deux seconde. Je plaque ma main contre sa bouche et il la lèche.


M : Eurk… Je grimace. Tu m’dégoute. Je frotte ma main contre son torse, pour enlever la bave.


C : Bizarre, elles disent souvent l’inverse. Il me fais un clin d’œil et je fou un coup de coude dans ses côtes.


M : Décidément, vous en loupé pas une tout les deux. Je désigne Castiel et Daiki de mon doigt, faisant des aller-retour entre les deux.


Je déchante vite, quand je vois Dai, nous regarder à tour de rôle, les sourcils froncé. Il détourne les yeux, un air sombre sur le visage. Mais qu’est ce qu’il lui prend ? Je me redresse, me coupant de l’étreinte de Castiel et chuchote, à l’oreille de Tetsu.


M : Il à quoi Dai ?


T : De quoi tu parle ?


M : T’as pas vu comment, il vient de nous regarder, Cast et moi ? J’ai cru, qu’il allait nous tuer. Pourtant j’ai rien dit de fou… Je le trouve tendu à la fac depuis 1 semaine, t’as pas remarqué ?


T : Maintenant que tu l’dis… J’vais essayé d’lui parler, ok ?


M : Ok… tiens moi au courant. Je lui embrasse la joue et pose me tête sur son épaule.


D : Qu’est ce que vous manigancer, tout les deux encore ? Sa tension à disparu… il nous regarde normalement, c’est à ni rien comprendre.


M : It’s a secret. Je lui fait un clin d’œil, en mettant mon index, devant ma bouche.


On termine de déjeuner et nous séparons. Nous rejoignons nos salle respective et reprenons les cours. 16H00, j’ai une heure devant moi avant mon boulot. Je me dirige dehors, marche en direction d’un arbre et me stoppe net, en sentant, un bras passer autours de mes épaules.


C : Hé petite, le lycée, c’est plus loin. Tu t’es perdu ? Il fait un sourire taquin


Je lui envoie un coup de coude, dans les côtes, il grimace et relâche sa prise, pour passer une main sur la douleur.


C : Espèce de…


M: Pff, je lève les yeux au ciel t’es en sucre ma parole.


Il prend ma tête, sous son bras et de l’autre main, il vient me frotter le dessus de la tête.


C : J’te punie, comme la salle gosse que tu est.


Je ris et me plain en même temps puis, me retire de son emprise, en lui faisant une clé de bras, assez douce pour lui évité, trop de douleur.


C : Aïe… c’est bon, c’est bon, j’arrête. Il lève sa main de libre en l’air, pour montrer son abdication.


Je le relâche et ris en le voyant bouger son bras, comme pour vérifier que tout est en place.


C : Grosse folle.


M : Tu fera moins le fou, la prochaine fois. Je lui fait un clin d’œil et nous marchons en direction d’un arbre.


On s’installe a son pied et nous discutons. Mon regard erre, sur les alentours de la fac et mes yeux trouve, ceux de Daiki un peu plus loin, qui me regarde. Seulement… son regard et glacial. Qu’est ce qui lui prend encore ? Ça commence à m’énerver. Je tente un sourire et vais pour lui faire un signe, mais il se retourne et part dans la direction du gymnase. Il vient de se passer quoi là putain ?


C : Ça va Miss ? Je vois son regard un peu inquiet.


M : Ouais, c’est juste… je regarde Daiki et détourne le regard laisse tomber.


Je savais même pas quoi lui dire, vu que je ne comprenais pas moi même, le comportement de Daiki. Du coup j’ai préféré ne rien dire. J’espère que Tetsu, aura plus de chance de son coté. Il ne dit rien et on repris la conversation. J’appris que les garçons, jouaient parfois, au bar où travaille Daiki.


M : Sérieux ? Mais c’est cool pour toi ça ! Tu te rend compte que tu peux commencer, à te faire connaître grâce à ça ?


C : Oui mais, c’est pas vraiment le meilleur endroit pour. Il n’y a pas beaucoup de chasseur de tête, qui viennent dans c’bar.


M : Peut être, mais on peut toujours trouver des solutions, pour les faire venir à nous, quand vous jouez.


Il me regarde un instant, avant de poser ses yeux au sol, pensif, hochant la tête.


C : C’est vrai tu as raison.


A 10 minutes de l’heure fatidique, je me lève et dis au revoir à Castiel, puis je me dirige vers le Dojo. J’arrive là bas, entre à l’intérieur et cherche le Maître des yeux. Je le trouve en plein cours et cale mon épaule contre le mur à l’accueil, le regardant faire. Il impose le respect, mais sans frayeur. C’est juste… naturel chez lui. J’ai l’impression d’avoir une âme pure, sans jugement devant moi. Il a le don de me mettre à l’aise. J’étais contente de commencer à travailler pour cet homme. Le cour ce termina et il m’aperçut, il se dirigea donc vers moi.


MO : Maria ! Dit il, un sourire chaleureux sur le visage Bonjour ma chère.


J’incline la tête en avant, pour le saluer.


M : Bonjour Maître, comment allez vous ? Je lui rend son sourire.


MO : Je me porte bien et vous ? Prête ?


M : Très bien, je vous remercie. Je suis impatiente de commencer.


MO : Bien, je vous laisse, allez vous changez. Je vous direz le reste, une fois ceci fait.


M : J’y vais de ce pas. Je fais un léger signe de tête vers le bas


Je me dirige vers les vestiaires, enfile ma tenue et sors le rejoindre.

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